Posté en tant qu’invité par reza:
Plusieurs séances en salle d’escalade, notamment à Villejuif. Beaucoup de jeunes grimpeurs le muscle saillant, les épaules larges mais le front bas et le regard terne, nombrilistes à se regarder les pectoreaux tout donnant l’air d’être mal dans leurs peaux, ou du moins mal à l’aise avec autrui.
Je me demande : l’escalade n’attire-t-elle pas des personnes à la psychologie un peu fragile, qui ressentent le besoin de se « prouver » quelque chose tout en étant limite « autistes » : sans aisance pour communiquer, plutôt individualistes, sans générosité spontannée ?
Merci de vos réponses !