Le problème des notes, c’est comme celui des « beaux » topos : ca concentre les gens dans certains itinéraires, parfois abritrairement.
Par exemple en grimpe, les 2 topos « référence » sont ceux de Mussatto et d’arnaud Petit. Résultat, toutes ces voies sont bien plus fréquentées que leurs voisines, certaines à juste raison car elles sont superbes, mais pas pour toutes…
Des souvenirs : la voie de l’étoile aux cerces, 2 vauriens 3 canailles, Voie Beatrix, …
Ces voies sont belles, mais pas vraiment mieux que les voisines… et étrangement elles sont souvent blindées et patinées.
Rajoutons que c’est assez étrange ce monde de notation perpétuelle (on note des parkings, des pizzerias, des bureaux de poste, des panoramas…) alors même qu’en sciences de l’éducation on sait que les notes ont plus effets pervers que bénéfiques (et qu’on vante le modèle finlandais sans note par exemple…) Mais bon, entre ca et les bilans carbone, on n’est pas à un paradoxe près dans notre société.