La progression étant ici entendue comme le fait de progresser dans l’échelle de difficulté.
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[Modération forum] : digressions humoristiques mises au bistrot…
La progression étant ici entendue comme le fait de progresser dans l’échelle de difficulté.
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Pou rma part, c’est le manque de technique. Mais un choix qui ne figure pas qui aurait pu être intéressant :
« le manque de confiance en son matériel »
Posté en tant qu’invité par P’tit’ étoile:
D’ autre choix qui ne figurent pas et qui concerne sûrement un bon nombre de grimpeurs: l’âge et/ou les blessures.
Posté en tant qu’invité par baloo:
le manque de stabilité de la position du centre de gravité !
Rien !! Ma progression est illimitée.
Un demi degré tous les 5 ans, j’annonce la réalisation de biographie à vue aux alentours de 2100.
une chute de 10 metres, et plusieurs mois d’hosto… mais je m’y remet… sa vien bien…
Posté en tant qu’invité par PA:
une epaule opérée!
Posté en tant qu’invité par olive65:
Le manque de partenaires !
Alors faites signes si vous cherchez à grimper (grandes voies surtout).
Olive ( 06 17 05 73 53) (basé vers l’Argentière depuis peu)
Moi , c’est mon corps.
Pourtant j’insiste, je lui dit " allez, bloque la c’te prise. Ce truc , c’est du 2". Mais rien à faire, il refuse…
Posté en tant qu’invité par la baltringue:
le temps evidemment, et aussi le peu de plaisir à faire de la couenne. Si j’ai la chance d’avoir un WE sans gamins, je prefère aller faire une GV… du coup je stagne, mais ca me suffit finalement.
Une epaule opérée clavicule fracturée ! :rolleyes:
le manque de temps parce qu’il faut bien gagner sa croute
le manque de motivation parce que s’entrainer demande de la discipline et on n’a pas toujours envie de se faire violence après une grosse journée de boulot
le manque d’entrainement structuré… pour la même raison…
et un ligament croisé qui a péter cet hiver et qu’il faut réparer
Posté en tant qu’invité par ghisino1:
-blessures : si je cherche de garder le « nouveau » niveau venant d’un pic de forme, souvent je me fais quelque petite blessure aux doigts… D’ailleurs une blessure à l’épaule plus sérieuse m’a enlevé 1 an et demi avant de revenir au niveau « d’avant ».
-poids et appétit : être un peu trop lourd n’empêche pas de progresser, tout simplement on progresse à un niveau plus bas…
mais de toute façon je suis convaincu d’être un peu plus lourd que mon « poids idéal de grimpeur ». Pas grand chose mais je crois assez pour m’enlever une cotation lettre… D’ailleurs mes meilleures périodes de forme sont presque coïncidents avec une perte de poids…
-impossibilité de dédier à la grimpe le 100% de mes énergies mentales, stress.
mon fils de 15mois…et aussi parfois le manque de partenaire motivé pour aller plus fort (d’ou progression) 7b 7c
Moi, c’est l’âge…
La gravité.
le temps
ensuite mon vrai défaut : le relachement-la respiration.
J’ai répondu le manque de temps (surtout ces temps-ci), ainsi que manque de force, de rési, et l’absence d’entrainement structuré.
A cela pourrait s’ajouter la météo en opposition de phase avec les disponibilités, le manque de partenaires d’un niveau similaire ou supérieur ou ayant envie de se mettre des combats dans des voies dures, et pour finir, une blessure au printemps qui traine, qui traine.
La majorité, c’est « je manque de temps » et « j’ai peur du vol ». Il faudrait plus de temps libre pour aller chez le psy, alors.
Je ne sais pas si ce sont les mêmes qui ont répondu aux deux…