Ah ben vas-y si tu l’as on t’écoute.
"Pourquoi la montagne est-elle sublime"
Je te renvoie à mes contributions précédentes.
C’est bien la peine de solliciter les uns et les autres, si c’est pour ne pas lire !
Bonne journée.
Quelques jolies propositions de réponses (ou de nouvelles questions…!) ici
Ah si j’avais lu. Mais en effet ça ne m’avait pas marqué
Difficulté de compréhension, sans doute.
M’avait, pas m’avais. Cqfd.
Houla, est-ce à la portée de notre ami pasinvite ? À mon avis, ça le dépasse, mais attendons de lire ses commentaires…
Je ne faisais le rapprochement avec l’amour que parce qu’on ne sait pas trop pourquoi on tombe amoureux de telle personne plutôt qu’une autre.
Un peu pareil pour la montagne. Pourquoi plus la montagne qu’autre chose?
Ma question reste sur la montagne pas sur l’amour sinon j’aurais ouvert un fil sur l’amour.
Merci quand-même pour le lien que j’écouterai peut-être à l’occasion.
A part ça je vois que ça n’a pas trop avancé en propositions intéressantes
Hello,
Ne t’avons-nous pas donné plusieurs éléments pour que tu nous donnes maintenant… ton avis sur la question?
; )
Mmmmmhhhhh …
Le sujet du fil est intéressant, même si l’objet en est, selon moi, peu clair.
J’ai bien vu que le terme « sublime » était dans l’esprit du premier auteur une sorte de prétexte. Soit.
Mais c’est peut-être un peu dommage quand même. De mon point de vu, je trouve le terme très à distance de ce que je ressens, à la réserve de la direction suggérée par Catherine, celle du sens physique du mot, proche assez de la transmutation des anciens alchimistes. S’il en est pour vouloir explorer cette direction, je les suivrais avec un grand intérêt (Catherine, tu y vas ?).
D’un autre côté, je n’ignore pas que l’association entre la montagne et le sublime a été faite par d’autres, d’une manière plaisante, je trouve.
Pour moi qui n’y crois pas un instant (au « sublime » des montagnes), j’avais suggéré il y a trèèèèès longtemps que le seul intérêt des cimes était de révéler l’abîme.
Partant, de fabriquer un espace où l’on puisse inscrire sa trajectoire d’homme (Cette idée a déjà été proposée sur ce fil, désolé de la redite). Espace varié et variant d’une manière continue, montrant qu’il n’est pas de versant ensoleillé qui ne suggère son pendant ombreux, pas d’arête d’où se révèle le premier soleil sans son canyon où se réfugier, si le soleil insupporte … etc, etc.
Enfin bref : une métaphore physiquement sensible de l’espace que nous portons tous à l’intérieur de nous, qui nous attire et nous effraye à la fois.
Ce genre de trucs, quoi …
Ah mais j’ai dit que je n’avais pas la réponse donc j’en ai pas plus. Mais j’ai aussi dit que les notions d’inconnu, d’exploration …me parlaient. Mais que c’est pas suffisant pour expliquer pourquoi la montagne et pas la mer ou la spéléo ou même l’archéologie.
La direction physique donnée par Catherine ne me plaît pas
Sublimation pour moi effet du fhoen sur le manteau neigeux (directement de l’etat solide a gazeux donc )
Signifie disparition rapide de mon terrain de jeux ,pas d’accord du tout dit donc
Pas mal en effet. Mais j’y accorde plus d’importance que toi. On sent là poindre une sorte de passion/fascination pour la montagne encore (et elle l’est toujours) inexpliquée semblable à celle des alpinistes.
Ya quand même un truc romantique là-dedans qu’on le veuille ou non.
Oui, oui, bien sûr
…
Mais je me demandais s’il ne serait pas rigolo d’appliquer l’idée à l’alpiniste (skieur, randoneur, Vététiste, etc), et à son corps solide.
Et donc, s’efforcer d’imaginer si l’idée d’un corps vaporeux de l’alpiniste a un sens ? si oui lequel ? Quelle conséquence sur sa manière penser ou bien de prendre l’apéro ? (Et sous quelle forme, grand dieux, sous quelle forme, l’apéro ?) …
Quelle serait une représentation satisfaisante du corps vaporeux de l’alpiniste ? En 3D, en 4D ? Comment communiquer avec lui ?
… etc, etc.
Ce genre de questions basiques, en somme.
Euh non non. Aucun.
Enfin je te laisse libre d’approfondir le sujet mais sans moi
Hummmm …
Il y a peu de mouvement littéraire, pictural, musical … artistique pour faire synthétique, que je trouve aussi détestable que le romantisme.
Il me semble que l’usage habituel que 'on en fait dans les conversations est tout à fait contraire à sa nature, où le pathos le dispute à l’emphigourique, l’ostentation au narcicisme le plus pathologique, le goût obscène d’étaler l’intime à une espèce d’impossibilité ontogénétique à l’empathie … et tout et tout (j’en mets dix lignes, si vous voulez …)
Tout cela bien loin des références montagnardes, ne sont-elles pas ?
Ah.
Vraiment ?
Tu n’as jamais perdu un ami, un amour, un proche en montagne ?
Et ne dit-on pas en termes imagés qu’ils se sont « évaporés » ?
Aucun sens, en es-tu si sûr ?
Et bien j’aimerai bien être vaporeux après une grosse sortie rando ou vtt a 67 balais avec 3 prothèses articulaires
Malheureusement dans la vraie vie mon corps solide se rappelle bien a moi
Pour ce qui est de l’apero par contre aucune problèmes, classique binouzes a l’arrivée et tisane irlandaise le soir ,bon on s’eloigne la
Va pas être content l’invite qui s’invite pas
Sinon je me répète l’emotion
Une question peut-elle être basique ? Puisque par nature une question est une preuve de curiosité, l’une des qualités premières de l’espèce humaine.
De rien pour la digression. Il en fallait bien une.
Euh ben c’est déjà fait (sur portable).
Curieux cette aversion.
Pourtant c’est bien les romantiques qui ont en premier ressenti cette étrange attirance pour la montagne qui se rapproche un peu de ce qui a animé les alpinistes depuis qu’ils existent. Rousseau en tête (je sais pas s’il est classé dans les romantiques mais il avait la fibre)
J’ai pas du tout pensé à ça en te lisant. Désolé.