Posté en tant qu’invité par holoduke:
Je voulais juste donner mon point de vue sur la pratique du solo:
Je pense qu’il serait extremement mauvais et nocif de faire connaître cette pratique, l’exemple de ceux qui grimpent en public et encor pire devant des jeunes, je trouve ca révoltant… les gens et surtout les jeunes ne sont pas assez resonsables pour diserner la part de risques qu’il prennent (grimper aux arbres, risques inutiles) de plus il n’ont pas le mental, alors le solo je vous en parle même pas si ca leurs prend l’idée d’essayer… De plus le besoin de faire une voie en solo vien naturellement, on fait pas de solo si on en resent pas le besoin. Je pense donc que celui qui grimpe en solo doit grimper imérativement seul, sans public, et si possible ne jammais metre au courant son entourage (vous avez beau avoir confiance en vous, eux n’on pas forcement l’impression que vous en êtes capables)
Mon experience en solo n’est pas enorme, j’ai déjà grimper quelques petites voies en solo, et une seule grande. Je pense que pour le solo, on doit choisir une voie assez facile par rapport a son niveau, pas trops nonplus (facilités -> plus de risques, déconcentrations passagères).
Alors pourquoi je les ai faites? Pas a cause de Patrick Edlinger, je ne savais même pas que ca ce pratiquait vraiment tout ca…
La première fois que je me suis mis en danger comme cela, je ne savais pas vraiment pourquoi je le fesais, mais j’en ai resentis le besoin. Après plus de réflexion, je commençais à m’analyser… Le solo est une experience unique, le « risque » donne une adrénaline le plus souvent, mais surtout motive la concentration à un niveau jammais atteint, cette sensation n’est pas la peur, c’est l’instinc inné que l’on a tous, celui de survie. Le solo est donc l’art de se placer dans une situation juste assez dangereuse pour déclancher cet insctinc de survie, même si logiquement peut se sortir de cette situation sans en avoir recours.
Avoir cette sensation de survie nous ramène à nos plus bas insctincs, des insctincs d’origine animale completements oubliers une vie ou l’on ne fait plus que vivre et non survivre. Je pense que c’est celà qui implique que cette pratique créé de petit besoins comme le dit si bien P.Edliger (tu vas apprécier un ver d’eau, un sandwich
)
La notion d’engagement est aussi très forte.
La comparaison avec la voiture me semble interessante aussi, sur une route de montage, virage en épingle, pas de barriere de sécurité, le moindre écart de volant et c’est le vol plané et ce genre d’accidents peut intervenir pour de nombreuses raisons
de plus la conduite es souvent déconcentrée par une musique ou quelqu’un qui parle…
Le risque est présent partout autour de nous, quand nous traversons la rue, quand on allume le gaz, et a long therme la cleupe et l’alcool, ce sont juste des riques auquels on est habitués… le solo est impressionant car inhabituel, mais ca ne veut pas dire qu’il es réélement risqué.
Bon pour conclure je vouais dire que le solo est une question de feeling. Faire une voie en solo depand beaucoup du mental, pas spécialement de physique (si la voie est facile). Si on veus faire du solo il faut dabord médité sur la raison de celà, si c’est une nécessité, une besoin ou une envie passagère d’adrénaline. Et aussi que le solo est personnel comme son nom l’indiquerais bien, donc que l’on ne doit entrainer personne dans cet état d’éprit et que le moin de personne soit au courant que vous le faites
désolé pour le roman