Posté en tant qu’invité par Bernard:
Le sujet a été maintes fois évoqué sur c2c et les mêmes remarques peuvent être à nouveau citées tant certains clichés ont la vie dure.
En tout cas il apparait que certains propos, parmi les plus virulents ci-dessus, n’en comportent pas moins quelques inexactitudes.
1° L’ENSA qui fait tout de même aurorité, préconise l’encordement sur le pontet du baudrier.
2° Les fabricants ET le labo de l’ENSA s’accordent sur le fait que la partie la plus solide du baudrier est le pontet (lorsqu’il y en a un).
3° Tous les baudriers et pas des moindres ne possèdent pas de pontet en ce sens qu’il n’y a qu’un point central d’encordement (comment faites-vous ?).
4° L’encordement directement sur le pontet permet une meilleure répartition du choc sur les sangles sous-fessières : là ou notre anatomie est la plus rembourée.
Tout ceci n’exclut nullement le problème d’usure du pontet lié à un tel usage mais dans l’idée d’un baudrier qui dure théoriquement 5 ans maxi, ça ne me semble pas être un argument et je pense que certaines coutures sont tout autant voire plus sollicités par l’abrasion en usage courant.
Quant au problème de l’encordement sur mousqueton voire sur maillon, là au moins les choses sont claires, heureusement.
B.A.