Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
on lit un topo, on fait la voie, puis, sans pomper le topo,
on fait la description de la voie sur internet, c’est certes
légal!..A titre perso, je ne me sens pas bien dans mes
baskets si je fais ça dans le cas où l’ouvreur s’est fait
chier à nettoyer, équiper un terrain ,pondre un topo qui lui
permet de gangner plus ou moins de brouzoufs. voilà,voilà
bon moi j’fais pas d’ecalade alors ce domaine, je ne vais pas (trop) la ramener. Mais bon je dirais quand meme que ce que tu dis (l’ouvreur s’est fait chier à nettoyer, équiper un terrain ,pondre un topo ), ça reviedrait à dire que 1- l’ouvreur s’approprie un pan de montagne 2- l’ouvreur se fait chier (je te cite! ;o) en montagne…!
Dans le cas d’itinéraire d’alpi, j’ai moins de scrupules ce
qui est peut-être très con! Au moins je me justifie par
l’intérêt de faire connaitre des conditions de course. Je
suppose que c’est le même raisonnement pour skirando.
Tu peux aussi faire une course en te basant sur les cartes (certes, ça conerne surtout les courses F ou PD où les courbes de niveau sont suffisament distantes pour avoir une lecture claire de la carte) et sans topo. Moi je fais ça sur l’enorme majorité de mes courses à ski et j’ecris mes topos moi-même sans avoir besoin d’un topo. Donc je vois pas pourquoi j’aurai le moindre scrupule a rentrer mes itinéraire juste parce que « quelqu’un a fait le meme itinéraire et il a publiée un topo papier ».
ça vaut aussi pour les courses d’alpinisme F ou PD. y’a vraiment pas besoin de lire un topo pour pouvoir monter au sommet du Bishorn par sa VN, par exemple. La carte suffit amplement.
J’ai absolument rien contre les topos (chacun prepare ses courses come il l’entend) mais je suis quand meme assez surpris de la veneration que vouent pas mal de skieur/alpinistes (qui sont certainement infiniment plus experimentés que moi) pour les topos papiers.