Cette utilisation m’a toujours sidéré.
Les grimpeurs d’autrefois devaient se décorder pour passer la corde dans l’œil du piton, puis se rencorder autour de la taille, se tenant d’une main (fébrile ?) au rocher et essayant de nouer leur noeud de chaise de l’autre main (fébrile aussi ?) tout en tâchant de ne pas faire tomber la corde (raide et lourde, en chanvre).
J’ai essayé une fois, à 30 cm du sol, avec une corde moderne. C’est pas simple, mais de là à m’imaginer dans du vertical avec 200 m sous les pieds, étape où on est décordé (donc en solo intégral, en grosses, et dans du V) et probablement avec des bras probablement un peu pétés de fatigue doit être épique.