ceux-là :
essaye de suivre…
ceux-là :
essaye de suivre…
le comble du ridicule quand même de faire de la rando sur des pistes
franchement je ne vois pas l intérêt !!
Posté en tant qu’invité par Au fond des combles:
[quote=« captain iglo, id: 1594470, post:102, topic:140225 »]le comble du ridicule quand même de faire de la rando sur des pistes
franchement je ne vois pas l intérêt !![/quote]
Y en a qui grimpent sur du plastique aussi…
Posté en tant qu’invité par DJ Népi:
[quote=« Marmotaine, id: 1594464, post:101, topic:140225 »]
essaye de suivre… ;)[/quote]
Merci.Comme tu avais mentionné que le skieur évoluait entre les câbles, tout naturellement je me suis dit que tu n’avais pas compris le déroulement de l’évènement, ce qui appuyait la version de Nimp.Rien de méchant mais évitons la désinformation pour une meilleure compréhension.
Encore merci !
[quote=« yoann-73, id: 1594365, post:91, topic:140225 »]c’est étrange cette discussion, parce que pour faire beaucoup de ski de rando en bord de piste, je n’ai jamais connu de probléme de cohabitation.
le seul « désagrément » que je rencontre, c’est un petit chambrage de certains mais c’est très rare.
Globalement je dirais même que j’ai plus facilement de contact avec les gens qui descendent, souvent ils discutent, lancent une vanne, parfois même ils sont admiratifs… (ben quoi sa flatte un peu l’égaux)
Après sur les pistes par contre je suis bien conscient de n’être qu’un invité, alors je reste toujours sur un coté, souvent le plus visible pour les skieurs, je ne fais pas de conversion en plein milieu de la piste, si je vois une personne qui n’est pas à l’aise je m’arrête pour ne pas la perturber et tout se passe bien. Je pense que ceux qui rencontrent des problème de cohabitation devraient s’interroger sur leur attitude. Et oui, les pistes sont avant tout faites pour être descendues par des skieurs et il faut comprendre que certains soient troublés de voir quelqu’un monter à contresens.[/quote]
+1
Qui a dit le contraire ? Ce serait bien de ne pas s’inventer de fausses raisons de polémiquer en lisant plus attentivement la première ligne du post auquel tu réponds :
[quote=« fanfoué38, id: 1594344, post:87, topic:140225 »]je croise beaucoup de randonneurs à contre sens sur la piste de ski…
Une grande majorité d’entre eux monte bien sur le bord, je les en remercie.
Une partie de ces gens en réalité ne sont pas de vrais randonneurs, mais pratiquent cette activité sur la piste car ils ne connaissent pas la montagne et craignent de se faire emporter par une avalanche.
D’autres utilisent la piste car pour le cardio training c’est beaucoup plus efficace que la neige poudreuse, non damée ; et puis si en plus c’est gratuit, pourquoi s’en priver !!!
…
Le problème n’est pas les randonneurs, mais le comportement de certains usagers de la montagne qui remontent à contre sens une piste ouverte et qui délibérément violent une interdiction prévue par le code civil.[/quote]
+1
Une première sorte de randonneurs inconscients montent et font même des conversions en plein milieu de pistes descendues par les touristes. Ils nuisent en cela aux randonneurs plus responsables qui montent sur le côté et savent sortir du bord des pistes quand c’est nécessaire. En effet, par leur comportement irresponsable, ils amènent légitimement directeurs de station et maires à réfléchir à une interdiction du ski de rando en station.
Posté en tant qu’invité par DJ Népi:
[quote=« PaulC, id: 1594482, post:105, topic:140225 »]+1
Une première sorte de randonneurs inconscients montent et font même des conversions en plein milieu de pistes descendues par les touristes. Ils nuisent en cela aux plus responsables qui montent sur le côté et savent sortir du bord des pistes quand c’est nécessaire. En effet, par leur comportement irresponsable, ils amènent légitimement directeurs de station et maires à réfléchir à une interdiction du ski de rando en station.[/quote]
Faut-il pour autant légiférer après un évènement anecdotique ? On punit l’ensemble des randonneurs par la faute d’une minorité et de leurs agissements qui ne sont pas la règle générale.
Rappelons-le: les randonneurs qui remontent les pistes sont extrêmement minoritaires au sein de la population qui fréquente les domaines skiables.
Légiférer, un mal bien français.Il doit bien exister un arsenal législatif qui permet de déterminer les responsabilitès em pareille circonstance.
Bonjour,
[quote=« captain iglo, id: 1594470, post:102, topic:140225 »]le comble du ridicule quand même de faire de la rando sur des pistes
franchement je ne vois pas l intérêt !![/quote]
Les skieurs de rando sont accusés de détériorer la végétation car les skis coupent les jeunes pousses d’arbustes. Quand j’ai le choix entre descendre sur une piste et descendre par des zones où certains tentent de faire pousser des arbustes pour stabiliser le terrain, je choisis de descendre sur la piste où je suis sûr qu’il n’y a pas d’arbustes à protéger, bien que je préfère les espaces sauvages. Et peut-être justement parce que je comprends que pour que des espaces restent sauvages, il ne faut pas en abuser et les détériorer.
Bernard
c est bien vrai les stations ne détériorent pas la nature !!!
quand je lis ça je ne sais que dire
bref
les avalanches font bien plus de dégâts en une année que tous les randonneurs sur la même période.
Posté en tant qu’invité par nimp:
[quote=« DJ Népi, id: 1594490, post:106, topic:140225 »]
[quote=« PaulC, id: 1594482, post:105, topic:140225 »]+1
Une première sorte de randonneurs inconscients montent et font même des conversions en plein milieu de pistes descendues par les touristes. Ils nuisent en cela aux plus responsables qui montent sur le côté et savent sortir du bord des pistes quand c’est nécessaire. En effet, par leur comportement irresponsable, ils amènent légitimement directeurs de station et maires à réfléchir à une interdiction du ski de rando en station.[/quote]
Faut-il pour autant légiférer après un évènement anecdotique ? On punit l’ensemble des randonneurs par la faute d’une minorité et de leurs agissements qui ne sont pas la règle générale.
Rappelons-le: les randonneurs qui remontent les pistes sont extrêmement minoritaires au sein de la population qui fréquente les domaines skiables.
Légiférer, un mal bien français.Il doit bien exister un arsenal législatif qui permet de déterminer les responsabilitès em pareille circonstance.[/quote]
il y a déjà des arretes interdisant cela => les responsabilites sont parfaitement definie : c’est Le randoneur qui est responsable.
…étaient… Ce qui est nouveau et potentiellement problématique, c’est l’engouement qui semble se dessiner pour cette pratique. Le nb des remonteurs de piste crée le problème en étant source de risque accru de collision sur les pistes. L’argumentaire sécuritaire ne sera sans doute pas le seul a motiver une réglementation de cette pratique ( il suffit de completer le code du skieur), les stations pourraient mettre en avant que ces remonteurs utilisent aussi les services de la station et notamment la neige de culture qui est considérée comme un équipement ( actuellement - rapport du Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable juin 2009 - plus de 20 % de la surface des pistes est enneigée artificiellement). Alors, Payer pour remonter une piste et sous certaines conditions. Je pense, hélas, qu’on va aller par là… quand on sait que La part du coût de la neige de culture dans le prix du forfait peut dépasser 10 % dans les petites stations…
Posté en tant qu’invité par alchx:
OUI ! Il suffit de descendre la Pierre à Ric, impossible de ne pas croiser un remonteur de piste
[quote=« fanfoué38, id: 1594344, post:87, topic:140225 »][/quote]
C’est du bon sens mais c’est peine perdue de vouloir convaincre ceux qui pensent que les bords des pistes sont propices au ski de rando et sont persuadés que ça ne présente aucun risque.
Posté en tant qu’invité par DJ Népi:
Voilà une solution alternative intéressante plutôt que l’interdiction définitive que l’on ne peut totalement exclure ultérieurement si les chiffres sécuritaires s’avéraient désastreux.
Si comme tu sembles l’affirmer d’après tes observations, la tendance de cette pratique semble en hausse spectaculaire, les stations n’auront pas d’autres choix que d’ouvrir un stade dédié à cette discipline ("piste de dénivelée sportive ou « randonnée fractionnée »).
Sur ce sujet, la vérité est très complexe. L’interdiction n’est certainement pas prévue par le code civil (ou alors il faut donner une référence), mais par des arrêtés, ce qui est déjà différent. La constitution prévoit plutôt une liberté d’aller et venir, et même si elle a été écrite bien avant les pistes de ski, il se trouve que c’est grâce à elle que certains arrêtés municipaux qui limitaient le ski de rando ont été cassés.
Après, les recommandations de l’assoce des maires de montagne (que tu dois fréquenter si tu es maire du bled qui se prétend capitale de je-ne-sais-quoi), expliquent bien :
[quote]Le maire dans l’exercice de ses pouvoirs de police, peut être amené à restreindre la liberté de circulation des personnes. La liberté de circulation des personnes ne peut être limitée que pour des raisons de prévention et d’organisation des secours, de santé, d’ordre public et salubrité, tranquillité,
sureté et protection de l’environnement.
Les interdictions générales et absolues, non limitées dans le temps et/ou l’espace
sont illégales.
Les interdictions ne peuvent concerner ou exonérer une catégorie de personnes.
Sauf exception, le régime d’autorisation préalable est impossible en matière de libertés
publiques.[/quote]
Les raisons de la limitation de la circulation sont de toutes façons sujettes à caution et à discutions, c’est pour cela que les tribunaux existent … Il n’y aurait nul besoin de juges et d’avocats si tout n’était que blanc ou noir. La limitation dans le temps et/ou l’espace permet d’interdire l’accès la nuit pour le damage par exemple, la limitation dans l’espace donne lieu à des initiatives comme celles de Saint Pierre de Chartreuse. On ne peut pas limiter l’accès tout le temps partout …
Même Marcel Pérès que l’on ne peut qualifier d’incompétent en la matière dit récemment encore dans un article du DL 08/03/2013 :
Ce qu’il reste, c’est que le randonneur qui provoquera un accident, sera mis en cause et sa responsabilité pénale pourra être engagée. Ce ne sera pas forcément le skieur descendant qui sera en tord au motif qu’il est tout de même communément admis que l’on descend une piste et qu’un seul badaboué à contre-sens qui remonte …
Quant au forfait … il existe une grande différence entre le ski de fond pour l’accès aux pistes (le forfait est une redevance, un impôt) et le ski de piste pour l’accès aux remontées (lois sur le transport). La loi montagne de 1986 explique cela, et il faudra revoir cette organisation pour demander un forfait à l’usage des pistes de descente. Ou faire des domaines sécurisées de pratiques, comme le ski de fond et la raquette, et là on pourra demander un forfait.
Posté en tant qu’invité par nimp:
[quote=« Marmotaine, id: 1594453, post:98, topic:140225 »]Tu n’as pas compris mon propos. Je n’ai jamais dit qu’il n’était pas dangereux de remonter à la tombée de la nuit et de descendre de nuit. Non, c’est sûr, je ne risque pas de le faire !
Ce qui est dangereux dans ce que tu dis, c’est d’évoluer de nuit ou à la nuit tombante quand les dameuses ont commencé leur ballet, entre les câbles…
Ce n’est pas le monopole des ski-randonneurs, malheureusement.
Dans le reste de cette discussion, ce qui était reproché, et semblait représenter l’ultime danger de cette pratique, était le fait d’être à contre-sens. Et Bernard Guérin, que tu as cité (et contre dit), faisait juste remarquer que le danger était à la descente.
Voilà, c’est tout ce que j’ai dit
Merci donc d’éviter de répondre sans avoir pris le temps de lire correctement (et comprendre) le message[/quote]
Le vrai sujet est d’utiliser une infrastructure pour une activite non prevu au prealable (que cela soit de jour, de nuit, en montant, en descendant ou meme en diagonal).
C’est du simple bon sens que la separation des flux ameliore la securite. C’est le cas sur la route depuis maintes decennies, c’est le cas dans l’industrie, etc
De toutes facons, tout l’arsenal legal est déjà disponible pour que Le randoneur ait de gros soucis en cas d’accidents. Les assurances des stations ne priveront pas lors qu’il faudra trouver Le Responsable decant payer.
Posté en tant qu’invité par nimp:
[quote=« Alexis, id: 1594555, post:115, topic:140225 »]
Sur ce sujet, la vérité est très complexe. L’interdiction n’est certainement pas prévue par le code civil (ou alors il faut donner une référence), mais par des arrêtés, ce qui est déjà différent. La constitution prévoit plutôt une liberté d’aller et venir, et même si elle a été écrite bien avant les pistes de ski, il se trouve que c’est grâce à elle que certains arrêtés municipaux qui limitaient le ski de rando ont été cassés.
Après, les recommandations de l’assoce des maires de montagne (que tu dois fréquenter si tu es maire du bled qui se prétend capitale de je-ne-sais-quoi), expliquent bien :
[quote]Le maire dans l’exercice de ses pouvoirs de police, peut être amené à restreindre la liberté de circulation des personnes. La liberté de circulation des personnes ne peut être limitée que pour des raisons de prévention et d’organisation des secours, de santé, d’ordre public et salubrité, tranquillité,
sureté et protection de l’environnement.
Les interdictions générales et absolues, non limitées dans le temps et/ou l’espace
sont illégales.
Les interdictions ne peuvent concerner ou exonérer une catégorie de personnes.
Sauf exception, le régime d’autorisation préalable est impossible en matière de libertés
publiques.[/quote]
Les raisons de la limitation de la circulation sont de toutes façons sujettes à caution et à discutions, c’est pour cela que les tribunaux existent … Il n’y aurait nul besoin de juges et d’avocats si tout n’était que blanc ou noir. La limitation dans le temps et/ou l’espace permet d’interdire l’accès la nuit pour le damage par exemple, la limitation dans l’espace donne lieu à des initiatives comme celles de Saint Pierre de Chartreuse. On ne peut pas limiter l’accès tout le temps partout …
Même Marcel Pérès que l’on ne peut qualifier d’incompétent en la matière dit récemment encore dans un article du DL 08/03/2013 :
Ce qu’il reste, c’est que le randonneur qui provoquera un accident, sera mis en cause et sa responsabilité pénale pourra être engagée. Ce ne sera pas forcément le skieur descendant qui sera en tord au motif qu’il est tout de même communément admis que l’on descend une piste et qu’un seul badaboué à contre-sens qui remonte …[/quote]
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Il suffit donc d’avoir une limitation dans le temps et/ou dans l’espace pour que cela soit parfaitement legal. En cas de pepins, l’assurance du CAF ne couvre plus si on a enfrein un arrete => bonne chance pour la vrai aventure (sous entendu legale) sous les pylones. Ca va engager severe.
Il existe déjà dans certain station des itinéraires « randonneurs » qui permettent d’accéder au sommet des remonter mécaniques en restant à proximité des pistes sans pour autant les utiliser. Bien entendu ils ne sont pas damé, en revanche ils sont parfois balisés et bénéficient de la même « sécurité » vis à vis des avalanches que le reste du domaine. Et évidemment c’est gratuit.
Cela peut servir temps d’itinéraire d’initiation que d’itinéraire « d’entraînement ».
C’est le cas aux Houches. Et je trouve que c’est une bonne initiative de la part de la station, surtout dans une vallée pleine de sportifs qui veulent bosser le cardio à la pause de midi, avant ou après le boulot, quelque soit la météo ou le risque d’avalanche.
Personnellement ça ne me viendrait pas à l’idée de remonter la Pierre à Ric, les Nants ou les Praz (lorsqu’ils sont ouverts) mais c’est vrai qu’à Chamonix la station à quand même un peu « envahit » les pistes forestières et autre itinéraires qui correspondaient à ce profil de rando-entraînement par tous les temps.
Et je suis étonnée que des stations comme Chamrousse qui regorgent de randonneurs et qui s’y prêtent n’aient pas encore pris cet initiative qui me semble être un bon compromis.
D’un autre côté, la plupart des remonteurs de pistes le font pour de l’entrainement, dans des petites stations de proximité (j’inclue Chamrousse comme petite station), fréquentées essentiellement par des skieurs de piste qui ne vont pas trop vite (vacanciers, débutants), ou par des locaux qui vont vite mais qui maitrisent un minimum (en premier pour éviter les débutants justement).
Générer un accident grave avec un randonneur en bord de piste avec ça, ce n’est pas facile.
Je me suis déjà fait engueuler à Saint Pierre de Chartreuse car j’étais à 1m à l’intérieur des limites de la piste. Mais à des endroits les piquets sont presque dans la forêt (les dameuses ne peuvent pas toujours damer toute la largeur tellement les piquets sont proches des arbres), et quand elle est mal enneigée on préfère rester sur la piste.
Au passage, vu comme j’ai été reçu, je ne suis pas près de donner un kopeck à Saint Pierre ni à en faire la pub ! D’ailleurs on dirait que c’est fait exprès pour justement qu’il n’y ait pas trop de monde et que les habitués aient plus de peuf vierge
Posté en tant qu’invité par MATOU ZALEM:
donc le skieur de descente qui vient de perdre un objet ne doit pas remonter 50m pour le chercher…il doit refaire un tour… :lol:
Et puis qu’en est il des domaines dont l’accès passe par un retour de pistes.
Exemple:
la pointe Emy, grande chible nord départ d’albanne par une petite piste , puis un retour des Karellis
secteur col des sarrasins,refuge du Thabor, col de la roue…départ par un retour sur valfréjus chemin obligatoire…Ou bien il faut attendre l’ouverture de la station et acheter un forfait…etc
Bref encore une tempète franchouillarde dans un verre d’eau, facilement résolue par un peu de bonne volonté de part et d’autres…
Mais si les élus sont obsédés par la prison qui les menaces :rolleyes: ce n’est pas ce sujet qui devrait les préoccuper…mais, d’après la jurisprudence… plutot dans quel petit pot de confiture à l’oseille,leurs mimines grassouillettes vont se faire prendre.!!!