Moi, je fais mieux. Je prédis le passé.
Pour un accès responsable à la nature
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Gaffe, y en a qui s’y sont fourvoyés : un jeu moins évident qu’il n’y paraît, la mémoire est parfois (souvent !) trompeuse !
Peut-être mais pas si simple : si il y avait 3 fois plus de personnes hospitalisées (parce qu’on se dirait ok, il y a de la marge en terme de places, pas besoin de confiner ou de restreindre) => il y aurait 3 fois plus de morts…
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Bonsoir,
Je pense que c’est la base de l’uchronie.
Bernard
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Je pense exactement comme toi, cf mon message un peu brut de fonderie que je t’avais envoyé lors de ton accident… Les gens me disent aussi souvent « tu as de la chance », et je les reprends, oui peut-être, mais il faut faire ce qu’il faut pour en avoir « de la chance ». Fin de l’aparté.
Pour revenir au sujet, on ne peut rien spéculer en effet, rien prévoir. A une semaine du premier confinement, peu de gens pensaient qu’il allait avoir lieu (moi le 1er, jamais jamais je n’aurais imaginé qu’on puisse en arriver là). Alors actuellement, je préfère ne rien prévoir, je m’attends à tout, dans le bon comme le mauvais. Ca fait 6 mois qu’on marche sur la tête et ça continue donc ça reste incompréhensible pour moi toutes ces décisions…
Pas trop d’accord avec ça. Dans un sens oui (être prudent, connaître ses limites, etc) mais d’un autre il y a quand même aussi une grosse part de chance. J’ai fait quelques grossières erreurs en escalade quand j’y repense. J’ai eu de la chance.
Chance et malchance vont de paire.
Tu pourras être le plus prudent possible en voiture par exemple, tu ne seras jamais à l’abri du mec débile qui arrive face à toi et te cartonne en collision frontale. Bilan: que des morts. Ça se provoque ça aussi ?
Ou alors avant-hier, j’allais sortir de mon parking/allée pour traverser. Écouteurs dans les oreilles, je n’entends rien, je zieute quand même et allait m’engager. Je chope un moucheron dans l’oeil, ça surprend et fait mal, je stoppe. Une voiture passe en trombe devant moi. Elle n’aurait pas pu freiner, probablement pas non plus pu s’écarter. C’est moi qui ait provoqué ce moucheron à se suicider dans mon oeil ?
La (mal)chance est par définition non maîtrisable.
Pour répondre à @Lulu002 , si ton psy trouve les mots pour te sentir bien, c’est qu’il connait son métier et qu’il est bon. La conséquence de ce « nécessaire hasard » on pourrait l’appeller alors résilience, disons qu’à des événements imprévus on peut alors trouver des ressources qui bonifient l’être.
Bref je vais me faire bouler aussi 
Bien d’accord; Et c’est bien pour ça qu’il vaut mieux rouler tranquillement. (80 km/h par exemple ;))
Le seul accident de voiture un peu grave que j’ai eu c un gars qui m’a grillé le stop. J’aurais roulé plus cool y aurauit eu moins de dégâts. C bête mais c comme ça.
J’sais pas.
Je pense que nous n’avons pas prise sur grand chose, mais au moins sur la manière de vivre les choses. Depuis que je commande des places de parking, je les trouve, alors à moi de choisir si c’est moi qui le provoque ou si c’est le hasard…
Du coup le moucheron c’était ton nécessaire hasard quoi, pour pouvoir faire (ou pas) d’autres choix une prochaine fois.
Moué, tu sais que j’aime la contradiction alors je dirais qu’il s’agit d’être prudent avec de telles affirmations, parce que pour le coup, nous n’avons pas tous les mêmes chances pour « aller vers la chance »… Du coup je crains le discours du « tout choisi », presque autant que le discours du « tout subi »…
Hum ça devient extrême de retomber sur mes pattes : Rjen’saiscombien, télétravail, vaccination, attestation, complot, 1h, footing, Noël, économie… Passez le tout au mixer et j’suis en plein dans le thème, assurément !
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Ouais François, ça fait des années que je me tue à le dire: la prédiction, vaut mieux la faire après l’évènement. On a beaucoup plus de chances de ne pas se tromper. Pas du 100%, hein (j’en connais qui se plantent encore), mais pas loin.
Le thème c’est « accès responsable à la nature »
Qu’est ce que c’est l’accès responsable à la nature?
Vous avez deux heures
Moi jme casse faire mon heure de sport.
A mon avis, faut pas être grand clerc pour avancer que la majorité (écrasante) des hospitalisations pour des accidents en station n’entre pas dans les cas que tu énumères…
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Au printemps quand je n’étais pas d’accord avec les mesures je me disais qu’ils faisaient des erreurs compréhensibles compte tenu de l’urgence, de l’inconnu, etc. Mais maintenant j’ai l’impression qu’ils sont toujours dans la précipitation et qu’ils n’ont rien appris. Là ça devient incompréhensible. C’est comme si en nous disant « attention, ça peut revenir » ils n’avaient pris aucune disposition dans ce sens et s’étaient contenté d’espérer que ça n’allait pas revenir.
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Et c’est comme si on avait le réflexe d’émettre un maximum de règles pour se rassurer. L’émission de France Culture que j’ai déjà citée ici (Le Temps du débat, sur la tension sécurité/liberté dans le contexte des états d’urgence sanitaire et sécuritaire superposés), une intervenante employait les mots « folie normative » face aux événements vus comme brutaux ou menaçants, dans notre pays. Là, ça me parle.
Je sais plus qui a dit:"La chance c’est la moitié du talent ".
Je n’arrive pas a trouver ta citation anterieure dans ce fil de discussion. Pourrais-tu indiquer à quelle edition (quel jour) de « Le Temps du débat » tu te réfères ?
Merci !
Faut recommencer l’expérience sans écouteurs car en milieu hostile il faut tout ses sens !!
Ca c’est la vision uniquement hospitalière et non celle de santé publique.
Aujourd’hui les restrictions sont basées uniquement sur les chiffres Covid et pas sur une vision globale de santé publique qui au sens large englobe l’ensemble des conséquences (détresse psychologique, retard de diagnostique, arrêt de traitement, arrêt de l’activité physique,…).
Je ne serais pas surpris que le poids des morts direct du Covid soit bien faible face aux conséquences du confinement en lui même et donc des " victimes collatérales".
Il est donc probable que le nombre de morts serait moindre in fine
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Je crois qu’il s’agit de celle-ci où on y parle en effet d’état d’urgence, de « folie normative » et de sacrifice consenti de liberté au profit d’un gain de sécurité.
Alors qu’on a juste besoin de quelques règles simples et facilement compréhensibles.
C’est clair.
Pour régler 1 problème on fait le choix d’en créer 100.