Pourquoi c'est si dur le vélo, dans un objectif d'écomobilité ?

Du coup le problème, ça n’est pas l’outil malgré la segmentation du secteur :wink:

Nous sommes ds une société de l’information. L’essentiel n’est donc pas tant de faire que d’en parler. Pour en parler, et faire parler, c’est préférable de réaliser des choses extraordinaires. C’est donc juste pas possible de dire que ça se fait depuis 1 siècle.

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Il n’y a pas de problème, il y a juste un vieux con qui râle (moi) :yum:

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Je pense que la majorité de ceux qui faisait ce genre d’ « exploits » étudiaient sérieusement leur matos et prenaient, dans la mesure de leurs moyens, ce qui se faisait de mieux à l’époque.
Le plus important c’est de faire, c’est clair, mais si on a l’option d’avoir pour ça du matériel bien adapté pourquoi se priverait-on ?

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Ca existe ça ? Waouh, ça doit être chouette!

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J’en suis revenu de cette position. Tu as mille fois raison, mais dans le cadre d’un prosélytisme au changement de nos pratiques, ben faut en parler pour espérer normaliser la chose. Et pour avoir une large adhésion, il faut rendre la chose sexy …

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Ayé

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:slight_smile:

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Excellent livre, je recommande…
Le bonhomme n’est quand même pas passé inaperçu, et son nom revient souvent aujourd’hui dans les conversations autour de l’aventure à vélo. Il voulait faire le tour du monde, il n’en a pas eu l’autorisation (Stalinienne) … Il s’est contenté d’un tour de l’union soviétique, en 700 jours, par des températures de -50 sur son vélo américain (un princetown) de 25 kg à vide (80 kg chargé), jantes en bois , pignon unique, phare à huile … Pour l’anecdote (célèbre), il s’est lui-même amputé des orteils pour sauver ses pieds…

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Heinz Stücke, le maître du voyage à vélo (une vie presque entière à voyager, le séant sur une selle en cuir), fête ses 83 ans.
700.000 km, soit 10 tours du monde
Happy birthday Heinz.
I love you

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Y’a vraiment une piste cyclable qui passe au milieu de l’Amazonie comme sur la carte ??

Attaaaaa on dirait le Môssieur qui était au rond-point de mon bled taleur avec son vélo plein de barda, un carton « tour du monde », avec qui j’ai échangé un sourire et à qui j’ai donné une piécette ?
J’adoreee si j’avais su je le lui souhaitais !

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Sans doute une piste tout court, cyclable juste pour l’occasion. Il a vraiment beaucoup beaucoup bourlingué. Il s’est posé quelque part depuis quelques années, sans doute un peu fatigué… On peut le comprendre.
Pour l’anecdote, il ne s’est fait voler son vélo qu’une seule fois en 50 ans, et il l’a retrouvé !!! (de mémoire, c’est à confirmer.) Son dernier vélo en date (celui de la photo), est un « rando-cycles », construit il y a pas mal d’années à Paris, et portant les stigmates d’une vie de plaisir.

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Je ne pense pas, il ne voyage plus !

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Amazonie ? Ca pourrait, mais non … forêt tropicale, république Centrafricaine, 1980

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Et oui à l’époque c’était des Jeunes Campeurs.

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Avec un gilet jaune et qui grillait ses saucisses sur un feu de pneus?

Nan nan il avait un vélo tout coloré avec une carriole et plein de barda, un panneau cartonné avec plein d’autocollants et inscrit « Tour du Monde à vélo », un accent allemand…
Bref, un personnage original qui m’a séduite et aurait pu correspondre à ce bonhomme…

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Qui ici a eu le bonheur de rencontrer ou de connaître Aguigui Mouna, qui dans les années 80-90, prêchait l’anarchie et la fraternité, perché sur une poubelle devant Beaubourg à Paris, à côté de son vélo et de sa carriole remplie d’objets hétéroclites (plein de réveils). Étudiant, j’ai passé pas mal d’heures à écouter cet utopiste militant, déjà grand partisan (avec René Dumont) du vélo dans les villes. Il était aussi féroce que drôle, une sorte de Charlie Hebdo humain à 2 roues.

Un de ses slogans (qui serait d’actualité ?) : « La grossesse à 6 mois ! La retraite à 15 ans ! »

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Il était tous les ans au Printemps de Bourges aussi dans les années 80

Au festival d’Avignon aussi il me semble

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