Qu'est devenu Patrick Edlinger?

Posté en tant qu’invité par climbing:

slt a tous pate je l’est vue l’année derniére il grimper a chataudouble la baume st jean je peut vous dire que le niveaux et tjr la il a fait a vue d’entré de jeux 5c .6c.7a.7b.7c.voir 7c+ et pour finir a vue un 8a voilou^pour les infos [modéré]

Posté en tant qu’invité par Fan:

il a fait a vue d’entré de jeux 5c .6c.7a.7b.7c.

Hein??? Pat, LE Patrick Edlinger, il a fait à vue toutes ces voies, le 5c, le 6c? Dingue, c’est dingue.

Posté en tant qu’invité par Charles:

oui mais attention : d’entrée le 5c, comme ça, paff! Et à mains nues en plus!

Posté en tant qu’invité par Fan:

Charles a écrit:

oui mais attention : d’entrée le 5c, comme ça, paff! Et à mains nues en plus!

Il avait gardé son tee-shirt pour le 5c?
Non, parce que s’il a fait tomber le tee-shirt et qu’il l’a enchainé torse-nu, ca ne peut pas être comptabilisé. C’est le règlement, c’est comme ça.

Posté en tant qu’invité par mat:

Quelle est le morceau que l on peut entendre a la fin d opera vertical lorsqu il soloe Debiloff?merci de votre aide

Posté en tant qu’invité par sebas:

je ne suis pas d’accord ce n’est pas le seul myte qui reste d’autre vont arriver
et puis patrick berault est mort alors si on peut parler desmort JC lafaille est pas non plus escoffier aussi et jm boivinle precruseur des videos extreme

Posté en tant qu’invité par andré:

C’est Klaus Nomi qui chante, mort depuis du sida. Google pour plus d’infos. Chanson utilisée également en ouverture du film de Michel Piala: A nos amours, avec Sandrine Bonnaire (années 80)

Posté en tant qu’invité par Stéphane:

Je pense pas que Max 34 ait voulu parler de mythe au sens de la globalité des talentueux grimpeurs et aventuriers de l’extrême. Comme tu l’as dit, ceux que tu as cités sont décédés; ils faisaient à peu près tous partie de la même génération; peut-être que Bérhault et Edlinger ( qui ont dans les années 79-82 beaucoup grimpé et entraînés ensemble) étaient à ce moment les plus jeunes de l’équipe, comme la génération montante. Ils se sont trouvés là au moment où la révolution de l’escalade libre en falaises a pris son essor.

Edlinger est simplement celui qui a fait connaître cette nouvelle ouverture par le biais des excellents films de son ami J-P Janssen, films qui ont « contaminé » toute une, voire deux générations de grimpeurs du libre; ça a été un nouveau départ, un nouveau style de vie, d’entraînement spécifique…voilà…en cela, Patrick a apporté quelque chose de nouveau et est forcément, par la force des choses un des mythes ( soit, une figure) de l’escalade moderne…mais il avait toute une floppée d’amis qui, en même temps que lui, vivait cela ( notamment à Buoux et dans le Verdon).

Quant au fait qu’il y en aura d’autres, c’est certain et c’est tant mieux; je suis sûr que Patrick lui-même s’en réjouit…d’aileurs, ils sont là, aujourd’hui, sur nos spots, dans les magazines…le niveau de difficulté pure monte…et monte encore; c’est normal et c’est bien;

peut-être pouvons-nous dire que eux ( les actuels) sont dans la continuité de ce que les Bérhault, Edlinger, Güllich,Escoffier, les frères Troussier, Pschitt, Godoffe, les Ménestrel, Patissier, Hill, Tribout, Raboutou etc…etc…ont lancé … veillons seulement à ne pas trop idolâtrer et porter aux nues ces jeunes talents, même les plus anciens, mais sachons respecter ce qu’il leur est donné de faire de beau à un moment de leur existence, tout en les admirant. Les idolâtrer ne leur rend pas service, ne les aide pas. Ce sont des personnes comme tout le monde, qui excellent dans leur passion.

Posté en tant qu’invité par matriochka:

Il s’agit du Cold Song chanté par Klaus Nomi, morceau de H. Purcell, compositeur baroque anglais, pour l’opéra King Arthur.

Posté en tant qu’invité par mat:

merci bien a tous

Posté en tant qu’invité par corinne:

Ben pour les gens qui croient qu’il fait plus rien ou qu’il est mort,
le lien ci dessous et la vidéo de l’emission chronique d’en haut du 28 avril 2007
Voili
http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=m69a_chroniques&video_number=1

Posté en tant qu’invité par franck:

j’ai refais hier le pilier des fourmis qu’avait fait Pat sans corde dans des années 70, avec le 7a où il avait pété une prise, s’était reconcentré et était sorti. Gulp! . Mouais, certains peuvent faire la fine bouche, ou dire qui c’est? il est trop vieux, has been… Allez trainer dans le rut à buoux et quelques trucs gazeux où pat a posé ses shoes en solo, et où la chute est réellement fatale, ça vous rendra humble…
Ah oui, laissez au garage les semelles résinées, et prenez aussi au passage une paire de vieux EB… histoire d’être bien dans le trip!

Posté en tant qu’invité par bibi 31:

Salut à tous je voudrais savoir si quelqu’un connait les musiques du film « la vie au bout des doigts » principalement les 2 dernières .

Posté en tant qu’invité par houba houba:

Edlinger, ce n’est pas seulement un grimpeur incroyable au nerf d’acier. C’est aussi, celui qui a fait d’écouvrir l’escalade à des centaines de millier de téléspectateurs.

Posté en tant qu’invité par Eric:

On le croise régulièrement dans son gite de la Palud (ex Wapiti) mais la star ce n’est plus lui…non, la star c’est sa femme, qui fait un crumble au pomme et au noix carrement surrealiste !!! Un truc que tu fini meme si t’es allongé par terre avec du farci qui te sort par les oreilles…on a tous coté ça 9a+ facile :slight_smile:

P.S: perso je trouve ça un peu cher mais les chambres nickel, la douche chauffé et le sourire dés le matin…

Posté en tant qu’invité par yannrich:

mais vous n’en prenez aucune…(radioscopie jacques chancel) pour les puristes!!!

Posté en tant qu’invité par tutu:

pour le fun O N S ’ EN F O U T Et aussi pour me distinguer

Posté en tant qu’invité par stef M:

Salut,
l’hiver dernier on est allé grimper à quinson avec ma copine. Et vu notre modeste niveau, on s’est fait une voie dans le 5 en deux longueurs pour aller faire le joli rappel de la grotte. Ma copine est descendue la première dans le dit rappel, mais peu habituée au noeud de secu, elle a fait l’erreur de le lacher pour dégager la corde coincée dans les arbres; et evidemment s’est retrouvée bloquée au bout de son fil d’araignée, à 5m du sol.
Et c’est là le « clou » de l’histoire: qui est venu la délivrer (parce que evidemment moi, blaireau moyen patientant en haut du rappel je ne voyais rien, vu le devers et n’avait donc aucune conscience du « drâme " qui se déroulait TATATAA!) ?
Mais oui le grand blond en personne, qui sorti d’on ne sait où a grimpé sur l’arbre, a mis ses deux mains calleuses sur les admirables fesses de ma copine (que dieu lui pardonne) et l’a aidée à défaire son noeud de sécu pour enfin la libérer. Je vous passe les détails sur ma tête et mes yeux hallucinés, quand à mon tour au bout de ma corde j’aperçus celui qui m’avait fait rêver pendant mon adolescence (la vie au bout des doigts, opéra vertical ») et m’a donné envie de grimper. Dans ces cas là, tu feins le naturel, tu n’oses pas t’approcher pour parler à une légende vivante (malgré tes 38 balais) …simplement tu te permets de le remercier en esperant qu’il ne te prenne pas pour un gros blair qui laisse sa copine pendue au bout d’une corde. Et puis tu le regardes s’échauffer avec son copain dans une jolie voie en dévers, le placement de pied toujours aussi précis, les mouvements toujours aussi chorégraphiés, le corps toujours félin. Alors même si je n’ai pas osé vous (te) le dire en face, merci Patriiiiick de m’avoir donné le goût de la grimpe, le bonheur d’un sandwich avec un verre d’eau :wink: et chapeau pour votre leçon de vie (cf le reportage de France3 cité dans un post)

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

Jolie anecdote…
Et je peux le dire moi aussi : merci Patrick !

Posté en tant qu’invité par SB:

Tres belle histoire StefM,

Moi c’est en arrivant aux blocs de Ceüze en mobylette un matin de 1982 ou 83. Un camping-car était là, et deux trois vrais baba s’étiraient les tendons. Je met la mob sur béquille et là qui vois-je et qui me dit « salut »
Comme si Elvis me disait hé toi, salut p’tit mec…

Mais comme ma mob marchait bien, aucun souci de carburation, ni quoi que ce soit je n’ai pas eu besoin de son aide.(ah ah)

Par contre trop impressionné, je ne l’ai pas collé même pour le regarder grimper ni osé lui dire qu’il était à l’époque ce putain de héros contemporain, qui me faisait m’entrainer, etc.