Nostalgie des refuges d'antan

Posté en tant qu’invité par iXmars:

[quote=« Alpideluxe, id: 920318, post:35, topic:90975 »]Je viens de lire vos réponses.

Merci à tous pour vos infos sur le sujet du bivouac :)[/quote]

Désolé mais le bivouac comme alternative au refuge c’est une énorme connerie.

Si tout le monde faisait ça, ce serait rapidement interdit partout.

Il faut réserver le bivouac là où il n’y a pas de refuges, et aux radins compulsifs (est ce vraiment cher? comparez à prestations égales).

Au contraire il faut encourager la vie des refuges qui sont la solution la moins pire en terme d 'environnement.

La question esthétique vient après, surtout quand on se met à la place de ceux qui se sont sortis les doigts pour construire tout ça.

Qui a parlé de démanteler les refuges ? :rolleyes:

Euh… oui, quand même :confused:

Je ne suis pas spécialiste en terme d’environnement mais est-ce plus dommageable de concentrer ou de disperser les rejets des effluents ? Et si tu ajoutes l’impact de la construction, de l’approvisionnement (hélico) et du fonctionnement (cuisine, chauffage)…

Posté en tant qu’invité par Alpideluxe:

[quote=« iXmars, id: 922996, post:41, topic:90975 »]L’évolution vient surtout de la fréquentation.

En gardant le concept d’abri, cher à alpideluxe, on obtiendrait un vrai foutoir au milieu d’un immense champ de merdes, genre les trottoirs des grandes villes française avant la répression anti-maitresdégueux

Le « confort » n’est que la conséquence de l’organisation des lieux capables de supporter une fréquentation importante tout en minimisant les nuisances.[/quote]

iXmars, j’ai écrit plus haut que le respect des lieux et de l’environnement était aussi une question d’éducation et de civisme.

A te lire, on croirait que tous les bivouac-queurs/queuses (excusez mon orthographe) sont des « cochons » ou une sorte de ‹ racailles irrespectueux › ?

Ne le mets pas tous dans un même sac, faut faire le tri et distinguer certains peut-être même nombreux qui ont également une volonté de préserver la Nature. Car si on ‹ bivouac ›, c’est généralement, selon mon avis, pour être au plus près d’ELLE, notre chère Nature.

Personnellement, où que je vais et en quittant les lieux, j’emporte toujours avec moi mes détritus. Et à propos des déchets qui ne sont pas biodégradables, je fais un effort pour ne pas en faire une énorme masse…donc avec un petit sachet en papier, cela m’arrange et dans mon sac, assez de place pour que je le range.

Et j’aime observer la Nature et je ne fais donc pas de bruit pour faire fuir les animaux. Donc, de mon côté, pas de nuisances.
Je recherche le calme et le silence de la montagne pour retrouver une tranquillité harmonieuse.
Et même en étant solitaire à la montagne, je n’oublie pas les autres d’où ce devoir de ‹ respect ›.

ixMars , essaye de voir les choses d’un point de vue plus optimiste, je pense qu’il y a plein d’autres qui bivouaquent, comme moi, avec ce souci du respect de la Nature et de leur prochain.

[quote=« iXmars, id: 922996, post:41, topic:90975 »]

[quote=« Alpideluxe, id: 920318, post:35, topic:90975 »]Je viens de lire vos réponses.

Merci à tous pour vos infos sur le sujet du bivouac :)[/quote]

Désolé mais le bivouac comme alternative au refuge c’est une énorme connerie.

Si tout le monde faisait ça, ce serait rapidement interdit partout.[/quote]

Oh…tu voudrais peut-être, à l’avenir le bivouac « interdit partout ». OK, compris que la solution « refuge = auberge d’altitude - hôtel aérien » est ta préférence.
Et si la Loi te suit et ne laisse plus d’autres alternatives ? Eh bien, ce serait un « What a beautiful world ! », pou toi, c’est sûr.

Faire du bivouac, c’est mon choix et je ne l’impose pas aux autres. Chacun est libre de choisir ce qu’il veut, non ?

Comme tu le sais, ce n’est qu’une minorité qui pratiquent le bivouac.

Alors, t’inquiètes pas, l’utilisation du bivouac ne surpassera jamais la fréquentation des refuges.

Les refuges ont leur avenir bien assuré car la plupart des gens ne peuvent se passer de confort, particulièrement à notre époque, d’autant plus qu’il semblerait qu’il y ait un vieillissement de la clientèle de refuges. Des vieux souvent incroyablement en bonne forme physique.
Les jeunes d’aujourd’hui ne sont pas comme les jeunes d’autrefois, surtout à cause de l’avènement du Virtuel où l’on peut tout faire sans effort assis dans son canapé.

Mais je vais réfléchir à ce que serait mes vieux jours, avec d’éventuels problèmes de rhumatismes ou autres, quand on a plus la santé de ses 20 ans mais j’ose espérer qu’avec beaucoup de pratique, cela se maintient.
Mais si jamais le corps ne suit presque plus, il te plairait certainement de savoir que dans ce cas extrême, que j’espère très lointain, qu’il me serait bien nécessaire d’utiliser les commodités de ces refuge de type ‹ auberge de montagne/hôtels d’altitude ›.

Et puis il y a aussi les cas imprévisibles d’urgence que j’ai mentionné bien avant, où les refuges retrouvent toute leur fonction d’offrir ‹ abri › et ‹ secours ›.

Je compte mes sous comme la plupart des gens, et puis maintenant comme c’est la crise économique…Mais cela ne m’empêche d’avoir le coeur généreux et ouvert à ceux qui demande de l’aide.

Non, tous les "bivouacqueurs/euses ne sont pas des « radins compulsifs ».

Pour une seul personne ou un couple, le prix d’une nuitée en refuge n’est pas trop cher.

Mais pour une famille nombreuse avec 3 ou 4 enfants par exemple, cela peut être très chère, même avec les réductions, surtout si les enfants sont trop âgés ayant dépassés l’âge de la gratuité et payant presque le prix d’un adulte. Déjà pour un nuitée, ce n’est pas donnée. Alors pour un Tour de trekking de 5 jours de refuge en refuge, c’est quasiment inabordable pour un ménage au revenus trop modestes. Il n’y qu’ à comparer les prix d’un hébergement d’une semaine dans un village dans un gite rural à 4-6 places avec le prix total de 5 nuitées (et pension complète) en refuge pour une telle famille. Voilà, dans cette situation, cela devient un « luxe » quasi inaccessible financièrement pour les faibles revenues.

Tu écris qu’ Il faut réserver le bivouac là où il n’y a pas de refuges.

C’est bon, ixMars…Je vais bien m’installer à la bonne place.

OK, je vais bivouaquer « là où il n’y a pas de refuges ».

Puisque je veux être respectueuse et surtout ne pas ‹ emmerder › les gardiens de refuges et leurs supporters.

Puisque je chercher parfois également le calme de la Nature, évitant les nuisances de ‹ soirées trop arrosées › en refuge ou « auberge de montagne »…mais, je n’ai rien contre les ambiances de fêtes, je serais même ravie d’y être inviter.

Je respecte le travail dur et parfois périlleux de ceux qui se sont parfois risqué à la tâche pour construire les nouveaux refuges.

Mais en ce qui concerne le style ‹ hign tech › ou ‹ moderne › en complète déphasage avec le décor naturel environnant et en rupture presque totale avec la richesse du patrimoine montagnard…

Ce n’est pas du tout de mon goût, et ce n’est que mon avis personnel, bien sûr.

Je m’excuse d’écrire ici que je ne partage pas leur sens de l’esthétique.

Posté en tant qu’invité par Alpideluxe:

Bonne question constructive. :slight_smile:

Tu exagères un peu, non ? Ce n’est pas une question de respect, mais plutôt une question de culture / habitudes. La majorité des montagnards en France / dans les Alpes respectent la montagne, mais on ne peut pas dire qu’ils ont une culture de « ne laisser aucune trace » comme on trouve en Amérique du Nord, par exemple.

Emportes-tu ta merde aussi ? Si non, tu fais partie des problèmes environnementaux qu’ iXmars citent, surtout si on parle de la haute montagne, milieu où l’excrément humain met beaucoup de temps à disparaître. Par contre, si on parle d’un milieu un peu humide où il y a bcp de bactérie au sol, cela pose moins de soucis à condition de creuser un trou d’au moins une douzaine de cm et de ramener (ou brûler) son PQ.

Des lieux emblématiques comme le Mt. Blanc ou le bassin du Glacier Blanc verront toujours une forte fréquentation, qu’il y ait des refuges en place ou pas, et donc je trouve que la solution refuge représente un bon compromis. Il suffit de voir ce qui se passe au Dôme du Goûter en période de forte affluence pour se dire qu’en Europe il manque de culture « je redescends tout, y compris ma merde » et qu’à certains endroits le refuge a bien sa place.

Je pense que tu as tort sur ce point. C’est plutôt une question de cercle vicieux / vertueux : plus les tarifs augmentent, plus les gens s’attendent à en avoir pour leur argent, surtout en moyenne montagne.

[quote=« Alpideluxe, id: 920318, post:35, topic:90975 »]

Non, tous les "bivouacqueurs/euses ne sont pas des « radins compulsifs ».[/quote]

Tout à fait d’accord avec toi, et je ne comprends pas trop ce qu’écrit iXmars. Dans mon cas perso le choix de bivouaquer (quand je le fais) n’a jamais été une question d’argent : d’abord je préfère dormir dehors dans mon duvet, profiter de l’air frais et pur de la montagne ; ensuite selon la course le bivouac est souvent bien plus pratique (plus haut par exemple) qu’un refuge.

[quote=« Alpideluxe, id: 919253, post:1, topic:90975 »]J’ai la nostalgie d’une époque révolue que je n’ai jamais vécu.
Où sont les ‹ refuges d’antan › ?[/quote]

Bonjour,

une seule suggestion, allez faire un saut à la Charpoua (ou aussi à l’Aigle ou au promontaoire) pendant une belle période de mauvais temps, vous serez accueilli par un gardien tout sourire très content d’avoir de la compagnie : c’est une expérience rare et précieuse. Je pense même qu’on doit pouvoir venir sans réservation dans ces conditions,

bonnes courses,

Posté en tant qu’invité par Carduelis carduelis:

[quote=« Alpideluxe, id: 919253, post:1, topic:90975 »]Digression issue du sujet Critique des refuges.
__________________________________________________________[/quote]

il est nul ce titre. Cest « magie des bivouacs sous la voute étoilée » qu’il aurait fallu mettre.

Ou alors « nostalgie des refuges où l’on faisait sa bouffe soi-même sans pouvoir commander de la charlotte à la goyave ». ça c’est un bon titre.

Posté en tant qu’invité par Alpideluxe:

[quote=« Michel, id: 923291, post:46, topic:90975 »]

[quote=« Alpideluxe, id: 919253, post:1, topic:90975 »]J’ai la nostalgie d’une époque révolue que je n’ai jamais vécu.
Où sont les ‹ refuges d’antan › ?[/quote]

Bonjour,

une seule suggestion, allez faire un saut à la Charpoua (ou aussi à l’Aigle ou au promontaoire) pendant une belle période de mauvais temps, vous serez accueilli par un gardien tout sourire très content d’avoir de la compagnie : c’est une expérience rare et précieuse. Je pense même qu’on doit pouvoir venir sans réservation dans ces conditions,

bonnes courses,[/quote]

Merci pour ces bonnes références :slight_smile:

Posté en tant qu’invité par réfugié:

eh ben moi ,cet été j’ai été dans un refuge ,alors qu’avec mes potes on le fait jamais d’habitude.C’est la derniere fois.Nous sommes arrivés à 8 au lieu de 6 (comme prévu au téléphone )le gardien a gueuler en disant ceci celà . 19h30 à table obligatoire dans un réfectoire où tu t’entends pas parler ,pour manger un plat de riz et viande sans saveur.Vous allez me dire :t’es pas au resto et vous avez raison ,mais alors y’avait vraiment pas de quoi geuler parce qu’on étaint 2 de plus (sur 50 repas).Je passe sur les détails de la nuit en dortoir. les refuges sont pour moi l’opposé de ce que cherche en montagne abscence de liberté et intimité avec mes amis.
Quant aux nuisances « fecales » y’a pas photo il vaut mieux une merde à l’hectare que 80 à 100/jour concentrée .

Posté en tant qu’invité par Alpideluxe:

[quote=« NovaExpress, id: 923287, post:45, topic:90975 »]

Tu exagères un peu, non ? Ce n’est pas une question de respect, mais plutôt une question de culture / habitudes. La majorité des montagnards en France / dans les Alpes respectent la montagne, mais on ne peut pas dire qu’ils ont une culture de « ne laisser aucune trace » comme on trouve en Amérique du Nord, par exemple.

montagne ; ensuite selon la course le bivouac est souvent bien plus pratique (plus haut par exemple) qu’un refuge.[/quote]

NovaExpress, tu n’as pas compris que je répondais à IxMars qui ne semble pas avoir une vision positive des adeptes du bivouac. Tu sors une phrase de son contexte, tu aurais dû rajouté la citation de ixMars avant et ma défense des adeptes du bivouac après.

Mon but était justement de les défendre de montrer à ixMars un point de vue plus positif d’eux.

Alors quand tu écris que j’exagère, je ne comprends pas très bien parce que mon avis rejoint le tiens sur la question du respect en montagne, mentionnant que la plupart des gens sont de « bonne volonté ».
Vas un peu relire ce que j’ai écrit plus haut…

Et pour ce qui est question de la gestion des « Merdes », je m’étais déjà renseigné ailleurs et je ne voulais pas en faire tout un chapitre.
Mais c’est bien que tu l’ai rappelé ici.

Non, t’as raison. Nous serions serrés comme des saucisses, il ferait trop chaud et ça condenserait grave. :stuck_out_tongue:

Posté en tant qu’invité par Alpideluxe:

[quote=« Carduelis carduelis, id: 923295, post:47, topic:90975 »]

[quote=« Alpideluxe, id: 919253, post:1, topic:90975 »]Digression issue du sujet Critique des refuges.
__________________________________________________________[/quote]

il est nul ce titre. Cest « magie des bivouacs sous la voute étoilée » qu’il aurait fallu mettre.

Ou alors « nostalgie des refuges où l’on faisait sa bouffe soi-même sans pouvoir commander de la charlotte à la goyave ». ça c’est un bon titre.[/quote]

Il faut croire que le sujet « Critique des refuges » est devenue sensible. Et s’il s’agit de n’y parler que des bonnes adresses sans en rajouter de trop, il faudrait peut-être supprimer le mot « critique » du titre.

Carduelis carduelis, tu sembles avoir plus avoir d’'inspiration dans le choix de mots jolis. Tu pourrais peut-être les aider. :slight_smile:

[quote=« Modération Forum, id: 923274, post:52, topic:90688 »]La digression sur la Nostalgie des refuges d’antan a été déplacée pour former un sujet indépendant.

Merci de réserver ce présent sujet à des propositions de bonnes adresses de refuge.[/quote]

[quote=« Michel, id: 923291, post:46, topic:90975 »]Bonjour,

une seule suggestion, allez faire un saut à la Charpoua (ou aussi à l’Aigle ou au promontaoire) pendant une belle période de mauvais temps, vous serez accueilli par un gardien tout sourire très content d’avoir de la compagnie : c’est une expérience rare et précieuse. Je pense même qu’on doit pouvoir venir sans réservation dans ces conditions,

bonnes courses,[/quote]
Eh, J.Marc ! Qu’est-ce qui se passe ? Tout fout le camp ! :wink:

Je pense qu’il a très bien compris. Il t’indique simplement que la notion de respect du site est relative. A ce sujet, j’avais lu un article sur un parc naturel en Argentine où il faut tout rapporter et je crois même qu’il y a des contrôles sur la quantité.

tu parles des guides, là?

[quote=« Carduelis cardulelis, id: 920290, post:32, topic:90975 »]à partir du moment où il y a :
-un(e) gardien(ne)
-un service proposé (restauration)
-des usagers/clients qui, eux, téléphonent (par respect)…

c’est un hotel-restaurant, une auberge ou comme disent certains sur ce fil, un refectoire, pas un refuge (meme si c’est l’appellation « officielle » pour se donner un frisson d’aventure dans un contexte touristico-aseptisée). Il existe (encore…) dans les alpes et les autres massifs des batiments qui sont d’accès libres, sans service, sans gerdiens, ça ce sont des refuges. Un refuge n’a pas clients. Un hotel, oui.
Capito?[/quote]

+1

Et ben… moi.
Mais c’est claire que on n’est pas près à rendre la nature à son état naturel, quand on voit les discussionsdes voisins.

excuse-moi, mais les refuges, sont l’ERREUR majeur de l’alpinisme européen. Inventés à un époque où la mode était à la colonisation. Non seulement des territoires d’outre-mer sinon des territoires outre-hauteur. Démarche uniquement comparable à l’installation de remontées mécaniques pour le ski, la transformation du milieu naturel pour mieux(?) en profiter. (sauf que… une fois modifié on ne peut plus profiter de ce qu’il était et summum de l’égoïsme, on empêche les générations futures d’en profiter)

D’abord les territoires de montagne en dessus d’une certaine altitude doivent rester vierges de traces humaines pérennes et à ceux qui ont été souillés, il faut les rendre la virginité. Démantèlement.

Secundo, il faut limiter l’accès à ceux qui sont capables de descendre ses propres détritus. Trois règles: Éducation, éducation et éducation. C’est la base de la progression en montagne et de toute formation à l’alpinisme digne de ce nom.

Après, s’il le faut, contrôles, amendes, limitations d’accès (nombre d’alpinistes), l’installation de latrines chimiques exceptionnellement et d’autres mesures seront envisageables.

Voici une piste à creuser, un chemin à parcourir et une opportunité d’évoluer. Plus de places dans les refuges n’est pas une évolution, est faire disparaître ce que (presque) tous recherchons: la nature en état pur. Il faut apprendre les gens à approcher la nature sans la détruire. Sans la coloniser. Arriver, partir et ne pas laisser des traces.

Ben non, mais Tartiflette a lancé un sujet dont l’intitulé ne se limite pas au titre :

Donc, autant séparer des discussions qui ne parlent pas de la même chose.

Pour le titre, c’est vrai que le mot est trop large (une critique peut être positive ou négative)… Tartiflette le changera si elle le souhaite.

Mais de toutes façons, la discussion ici présente ne porte pas sur les adresses (bonnes ou mauvaises), et mérite un sujet pour elle seule.

Posté en tant qu’invité par Carduelis carduelis:

nan, j’parlais de « Nostalgie des refuges d’antan ». c’est ce titre là qui est pô terrible. c’est gnangnan.

Je peux le changer si Alpideluxe me fait d’honnêtes propositions…

Posté en tant qu’invité par Carduelis carduelis:

Vas alpiniste de luxe, fais des proposoitions. Je suggère un titre qui comprend « charlotte à la goyave » pour le coté créatif et gastronomique ainsi que « réserve intégrale dans les calanques » pour surfer sur l’actualité.