Peut-être parce que l’école a d’autres vertus que le plaisir de se retrouver entre potes autour d’une bouffe ?
M’enfin j’dis ça…
Limite y aurait peut-être du sens à faire école dans les refuges, vu qu’on est sensé imaginer des minis-groupes ? Hop ça ferait un salaire au gardien, et l’école pour tous.
Parti pour être une digression, je réalise que ce n’en est pas tant une, au final. Refuges comme autres espaces ne pourraient-ils envisager de se réinventer pour ajuster au mieux les contraintes des uns et des autres ?..
Nous avons tous besoin de beaucoup de choses, ces temps-ci, non ?
Que ceux que cette fermeture met en péril, financièrement ou humainement, souhaitent des prises de positions, je peux l’entendre. Mais une prise de position, par définition, ne peut être posée qu’à partir de positions claires, donc des éléments d’analyse clairs, non ?
Accepter l’absence de prise de position, c’est accepter le fait que l’autre reconnaît la part d’inconnu, d’incertitude, d’adaptation au fur à et à mesure du temps, non ?
Alors pour tous ceux (bien plus nombreux !) dont cela ne met en péril que le petit confort de leurs vacances, franchement, les prises de positions, à choisir… Non j’arrête là j’vais être désagréable.
La montagne nous impose sans cesse de nous adapter à elle. J’ai envie de tirer de nos expériences une tentative d’adaptation et d’accueil de ce qui se présentera à nous…!