A l’évidence, c’est un peu vrai …
Dans un monde fabuleux où je ne ferais que ce que je préfère, il y aurait de la neige partout et jamais d’avalanche dans les faces de neige (et bien sûr, j’habiterais à coté)
Dans la vraie vie : y a plus de neige, j’habite loin, parfois ça craint … et je fais du vélo pour mon bilan carbone et continuer à manger du dessert !
Ça nous rapproche du sujet initial, avec une interrogation toutefois : la boulangerie de @mollotof propose-t-elle de bonnes patisseries ?
Loin de moi l’idée de mélanger torchons et serviettes.
Sondage pour avancer sur le fond du problème.
Pour maximiser ses chances d’atteindre son objectif (à quelques km) en bon état, un cycliste débutant sur un vélo usé devrait ingérer, en sortant de la boulangerie :
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C’est quoi une chocolatine ?
À part les poubelles, qui mange du pain de seigle ?
Vous pouvez répéter la question? Je voulais répondre Stéphanie de Monaco mais y avait pas.
Finalement pour conclure ce sujet si on voulait conclure ce qui n’est pas gagné, pourrait-on dire qu’après réflexion le vélo c’est de la mobilité dure ?
En même temps qui gache un éclair avec du café!
Non mais sérieux, la question elle est simple. Y’en a toujours pour polémiquer.
@Gros C’est comme un pain au chocolat, mais avec un peu de régionalisme en plus. The secret ingredient.
C’est vrai toujours tout pour eux. Ils ont quoi de plus que nous Paul et Mickey ?
Ça dépend de la selle.
Ah voilà la solution.
Les selles molles.
@mollotof faut bouffer des trucs avec des fibres. Baguette complète du coup.
Donc pain de seigle en plus.
C’est encore plus dur de comprendre pourquoi le vélo est si dur
Sauf que @gueuth a précisé : en sortant de la boulangerie.
Si t’as une chocolatine, c’est que t’es déjà allé dans une boulangerie très lointaine. Loin de Lolette. Donc, il te faut bien les trois pour rentrer !!!
Je n’ai jamais parlé des vélos couchés. Ca m’en touche une sans faire bouger l’autre qu’il y ait des vélos debout, couchés, à 2 roues, à 3 roues, à 4 roues …
Néanmoins, mon background vélo est en partie en vélo de montagne, ça ne va donc pas le faire en vélo couché. Ca ne me semble pas mieux en vélo-déplacement car je privilégie la maniabilité et la visibilité. Etre haut avec un casque fluo améliore grandement la visibilité.
Quand bien même un vélo présente des inconvénients sur certains points par rapport à un vélo couché, notamment l’aérodynamisme, le vélo est plus polyvalent. Sans parler du coût, de la disponibilité des pièces, et probablement du poids …
La reconversion de mon vieux VTT en vélo-déplacement illustre la polyvalence du vélo. On peut tout faire avec un cadre robuste en acier. Avec ce vieux vélo, je peux facilement transporter des gamins, attacher derrière le vélo d’un gamin, me déplacer sur route, sur chemins, en montant & descendant les trottoirs, en mettant le vélo dans une voiture, dans le train … Il y a des défauts, notamment le poids (avec 5-6 kg de cadenas, porte bagage, sacoche … ), l’encombrement dans le train aux heures de pointe … mais ça le fait pas si mal.
Bien évidemment, on peut faire le même genre de chose avec d’autres machines. Pour ma part, j’avais déjà ce vélo depuis 25 ans. L’écologie, c’est également, surtout, réutiliser et faire durer, notamment pour limiter la consommation de matériaux et les émissions carbones de construction & fabrication.
Cf le thème des VAE avec PV : essentiellement du militantisme et de la communication pro PV. J’ai regardé la vidéo. Ca ne fait pas rêver : ils font avec un moteur et du PV, ce que des générations de cyclistes ont réalisé avec leurs jambes. Chacun se fait plaisir comme il le souhaite. Néanmoins, il faudrait assumer que c’est avant tout de la pub pour la production d’électricité. Ce n’est pas une histoire de vélo, ni même de climat : la meilleure électricité pour le climat, la sobriété, c’est l’électricité qu’on n’utilise pas. En vélo loisir, c’est facile de ne pas utiliser d’électricité, on le fait depuis 150 ans.
Le Cap Nord, comme beaucoup de cycliste, ça fait partie des dizaines de vieux projets qui trainent au fond de la tête. Mais, je le ferai avec mes jambes et prendrai le temps nécessaire à mes jambes. La mobilité douce avec le train permet de raccourcir aisément de 1 000 - 2 000 km et donc de passer sans affronter l’hiver scandinave. Si je ne le fais jamais, ce n’est pas grave. Mais, je ne vais pas m’inventer des faux prétextes pour y monter avec un moteur en me disant que c’est moins pire qu’en mazoutant à moto. Dans la phrase « voyage à vélo », il y a le mot « vélo ».
Il parle trop de bilan carbone pour que ce soit Lui. Mais sur le reste, il y a des similitudes 'ffectivement…
L’Ademe, donc plutôt une administration pro écolo canal historique. Documentation Base Carbone :
le productible annuel (entre 600 et 1500 kWh/kWp/an), l’intensité électrique silicium (entre 10 et 110 kWh/kg) et l’efficacité du module (entre 0.15 et 0.22 kWp/m2). La durée de vie est fixée à 25,2 ans
Pour un mix électrique chinois, l’empreinte carbone du photovoltaïque est de 43,9 gCO2eq/kWh, pour un mix électrique européen 32,3 gCO2eq/kWh et 25,2 gCO2eq/kWh pour un mix électrique de fabrication français.
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Compte tenu que tes panneaux produisent 3-4 fois moins d’électricité (tes 115 jours et un peu de perte, moins les charges sur le réseau), il faudrait donc les utiliser presque 100 ans pour atteindre les 45 gCO2eq/kwh. Si on est réaliste, on va conserver une durée de vie et d’utilisation de 25 ans (sous-entendu il n’y a pas de casse et d’usure anormale alors que ces PV mobiles sur vélo sont beaucoup plus sollicités que des PV fixes). Ca te fait donc grosso-modo le kWh à 200g CO2 eq (175 « précisément » mais il y a probablement des effets de bords sur des petites installations). C’est grosso-modo du niveau des meilleures centrales électrique à gaz, et donc du fossile !
Bien évidement, tu peux décider d’autres hypothèses de calcul. Mais, le principe restera le même : un PV made in china, fabriqué avec du charbon, ce n’est pas bien. Un PV qui ne tourne pas, ce n’est pas bien.
Et là, on n’a pas pris en compte que le solaire est intermittent, sous-entendu tu es bien content de pouvoir te charger sur le réseau qd tu n’as pas pu charger avec le soleil. S’il fallait en plus rajouter d’autres batteries pour être réellement autonome et ne jamais utiliser le réseau, il faudrait rajouter les émissions carbones pour fabriquer les batteries et ça exploserait les émissions carbones de ton système.
Ca ne signifie pas que le PV ne présente pas un intérêt dans un mix énergétique électrique. Mais équiper un VAE avec des PV n’est manifestement pas idéal en terme d’émissions carbones au kWh électrique. Ok, il y a l’autonomie du PV qd on veut faire un raid. Mais l’autonomie à vélo, on connait ça depuis 150 ans et sans PV. Le PV résout donc un problème qui n’existe pas. 
Un fil qui tourne en rond, c’est pas bien non plus 
Tu as aussi oublié l’avion dans ton équation, mais c’est pas bien grave.