Ma digestion sportive n’aime pas la salade bio.
2 jours avant une course violente (trail), j’arrête les légumes crus, trucs à fibres (et laitages), sinon c’est la diarrhée avec les intestins fortement malmenés par les chocs et l’effort… Et si j’ai le ventre en vrac, mes perfs sont catastrophiques. Donc pas de salade. Testé, approuvé.
Conclusion : c’est pas parce que l’aliment est végétal et bio qu’il est sans conséquence sur ma performance sportive. Quantité, dosage, besoins, etc…
Pour du sport « modéré », genre jogging de 13km ou rando 4h, j’peux faire ça à jeun depuis 12h ou en carburant à la vodka+cacahuètes. Donc ça me semble pas une intensité suffisante pour comparer les choix d’alimentation. J’ai néanmoins l’intuition que mon régime de type végétarien (vodka+cacahuètes) me procure moins d’énergie et de lucidité, que l’option omnivore (pizza+coca). Je côtoie un certain nombre d’adeptes du végétarisme (bière+chips dans canapé ou pastis+olives sur une chaise) et leurs capacités sportives sont catastrophiques. Encore un élément qui suggère que le régime végétarien (enfin le leur) n’est pas optimum.
Conclusion : On ne peut pas parler de « régime végétarien » de manière générale, ni faire de comparaison, puisque y’a plein de manières d’être végétarien (bière+chips ou pastis+olives ?).