Qualité de la pose de l'équipement

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Même constat sur une falaise du gard…

Mouais ,pas de quoi faire un caca nerveux .
C’est sûr que les goujons auraient dû être enfoncé ou cassé mais les scellements c’est juste un problème de finission.
Déjà avec la colle rose Hilti la finission est forcément merdique ensuite le surplus de colle qui deborde des autres points aurait pu être enlevé, en effet. Y en a qui l’étale sur le rocher, ça fait une corolle de colle autour, j’aime pas .
Mais c’est juste esthétique, tant que le scellement est bien collé, c’est pas pire .
Et par contre je trouve ses points un peu trop noyé dans le chanfrein.
J’ai jamais posé des scellements Raumer . Vu la forme de l’anneau, pas sûr qu’il faille un chanfrein. A voir
Réaction sur les photos, j’ai pas encore lu son article

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D’où le titre original, (équip-eur, ton univers impitoya-ableuh) qu’une modération chagrine a modifié.

Carrément. Faut pas craindre la critique parce que ça y va bon train:
Le point est mal placé, c’est trop engagé, c’est équipé trop proche , moi je bidoullle en collant mais toi faut pas que tu tailles, tu fais que équiper tu nous voles les lignes, etc etc .

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Et le sujet est au moins aussi intéressant pour le commun des mortels que de savoir d’un faut ou non un chanfrein quand on colle des broches raumer en acier cr-mov-7 avec la colle hilti x-51bis…

ça me choque pas non plus, je vois ça assez souvent.
Je préfère ça à une broche qui sort de 2 cm comme on voit parfois.
La colle Hilti rose évolue vers le gris avec les mois/années.
Pour les Raumer il faut aussi a priori un chanfrein. Uniquement en bas pour les type superstar/masterfix

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En plus, est-ce que ce travail dégueu a été payé et combien…

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perso, je trouve ça dégueulasse comme job, je vous trouve bien sympas dans votre jugement :wink:

oui certes la sécurité est assurée. mais bon, c’est du job de cochon (en plus du job rémunéré).

quand on voit les finitions qu’on demande à un artisan chez soit, ou la qualité de finition sur une fringue qu’on achète… là il y a un monde je trouve.

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On parle de rééquipement, pas d’équipement de nouvelles voies.
On attend d’un rééquipement que l’équipement soit d’une qualité (finition comprise) au moins aussi bonne que l’équipement d’origine. Le but est d’améliorer l’équipement, pas de le dégrader.
Et le minimum lors d’un rééquipement, c’est demander l’avis des équipeurs d’origine, ce qui n’a pas été fait ici.

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après, ça pourrait toujours être pire…

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bah justement, là personne n’achète la voie, et personne n’oblige à la faire non plus…

La suite c’est quoi, on va se plaindre qu’un point est mal placé, ou bien qu’il y a trop ou pas assez de points dans la voie ? Ou que c’est des plaquettes et pas des broches, que les plaquettes sont jaunes au lieu de grises. Et que la vue est pas belle, le soleil trop chaud et qu’il n’y avait pas de place de stationnement à l’ombre.

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Si je comprend bien, dans ce cas là, justement il y a eu achat d’une prestation de rééquipement.

Et quand bien même, quand il s’agit d’un bien commun, la question de prestation facturée ou non ne devrait pas rentrer en compte.

C’est un peu comme les chiottes : chez soit on fait ce qu’on veut. Quand on utilise celles des autres, on les laisse au moins dans l’état dans lequel on les a trouvées.

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Ah, bah dans ce cas on est effectivement dans le même cas qu’avec un artisan qui a fait du travail qu’on trouve baclé, on peut lui faire la remarque, et plus si affinité.

le plus dingue, c’est qu’un mec a été payé pour…

Salut, il faut un chanfrein, Raumer n’a pas vraiement été clair la dessus pendant longtemps (et je pense, sans preuve, que le design a été pensé pour eviter celui ci), maintenant il propose deux methodes de pose, (A et B), une recommandé, une déconseillé mais autorisé… la premiere (A) tu fais un chanfrein, mais ce n’est pas claire si la soudure doit etre noyé dans la resine, la deuxieme (B) pas de chanfrein, mais de la cole la ou on l’aurait fait.

Method A

  1. Choose an undamaged and solid area of rock away from edges.
  2. Strike the surface with a hammer to determine the rock consistency.
  3. Drill a hole perpendicular to the placement surface. (Please note: the hole must be 2mm wider than the shank diameter). The depth should be no more than 5mm longer than the anchor shank to reduce resin waste. To optimise placement, it is (almost) always recommended to also make a groove in line with the desired load. To do this, hold the drill perpendicularly to the surface and make a 1cm-deep hole 3.5cm from the centre axis of the upper hole, in line with the directional force. Now position the drill at a 45° angle and, beginning from the hole just created, make a 6-10mm deep groove to join with the upper hole. Clean well and test by inserting a “Superstar” eyebolt into the hole. The anchor must be positioned correctly inside the groove. When the resin is applied, this ensures perfect and permanent placement which is unaffected by vibrations and transversal force. Use the drill to make any necessary adjustments.
  4. Clean the hole either with an appropriate pump or by blowing down a rubber tube. A pipe-cleaner is also recommended to completely remove any dust from inside the hole.
  5. Using an injector gun, inject the correct amount of resin into the base of the hole and along the groove.
  6. Insert the anchor to a point about 1cm from the base and twist in semicircles to coat the surface of the shank completely in resin. Now insert the “Superstar” fully into the groove. A small amount of resin may exit from the hole edges and around the eye, demonstrating a good fit. Use latex gloves throughout this procedure. Remove any excess resin from the edges of the eyelet, sealing the edges. This is important to prevent water from entering in the future. This is particularly important in marine environments.
  7. When using this anchor to protect overhangs or roofs, use the same process as above but do not create the groove. Once the anchor is in place, hold it in position using a couple of cocktail sticks (or similar…) between the edge of the hole and the shank’s surface. Without this the anchor has a tendency to fall out of the vertical hole. Once the resin has hardened the two sticks can be easily removed.
  8. After applying the resin do not touch the anchor. Leave to set for at least 24 hours – if possible for 2/3 days, depending on ambient temperature. Respect any advice given by the resin’s manufacturer.

Method B
As for method A up to and including step 4. However for obvious reasons, this system can not use the groove method as described above. Instead, as soon as the hole has been drilled and cleaned, continue as follows:

  1. Take a phial of synthetic resin and hold for a few sections; the hand temperature should loosen the resin and make it settle on the bottom. Insert the phial into the cleaned hole, ensuring that any air contained within the phial faces out.
  2. Insert the anchor into the hole with the phial and break this using a hammer. Strike the head of the anchor hard, turning it at least ten times to coat the surface fully. It is very important to execute this process accurately as the internal catalyst container within the phial itself must break and mix completely with the resin. Without this synthetic resin is ineffective. Note: the process described above is difficult as the presence of the phial within the hole causes substantial resistance when attempting to insert the anchor. To remedy this, RAUMER has designed a small attachment (art.302) to be used with SDS Plus drills which allows for perfect and rapid anchor placement without excessive effort.
  3. Turn the eyebolt to face the directional force and wait at least 24 hours before use.

IMPORTANT NOTE: Resin placement using method B has some obvious benefits in terms of convenience and practicality. However the quality, strength and durability factors are far from equal to bicomponent epoxy resin, which we recommend for almost all situations. Either way, to ensure a high quality placement we highly recommend using fresh resin which has recently been produced and has a long expiry date.

noyer le fond de l’ancrage, comme par exemple sur une broche fixe, est vachement plus dure que sur ceux qui ne le sont pas (style broche cosiroc, collinox etc). mais si la colle est bien choisi, et le travail fait soigneusement, l’impact visuel est plus faible!

sur les borches cosiroc de l’article, je me demande quelle est la colle (je ne connais pas cette couleur).

Que ce soit pour les rings Tecforge ou les Raumer, il faut un léger chanfrein, et surtout pour les Raumer bien placer la soudure vers le haut… Quand a la résine j’utilise plus hilti depuis la fin de la C100… il reste toujours Sika et Wurths entre autres…
quand aux « Bavures de colle » c’est lamentable !

Ce que tu cites de mes propos dans ton post n’a pas grand chose à voir avec le billet d’humeur de Guy. C’était plus une digression de différent propos que j’ai pu entendre . Adressés à moi même ou à d’autres
Pour revenir à ce sujet j’ai lu l’article et effectivement cela concerne des reequipement de falaises . Et le boulot bâclé va beaucoup plus loin que la simple finission des bavures de colle.
Pour le coup sur son billet d’humeur, j’ai pas grand chose à dire…
Après, équipement ou reequipement du moment qu’on fait un scellement la question de la finition se pose de fait. Et il y a plusieurs école . On a lu MIPI avec sa brindille et son doigt mouillé, d’autres qui laissent déborder le pâté en l’état, d’autres qui enlèvent le surplus proprement avec une lame, d’autres qui étalent la colle sur le rocher, d’autres avec un chiffon etc
Bref à chacun ses goûts ,à chacun sa sensibilité.

La colle jaune ? J’avais envie de dire du C100 mais vu que c’est des ring tecforge le nouveau nom commercial de brouet-bradet qui est assez récent, ça doit pas être ça. Du coup je ne sais pas quelle colle récente à cette couleur

cette résine est fabriqués au Puy en velay, elle est pas mal, je connais pas sa durée de résistance dans le temps…sinon elle est un poil trop liquide…

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