Interdiction de skier en suisse, nan mais le craquage complet.
Le ski est très accidentogène et risque de bonder les hôpitaux français, c’est le seul argument entendable. Pour tout le reste c’est que du bullshit en comparaison de tout ce qui est autorisé à côté.
En plus ce que je comprends des derniers articles c’est que ces contrôles ne concerneront que les Français.
C’est à dire qu’au retour d’une balade de 2 heures en Suisse un Français aura, potentiellement, moins de droit dans son propre pays qu’un Suisse qui était en train de skier la veille et qui arrive pour passer ses vacances dans son chalet à Chamonix…
Chapeau !
Bonjour,
En restant masqué, au cas où l’adversaire ait mis des virus dedans avant de nous l’envoyer 
Bernard
De toute évidence le biathlon (avec un fusil de chasse) est autorisé, et sans doute aussi le ski en soutane😡
Le silence de la CDA était plutôt assourdissant jusque là. Ben oui, eux, en vrai, c’est le touriste étranger leur clientèle et les gains leur préoccupation, pas les emplois saisonniers … Si en moyenne, les gens font moins de kilomètres pour aller skier, c’est Chamrousse qui gagne, pas Tignes.
Après, les chiffres sanitaires semblent être meilleurs que prévu :
Le rétropédalage sans perdre la face sera peut-être possible ?
On verra bien.
Ca(s)tex c’est bien un truc pour déclencher des avalanches de… (je vous laisse compléter hein !)
Ah bon ?
Tu as vu les moyens des hôpitaux augmenter de façon pérenne ?
Une logique de valorisation des personnels (évidemment je ne pense pas aux ridicules applaudissements) et de budgets consacrés à la santé pour non seulement remettre à flot un système qui coule, mais également lui permettre de naviguer sereinement ?
On ne fréquente pas les mêmes hôpitaux alors…
Je ne fréquente pas d’hôpital mais de toute manière pour avoir une vision réelle de ce qui ce passe il faut un état des lieux global, hors pour 10 articles qui parlent de l’hôpital x & y qui sont débordés je lis aussi 10 articles sur l’hôpital a et b qui sont vides, donc…
Sans compter les « soignants » que je connais, covid et non covid, (infirmières, médecins de ville, laborantines etc…) qui n’ont jamais était aussi dispo pour grimper avec moi soit par inactivité soit par le jeu des jours de recup…
Bref, le système semble pouvoir largement accueillir 3 jambes cassés d’autant que ces soignants la ne sont pas en capacité d’être dans des services covid (on nous a assez bassiné avec les spécificités de la réa…)
Il ne s’agit pas de dire que tout baigne dans l’huile mais de reconnaitre quand on en fait trop.
Cet automne, un frontalier français pouvait aller en vacances au S de la France et venir bosser en Suisse sans quarantaine, alors qu’un suisse se retrouvait en quarantaine au retour de vacances au même endroit (situation vécue au bureau…).
C’est pas la distance le problème.
Mais en fait, en temps normal, on fait des trucs super dangereux : se promener sur des chemins au-delà d’1km, faire du ski sur des pistes damées avec des pisteurs pour venir nous chercher si on se tord le petit doigt… Pas étonnant que les hopitaux n’arrivent pas à suivre et qu’ils manquent de moyens…
Heureusement, la bête à picots nous ramènent à des réalités moins dangereuses.
En Autriche: ouverture des remontées mécaniques dès le 24 décembre, mais les hôtels et restaurants restent fermés jusqu’au 7 janvier. Donc. à l’inverse de la France, on pourra skier dans des stations fermées.
Sur les budgets des hôpitaux ???
Bé franchement après avoir passé un mois dans un hôpital Suisse cet été puis 2 jours dans un hôpital français, je t’assure qu’on est pas dans le même monde…
Après que le gvt fasse certains choix sanitaires uniquement pour le covid je veux bien te croire, mais franchement, il est impossible de dire que les choix sanitaires priment sur les autres (économie ++ notamment)
EDIT : Ah oué mais si tu modifies ton message pendant que j’y réponds ça n’a plus de sens ! Bref ok avec la fin de la 1ère phrase qui est arrivée après, pas avec le début !
EDIT bis : Vu que tu as remodifié, je parle de la phrase suivante ! Bref j’te laisse te mettre d’accord avec toi-même, tcho !
On ne parle pas de la chose, bien sur que quand je dis « le tout sanitaire » je parle des indicateurs « sanitaires » qui guide l’entièreté des politiques publiques aujourd’hui et pas des moyens (très insuffisants) que l’on donne à la communauté hospitalière.
J’ai rajouté cette phrase pcq je me suis rendu compte du quiproquo 
Parce qu’ils en ont encore une, tu trouves ?
Au point où ils en sont…!
Je ne comprends pas le sens du message…
Bonjour,
Se moquer de la classification comme dangereuses et interdites d’activités comme la promenade à plus de 1 km de son domicile, ou la pratique du ski sur piste ? Se moquer du fait que si ces activités sont dangereuses en temps de Covid alors qu’elles n’ont rien à voir avec, puisque les hôpitaux n’ont pas assez de moyens même en dehors du temps de Covid, certains vont bientôt proposer d’interdire ces activités dangereuses même quand il n’y aura plus de Covid plutôt que d’augmenter les moyens des hôpitaux ?
Bernard
Ah oui !
Merci de m’éclairer, j’ai toujours du mal à percevoir l’ironie.
Effectivement, je crains que les restrictions actuelles ne servent à en justifier d’autres, plus tard, concernant des activités dites à risques et inutiles. C’est très dans l’air du temps.
Ce qui m’intrigue c’est comment juridiquement ont peut justifier l’interdiction des remontées mécanique (transport guidé) en station et pas les autres transports guidés comme les tramway, ou même les remontées mécanique en milieu urbain…
Dotant que ce qui semble être mis en avant, c’est le risque de contamination et même pas le risque de blessure lié à la pratique du ski alpin.
Et encore moins quelle incantation l’état va utiliser pour proférer aux agents des douane le pouvoir de lire dans les pensées des gens pour savoir si ils vont dans une station en Suisse…