Pourquoi c'est si dur le vélo, dans un objectif d'écomobilité ?

je prends souvent des vélos libre service, et pour faire quelques km ça va très bien. À part quelques-uns qui sont hors d’usage, ce qu’on remarque en 3/10è de seconde, ça suffit largement, même pour une côte à 5 %.

Le manomètre c’est quand même un gadget dont il peut largement se passer.

Chaque sport fait travailler les muscles d’une manière spécifique. Certes si on est déjà entrainé à un sport d’endurance, ce sera plus facile pour le corps en général, le coeur, la respiration etc
Je courais régulièrement deux fois 15 km par semaine, mais lorsque je me mettais à la randonnée pendant les vacances, effort plus long certes, mais régulier et moins intense, j’avais des courbatures à chaque fois.

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WP indique que les velo’v lyonnais pesaient 22 5kg en version non électrique ! Bien évidemment sans braquets adaptées à des pentes de 5% et plus.
Un vélo en libre service doit avant tout être robuste et nécessiter peu d’entretien. Ce n’est pas concu pour monter des pentes, à fortiori parce ça fait partie de la mission du prestataire de remonter les vélos.

Tes propos sur les 15 km/h sur des pentes de 5% et plus semblent illustrer une méconnaissance du sujet, à minima une propension à l’exagération. Pour monter à 15 km/h des pentes de 5%, il faut déjà être un « cyclotouriste » entraîné avec une machine raisonnablement correct.

Liskamm?

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eh ho ! c’est pas le jeu du sommet ici, c’est le jeu de keskifrera.avancer.mollotof.a.velo :biking_man:

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Une carotte ?

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C’est fait depuis longtemps

J’aimerais bien…

Enfin quelqu’un qui comprend ce que je voulais dire au lieu de m’inonder de termes de geeks du vélo. Je veux pas traverser les alpes, je me demande juste pourquoi, alors que je suis un peu actif, le vélo me demande tant d’efforts, même pour des déplacements du quotidien, pour lesquels un vélo de base comme le mien suffit amplement. Nos grands parents le faisaient bien avec des clous biens pires…

je te dis pas de monter à 15 dans une monté de 5 %, mais à 15 sur du plat. Et quand ça monte tu vas moins vite.
Quand tu fais un aller retour, dans un sens ça monte et dans l’autre ça descend, donc au final ça fait 15 de moyenne.

Je me rapelle plus les velov, mais les vélibs y’a 3 vitesses, avec la plus facile tu montes un pente de 5 % (donc faible) sans problème.

3 vitesses pour monter des pentes de 5 % avec un vélo de 20 kg. On tient un champion !
Dans la vraie vie, et donc en pédalant sur un vrai vélo, avec des vrais jambes, sur une vrai pente c’est tout de suite plus compliqué. Je ne vois guère de vélo 3 vitesses sur des pentes à 5% hormis en assistance électrique. Je monte plusieurs fois par semaine une pente de 6% de 1,5km pour mes déplacements.
Tu n’as pas du souvent monter de pentes à 5%.

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surtout pas un bâton (dans les roues) !
âne-aqaa0101

Mais t’as jamais pris un velib ? Tu montres 5 % dans problème…

Et pour ta dernière remarque, tes commentaires débiles tu peux te les mettre où je pense.

Les anciens savaient entretenir un vélo. Il était même assez courant de construire soi même son vélo.
Ils ne s’embêtaient probablement pas avec un vélo pour des courtes distances avec du dénivelé et/ou poussaient le vélo quand c’était trop difficile.
Le plus important est certainement qu’ils n’avaient pas de réseaux sociaux pour en parler et qu’ils passaient plus de temps sur le vélo (pour pédaler et faire l’entretien).

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Comme tes 15 km/h :grinning:

Pour essayer d’être un peu plus précis. A priori, on serait sur des moyeux intégrés type Nexus. Avec les rapports suivants :
|Rapport_1 |0,733|
|Rapport_2 |1,000|
|Rapport_3 |1,364|

Va falloir t’habituer puisque les vacances semblent être finies… et il rentre en forme :smile:

Faut absolument que tu arrives à comprendre le développement ! C’est pas très compliqué, c’est la distance que tu parcours pour 1 tour de pédalier.

Les développements, c’est facile: plus tu as de dents à l’arrière et moins tu as de dents à l’avant, plus tu grimpes aux murs.
C’est la tendance des vtt actuels. Un énorme pignon derrière et un plateau tout riquiqui devant.

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Les gars, gardez votre agressivité pour brailler contre le MEDEF et ses sbires du gouvernement (a gre rdv 11h30 devant le siège du MEDEF pu à 13h30 place Félix Poulat).

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Ok. Merci.

Par contre ces moyeux à vitesses intégrés, c’est également un surpoids, y compris par par rapport à un changement de vitesse « classique ».
Comme pour le reste de la conception de ces vélos en libres services, on alourdi le vélo pour limiter la casse et l’entretien.

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Le développement, cad la distance parcouru avec 1 tour de pédale, dépend également du périmètre du pneu. Compte tenu de la multiplication des standards de diamètre des roues des VTT, il faut rentrer dans les détails, et prendre en compte le périmètre du pneu, à fortiori sur de l’occasion.

Idem sur les vélos en libre services, il faut également regarder le périmètre du pneus.

Le mono plateau en VTT, c’est autre chose.

Enfin, les vitesses d’un vélib elles sont super faibles, la vitesse la plus forte tu mouline dès que tu vas vite. Monter des pentes à 5% avec c’est tout à fait faisable, et pas mal de gens le font (après, y’a pas beaucoup de pentes qui restent à 5% pendant longtemps non plus à Paris, c’est souvent juste de petites sections qui sont raides). 5% c’est pas non plus tant que ça quand c’est sur des distances courtes.
C’est sur que les gens utilisent plus ces vélos en descente qu’en montée, mais y’a quand même beaucoup de gens qui en remontent.

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