Je suis bien d’accord, c’est clair, mais néanmoins on peut légitimement s’interroger sur les raisons qui ont poussé l’ENSA, qui par ailleurs est sensée montrer l’exemple, et de plus, en fait une vidéo, à placer un relais à l’encontre des préconisations de Raumer ?!
Le moins qu’on puisse dire c’est que c’est très… « surprenant ».
Nouvelle méthode de relais de rappel (ENSA au Grand Dru)
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Je n’ai pas trop d’avis sur la question car je n’y ai jamais mis les pieds, et je ne pense pas y mettre les pieds, mais si c’était cas, je pense que je serai content de trouver une belle ligne de rappel, donc Merci !
Je remarque aussi que les avis sont souvent différents, selon que l’on est derrière son PC ou en pleine descente de nuit -))
Je me souviens que lorsqu’on envisageait de faire la Walker (de livet !!!) mon partenaire avait envisagé de mettre des rubalises pour repérer les rappels lors de la descente de nuit (que l’on aurait récupéré bien évidemment), donc je ne suis même pas choqué par les catadiopes -)))
C2C (dont tu fais un peu partie en postant ici) n’a pas d’avis, autre que l’avis des différents intervenants. Je suis persuadé que si tu posais la question dans n’importe quelle autre communauté tu trouverais un panel d’avis tout aussi identique.
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Oui effectivement on est bien à la limite mais le 2.5kN que j’ai donné est une valeur de crête (peak force en anglais). Il faudrait que les deux grimpeurs bien chargés de sac à dos, donne un à-coup en même temps. Et c’était en semi-stat.
Je trouve qu’on a de la peine à se représenter la résistance des matériaux. 1mm² d’acier de construction de qualité standard résiste à 24kg en traction. Pour les 400kg il faut donc 16mm² soit un carré de 4x4m environ. Evidement c’est en condition parfaite de traction, sans concentration de contrainte, etc… Pour moi, (je suis ingénieur civil de formation), c’est justement le contexte (triangulation, sauvetage, choc de pierre, concentration de contraintes, …) qui fera qu’on demande un relais de rappel de tenir 7-8x les 400kg --> 30Kn.
Pour le fait de se vacher dans la chaine, si elle reste entière et donc que la soudure ne lache pas, la boucle en acier se déformera si on tire dans l’axe faible mais ne lachera pas. Après effectivement, il y a beaucoup de si… Pour moi quand on arrive au relais, en tête ou lors d’un rappel, je me vache et tire dessus comme un fou. Si rien ne bouge, ok, sinon je renforce… C’est la solution la plus simple parce qu’on ne saura jamais quand une soudure, un point rouillé, un piton, … tiendra. C’est d’ailleurs la méthode conseillée par Kirkpatrick. Très bon livre en passant mais en anglais.
Oui c’est sur que les 400kg cela ne vient pas d’une norme. C’est plutôt tirer de l’expérience de Kirkpatrick et de ce qu’on peut voir sur les dynamomètres lors d’une seule descente en rappel. 400kg c’est le minimum minimum tout en faisant attention de ne pas faire le con!
Comment estimer que le relais tient 400kg et pas 200kg, ça, c’est une autre histoire…
dis merci si ça te chante car ça correspond à tes attentes, mais perso j’espère mieux pour l’alpinisme que l’installation de grosses lignes de rappel à double sur les montagnes mythiques du monde. Après chacun sa vision des choses, mais laisse les avis s’exprimer.
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clairement c’est une valeur minimum empirique à appliquer en cas de réchappe ou de sauve qui peut à priori
Faut pas exagérer.
Si tu as lu
ce sujet tu liras des propos bien plus virulents !
Par ailleurs cette ligne a été équipée par des guides… avant tout pour eux et pour faciliter leurs job, et pas par philanthropie.
Sur le fond moi dans le fond ca me gêne… Mais en fait en bon schyzo si un jour je vais au Dru je suis sur que je serai content de trouver la dite ligne !
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Pas sûr que les drus soient autant une rente pour les guides que le Mont-Blanc ou la barre des écrins…
L’équipement des lignes de rappels se fait souvent par des guides locaux pour rendre le boulot plus sûr, c’est certain, mais aussi bêtement parce que ce sont eux qui connaissent le mieux les sommets en général. Pour aller équiper une nouvelle ligne de rappel aux Drus, il faut avoir un peu plus de connaissances qu’un parcours de la traversée !
C’est dommage de voir du mercantile partout, même si c’est le cas parfois 
Et le débat sur UKC est vraiment à ras les pâquerette, avec des intervenants n’ayant jamais été aux Drus ni dans les Alpes (ou pas depuis plus de 10 ans selon un des principaux intervenant !!). On peut parler du bien fondé d’équiper ces rappels, mais il faut déjà poser les bases du débat : il existait déjà une ligne de rappels équipés à demeure avec goujons, mais dans un couloir propice aux chutes de pierre et dont le bas est impacté par le retrait glaciaire.
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Je ne pense pas qu’on peut parler de surfréquentation aux Drus quand même. Déjà, avec un refuge de 12 places seulement ça limite. Et puis le ticket d’entrée n’est pas donné, la période propice courte et le créneau météo doit être adapté. Tout ça limite le nombre de jours où la montagne va être parcourue. Si les meilleures journées il y a une dizaine de cordées tous itinéraires confondus, ça doit être le bout du monde.
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C’est déjà énorme en fait.
Beaucoup de sommets voient le même nombre de personnes mais en 1 an …
Pour en revenir aux catadioptres, pour avoir déjà vécu la situation, c’est vraiment génial. On est loin du phare aveuglant qui illumine la montagne, ça reste discret c’est juste une lueur réfléchie. Et généralement on n’en voit que 2 ou 3 max (quand c’est pas aucun (pluie, neige, pas de bol ou fatigue)).
Et si ça permet d’éviter le bivouac en paroi, épuisé, peut-être trempé, je plussoie. Concernant la course à la sécurité et tout … ceux qui râlent descendent-ils en désescaladant ou en S ou bien utilisent-ils du matériel moderne ? Tant qu’on utilise du matériel je pense que personne n’est légitime à critiquer l’utilisation ou l’installation de matériel (même autre que le sien).
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Certes, mais là on parle d’un sommet emblématique… Il est bien moins fréquenté que d’autres emblématiques : Meije, Cervin, Grand Capucin, Grépon, etc… Et infiniment moins que les sommets hyper parcourus plus faciles, dans le massif du Mont-Blanc ou ailleurs…
Oui… C’était bien le sens de mon intervention.
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J’adore comme tu rames pour essayer de provoquer une polémique qui ne vient pas 
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Au fait, tu as mis qui-tu-sais sous silence ? Parce que si tu cherches la joute oratoire, tu donnes dans le chiraquien : ça fait « pschitt »… 
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Ben ça risque d’être un beau boxon alors… sinon on peut aussi regarder ce qui se fait ailleurs, on peut aussi garder des sommets peu équipés, on peut aussi avoir la modestie de se dire que la descente est une course parfois aussi dure sinon plus que la montée.
Quant à ta réplique sur la technique de rappel c’est absurde, on peut grimper avec des moyens moderne sans souhaiter pour autant avoir des équipements fixes à outrance. C’est ce qui se fait majoritairement en dehors des alpes.
A mon avis l’alpinisme c’est pas tant d’aller au sommet, c’est surtout par quel moyen on y arrive (et on en descend).
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Est-ce que le prussik au dessus ne faciliterait pas le passage du noeud à la descente avec des cordes bout à bout ?
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« Un mot, un seul, tu remets une pièce dans le bastringue et là, ça s’arrête plus »
Sic ou à peu près.
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Quel est l’objectif de la discussion : le lieu qui a été équipé ou la manière dont cela a été équipé !!!
Oh mollotof tu dors 
Nan, nan, j’ai déja répondu.
C’est la manière. On est dans « technique et matériel ».
Ah non, non, je ne cherche pas à relancer quoi que ce soit. Je m’exprime c’est tout.
Pi le début de polémique (victor) est hors sujet. Je m’attendais à des pinaillages techniques.
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