Le Loup! La question qui déchaine les passions dans l’alpe.
Si on prend le point de vue des bergers, on comprend leur hostilité. Pour proteger leur troupeau, ils ont été obligé se pourvoir de patous, des chiens capables de faire peur a un loup et donc accesoirement aux autres usagers de la montagne. Ils vivent dans le stress permanant d’une attaque et j’imagine que ca doit leur faire vraiment mal au coeur de voir les betes dont ils s’occupent toute l’année se faire dézinguer par un loup. Quand a l’argument « ils touchent un dédomagement, donc ils ne devraient pas se plaindre » je pense qu’on mesestime le préjudice morale qu’ils subissent, l’argent ne répare pas tout. D’ailleurs si l’argent était la seule motivation des bergers, ils ne feraient pas ce métier.
Donc clairement l’interet particulier des bergers est menacé. Doit-il passer avant l’interet collectif? C’est la que j’ai du mal à saisir ou se trouve l’interet collectif dans la presence du loup. Dans l’equilibre de la biosphére? Il me semble que les déquilibres de la biosphére alpine sont davantages liés à la pression humaine qu’à l’abscence de loup, mais personne ne semble être prés à arreter ses pratiques pour faire des Alpes un sanctuaire de la Wilderness : ni le berger, ni le chassuer, ni le randonneur a pied, ni celui à ski, pas plus que l’alpinisme, le skieur en station etc… Je ne jette la pierre à personne, je constate seulement certaines de nos contradictions. Mais soit, le loup participe à l’équilibre de la bioshére, donc il apporte un valeur ajouté à notre envirronnement.
Entre l’extermination du loup et la mise en reserve intégrale des Alpes, il y a sans doute un compromis à trouver, c’est pourquoi la proposition 2 du sondage me semble la plus cohérente. Le loup, comme toute espéce sauvage en milieu humanisé, doit faire l’objet d’une régulation pour que tout le monde s’y retrouve.