C’est le cas de quasi tous les sports.
C’est plus ça qui m’intéresse.
"Pourquoi la montagne est-elle sublime"
oui complètement. Ce qui veut dire que le terrain de jeux peut avoir son importance, ce que je disais plus haut sur les aspects esthétique, symbolique de la montagne et j’en rajoute un, physiologique (l’altitude et le manque d’oxygène qui peut enivrer)
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Ouais physiologique lié au manque d’oxygène ça me paraît très marginal (même si chez les 8000ers en série paraît que ya une addiction mais ça explique pas le goût pour la montagne au départ )
Esthétique oui un peu c’est sûr.Symbolique peut-être
Ça me suffit pas comme réponse. 
Que veux-tu comme réponse, par exemple?
Si je le savais je poserais pas la question. Pour l’instant la réponse qui me va le mieux à la question de pourquoi gravir les montagnes c’est « parce qu’elles sont là »
Je sais plus qui a dit ça, c’était sans doute une très bonne réponse mais quand-même un peu court jeune homme.
De « pourquoi la montagne est sublime » tu arrives à « pourquoi gravir les montagnes ».
C’est différent, non ?
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C’était mon idée de départ. J’ai emprunté le titre a France cul.
Mais apparemment eux aussi ils ont discuté de pourquoi gravir les montagnes.
J’ai essayé de faire une réponse à la « pasinvité », mais apparemment tu goûtes peu le style. Je taquine, hein… pour une fois que ce n’est pas toi ; )
Quid de l’émerveillement sans cesse renouvelé, de l’inconnu, de la volupté et de l’ivresse des émotions simples parfois…?
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Article sur l’émission de France culture
Philosophique ça va trop loin pour moi. Bon c’est France cul quoi. C’est pour ça que je voulais pas qu’on fasse référence à eux.
Ok comme je te connais peu je ne connaissais pas ton côté taquin dsl
Pour la suite de ta réponse ya de ça mais pourquoi la montagne? Ça peut se trouver ailleurs tout ça.
Je retiens quand même l’inconnu. Pour moi en tout cas il y a une part exploration qui joue beaucoup.
J’ai l’impression que tu attends, ou espères qu’on découvre pourquoi, toi, tu aimes la montagne. Qu’on se mette à ta place en fait.
Ben en fait je me pose la question. Il me semble qu’il y a une base commune à tous ceux qui sont attirés par la montagne. Je me trompe peut-être ? Je ne pense pas. Pourquoi aller en montagne pour faire du sport alors qu’on pourrait le faire à côté de chez soi.
Il y a à la base une fascination
Bien sûr…
Pour moi, dans les déserts tunisiens, jordaniens (les seuls que j’ai eu la chance de découvrir en partie): jeux de couleurs, faune discrète mais réelle, quelque activité économique locale, le calme, une ambiance ancestrale et attractive, des émotions inhérentes…
Ou en Bretagne nord par ex (personne sur des plages de sable blanc longues de 2 kms); spectacle des vagues, marées, oiseaux…
La fascination, oui!!
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Et ça te fait le même effet? Moi non. J’aime aussi mais un cran en dessous.
Il y a une dimension d’efforts en montagne, que je ne recherche pas dans les autres espaces naturels
S’élever ? Pas seulement physiquement…
Un pur esprit s’accroît sous l’écorce des pierres (G. de Nerval)
Ok. Moi ya pas seulement ça.
On a parlé inconnu, exploration. Je me souviens gamin être monté au col du Soufre. Ça m’a fasciné. Ce glacier juste là. J’ai demandé à mon papa (non non ne me faites pas aller sur ce terrain c’est juste que c’est lui qui était là à ce moment) « mais ya quoi après ».
Je me souviens parfaitement avoir eu le sentiment d’être arrivé « au bord du monde »
C’est assez comique quand on sait que Val Tho est juste derrière.
Et cette envie mêlée de crainte de pousser plus loin pour voir. Mais c’est pas moi qui décidais.
Ça occupe.
Il y a plus à découvrir dans les océans/mers qu’en montagne. D’ailleurs si tu étais honnête et observateur/réceptif, tu verrais qu’une balade en forêt dans une plaine ne ressemble pas à une autre balade dans une autre forêt dans un autre endroit en plaine, (mais aussi les bords de rivière) tu peux donc « explorer ». Explorer entre guillements car en 2023, des centaines de générations d’humains ont foulé, vus, utilisé ces montagnes et leurs ressources, en t’intéressant à l’Histoire d’un petit coin de montagne de maintenant jusqu’à l’Antiquité tu serais surpris de voir que rien ne peut être nouveau. Samivel disait un truc du genre « les sentiers durent plus longtemps que les empires car ils sont d’une utilité plus impérieuse » (je n’ai plus les mots exacts). Ça ne peut pas être ta réponse.
Le chrono. Le score de l’altitude la plus élevée. L’itinéraire facile le plus dangereux. L’itinéraire difficile le plus difficile. La solitude. La foule heureuse. Un apéro ailleurs qu’au V&B ou dans le salon. La nouveauté. L’habitude… à chacun ses motivations.
Ben à côté de chez moi c’est une montagne, du coup …
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on va pas y arriver… 
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