Les chiens de protections sont subventionnés par nos impôts, pour « défendre » un élevage subventionné également par nos impôts, le tout résultant en une interdiction d’accès à certaines zones de montagne, de fait, pour… les payeurs, c’est à dire vous et nous.
C’est assez ubuesque comme situation, et insoutenable à long terme pour le tourisme: les randonneurs/coureurs/VVT-istes, alpinistes… que nous sommes, sont une source de revenus très importante pour de nombreuses vallées et zones rurales.
Quelques idées en vrac:
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Un boycott systématique, avec force communication, des communes tolérants les chiens de protection sans surveillance, ferait revenir très rapidement leur maire à la raison, qui exigeraient une surveillance par le berger/éleveur.
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Il ne serait pas compliqué pour les communes d’ajouter une clause de rupture immédiate dans toutes les conventions pluriannuelles passées avec des bergers/éleveurs, en cas d’agressivité démontrée ou de morsure d’un chien de protection sur un humain. Chien de protection attaquant l’humain = suspension immédiate de la convention avec le berger/éleveur.
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Les attaques de loup se produisant la nuit principalement, on pourrait imaginer attacher les chiens de protection en journée, et les libérer la nuit. La nuit, les randonneurs/coureurs/VVT-istes, alpinistes… sont rares.