Bon, j’ai lu ce qui était dit ces 10 derniers jours depuis que j’ai relancé le sujet et c’est intéressant. Comme je le disais, je suis allé au Trient quand même et je leur ai signalé qu’ils ne voulaient pas de nous. Pas de réponse.
J’ai écrit au CAS qui m’ont répondu qu’ils allaient se pencher sur le problème et qu’ils me donneraient une réponse. Je l’ai eue : pour cause de départ en vacances, nous ne pouvons pas répondre à vos questions. ça laisse rêveur.
Maintenant, pour ceux qui disent que les prix en France et en Suisse sont les mêmes, c’est faux. Et que même pour les Suisses, c’est très cher et qu’ils préfèrent aller à l’étranger car le coût chez eux est trop élevé. Ce sont les Américains, les Japonais et les gens fortunés qui consomment mais cette année, les 2 premiers sont absents. Donc pourquoi refuser du monde ??? Je sais aussi que le CAF oblige les refuges français à avoir une salle hors sac. C’est obligatoire.
Je pense aussi que le bivouac est une chose magnifique mais qui doit être contrôlée car si je critique les refuges et leur politique, je pense aussi que les consommateurs de montagne ne sont pas tous respectueux de la nature et que cela peut vite devenir n’importe quoi.
Par rapport à l’eau, même s’il n’y en a pas au Trient c’est vrai, 10 frs la bouteille montre bien qu’ils en profitent à fond de manière excessive une nouvelle fois… L’eau a été décrétée non potable par beaucoup car elle est vitale et est devenue une source de profit. Au refuge du Lac Blanc par exemple, pas d’eau. Mais il suffit de connaître la montagne pour se rendre compte que le ruisseau qui alimente ce lac (il faut marcher un peu c’est vrai) est parfaitement potable. Ils profitent de la méconnaissance des gens pour se faire de l’argent.
Bref, affaire à suivre pour moi, car le CAS, je ne vais pas le lâcher. Je veux juste des explications, que je sois d’accord ou non, peu importe mais des explications. ça ne paraît pas bien sorcier. A moins qu’ils savent que leur but est uniquement mercantile et qu’ils ne veulent pas communiquer là-dessus mais au moins, je serai fixé.
Au final, je voudrais juste que la montagne soit un lieu ouvert au plus grand nombre dans la mesure où on est capable de la gravir.