Pour résumer ce que je disais plus haut, chaque cri correspond à une émotion/intention. Donc à l’affect et/ou à l’intellect. Dans certains cas c’est pour mieux tenir une prise en libérant plus de puissance et enchainer le pas, dans d’autre c’est par peur, et enfin dans certains cas c’est en direction d’autrui.
Pourquoi crier dans l'effort ?
Comment vous avez des réponses d’une pertinence bien au-delà de mes espérances, j’continue les questions !
Comment fait-on pour arrêter de crier sans mobiliser trop d’énergie ?
On crie pour libérer toute sa puissance à s’empêcher de crier ? Ah, nan, ça n’fonctionne pas.
Parce que maintenant que j’l’ai noté, en fait j’réalise que ce n’est pas si fréquent : c’est juste quand j’suis au bout d’la vie de mes bras et que j’ai envie de m’envoyer.
Comme suis une flemmarde qui n’aime po souffrir, ça m’arrive genre une fois tous les 6 mois en gv, et une fois tous les deux mois quand il pleut trop et que j’redécouvre la salle.
Mais là, entre hier en falaise épuisée, et aujourd’hui en salle où j’ai failli faire tomber le grimpeur voisin tellement c’était strident… J’me dit que ce serait chouette que ça n’sorte pas tout seul ! Sans pour autant avoir moins d’énergie, hin !
J’veux l’beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémière, ou z’avez une astuce ?
Tu te colles la bouche avec le gros scotch marron. Ou alors une poire d’angoisse (j’adore ce terme). Tu sais ce que c’est, j’espère ?
Nan mais j’veux pas chercher, d’abord j’fais travailler mon imagination et après j’te laisse raconter (la poire d’angoisse hin, parce le scotch marron, je gère 
)!
Peut-être déjà éviter cette voie?
https://www.camptocamp.org/outings/1159331/fr/punta-di-u-cubu-les-suppositoires
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Ce ne sont pas des conneries…
Quand on fait un kata respiratoire, on apprend à canaliser l’énergie via la respiration, et lors de l’effectuation d’un mouvement bref et intense, l’expiration qui accompagne « l’explosion musculaire » se manifeste par un cri (le fameux Kïaï).
Le même type de travail musculo - respiratoire se retrouve dans pas mal de sports « explosifs », y compris dans l’escalade qui semble parfois plus lente et maîtrisée (quoique…); combien de fois se retrouve-t-on « quasi en apnée » si on ne se surveille pas? Combien se prennent « des buts » à cause d’une mauvaise gestion du diaphragme?
Par ailleurs, en bloc (mais pas que), j’ai retrouvé des masses de gens ayant pratiqué les arts martiaux… je ne pense pas que ce soit un hasard…!
Essaie de faire un peu comme moi, mais à ta sauce : au lieu de crier, tu expires fortement. Avec quelques essais sur des gros mouv, tu devrais réussir à caler le truc pour que ça te convienne.
Kiaiii!
Désolé c’est l’effectuatlon ca me fait de l’effet j’ai pas pu me retenir.
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Ben, en arts martiaux, comme ce n’est pas toujours nécessaire, en entraînement, de faire trembler les murs, tu apprends à canaliser énergiquement ta respiration, sans meugler comme un buffle… c’est ce qu’on apprend à faire en kata respi où seul l’atemi fatal au fantôme que tu combats nécessite le kiaiiiiiiiiiii… je schématise un peu.
Ça reprend l’idée des posts de pire, de pasinvite et d’adri1v.
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A moins que ce ne soient tes propres peurs fantômes que tu cherches à pulvériser…
Mais je m’égare.
Rantanplan ?
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Mais le diaphragme n’a pas de rapport avec le kiaï. De même que le simple cri poussé pendant l’effort, y compris le plus souvent dans les entraînements des arts martiaux, et même hélas dans les compétitions…
Il m’arrive encore de grogner dans un blocage, mais c’est plus Lié à l’arthrose.
Ceci étant une profonde inspiration, et un souffle intense m’aide pas mal
Dernière chose, j’ai eu l’occasion de côtoyer edlinger, à diverses époques, je ne l’ai jamais entendu hurler. Il dégageait de ce gars une fluidité, une sérénité lorsqu’il grimpait que je ne peux qu envier
" Oh oui" c’ est réservé pour la couette et non la couenne 
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je ne supporte pas les gens qui soupirent tout le temps… c’est insupportable.
Alors j’ai bien deux solutions mais bon…
La 1ère, tu te répètes encore et encore : « mais qu’est-ce que je fais ch…r tout le monde autour de moi quand je crie !! ». Une forme de méthode skoué en quelque sorte. Parce que quand même et sérieusement, qu’est-ce que c’est chiant quand ça beugle en permanence.
La 2nde si la 1ère ne fonctionne pas ce serait plutôt la création d’une sorte de réflexe pavlovien : dès que ton partenaire se dit que tu vas crier, il te tire (avec la corde, voyons, voyons pas de ça chez nous) et tu tombes. Normalement, ça devrait aussi fonctionner après quelques changements de partenaires devenus sourds suite à des cris d’engueulade suite à ta chute.
Une vidéo intéressante sur les cris au tennis :
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cool ! si j’ai bien compris, je crie au pied de la voie et en fonction de la fréquence, je sais si elle est réussie ou ratée ! plus besoin de se faire chier à grimper plus de patine plus de traces de magnésie … une grimpe écologique.
ma question : puis je le faire de ma maison pour améliorer mon bilan carbone ?
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