Posté en tant qu’invité par jeremy:
Qqun aurait il des précisions sur la méthode d’assurage en Z utilisée par Bonatti lors de son ascension en solo du pilier sud ouest du dru??
Il ne la décrit pas et je ne suis pas sure d’avoir une idée exacte.
Méthode d'assurage en Z
Posté en tant qu’invité par Baltardive:
Nous lui avons posé la question en1962, lors d’une conférence à Grenoble. Il arefusé de répondre : top secret. Tu jugeras l’état d’esprit du Bonatti.
Historique.
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Posté en tant qu’invité par J2LH:
jeremy a écrit:
Qqun aurait il des précisions sur la méthode d’assurage en Z
utilisée par Bonatti lors de son ascension en solo du pilier
sud ouest du dru??
C’est pas simplement le système qui utilises un Barnett (sorte de Machard assoupli) :
Posté en tant qu’invité par jeremy:
c’est ce que je pensais peut etre car on peut y reconnaitre un Z.
je sais pas
Posté en tant qu’invité par Dédé:
On récupère la corde comment une fois au relais suivant ?
Posté en tant qu’invité par J2LH:
Dédé a écrit:
On récupère la corde comment une fois au relais suivant ?
Tu descends et tu remontes sur la corde.
Posté en tant qu’invité par Dédé:
Pratique mais un peu long. Mais bon quand on a pas le choix, on a pas le choix.
Posté en tant qu’invité par Bo:
Il me semble que Walter utilisait son sac de bivouac comme lest ,lorqu’il pratiquait sa méthode en Z et je ne suis pas sûr du tout qu’il s’agissait du système Barnett…
Posté en tant qu’invité par jeremy:
c’est vrai qu’il parle aussi de son sac comme contre poid.
Posté en tant qu’invité par Dédé:
Il ne remontait pas son sac en tirant sur la corde une fois arrivé en haut et après être redescendu au relais pour défaire la corde ?
Dans ce cas pas de contre poids avec le sac ?
Posté en tant qu’invité par Bobb:
En fait j’ai bien une idée sur son système mais je ne suis pas sûr que ce soit réellement ça,ce n’est qu’une supposition SANS ESSAI PREALABLE
En fait ,c’est plus un N qu’un Z -(il semblerait que le système « N »,positionné en Z dans la paroi ,offre encore plus de tirage donc de frein…)
En bas de la branche gauche du N ,il accrocherait son gros sac de bivouac
La corde décrit ensuite un N en passant par 2 points-
Ces deux renvois provoquent un tel freinage que la corde coulisse trés mal-
Lui ,est encordé au sommet de la branche droite du N
On peut imaginer disposer une vingtaine de mètres ,voir plus ,entre le sac à lest et le premier renvoi
Ensuite ,s’il attache une cordelette entre son sac et lui même (directement ,sans les renvois),celà devrait lui permettre de hisser le sac et ainsi liberer du mou pour la suite de la progression ,qu’il peut protéger classiquement avec des pitons
Le « Z » joue alors le rôle d’un frein ,en cas de chute ,grâce au poids du sac et le tirage que ça provoque-
Cela oblige à redescendre en rappel et débloquer le système mais c’est « classique » en solo autoassuré-
Bon ,ce n’est peut être pas ça ?
A+
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Posté en tant qu’invité par Bobby:
Bon alors …??
Ça progresse cette technique du Z ??
Personne pour me contredire ?
Gépi ,qu’est-ce tu fous ?
ça m’intrigue aussi…
Posté en tant qu’invité par Gepi:
Il progressait encordé à l’extrémité de la corde ? Corde tendue ou en prenant du mou ?
J’ai du mal à me représenter.
A+
Posté en tant qu’invité par Gepi:
Bobby a écrit:
Personne pour me contredire ?
Gépi ,qu’est-ce tu fous ?
Juste pour ne pas te décevoir :
C’est quoi cette technique ? J’en sais rien, nah !
A+
Posté en tant qu’invité par Bobby:
Gepi a écrit:
Il progressait encordé à l’extrémité de la corde ? Corde tendue
ou en prenant du mou ?J’ai du mal à me représenter.
A+
Mais je n’en sais rien en fait !J’éssaie d’imaginer un système qui ressemble à un Z et qui comporte le sac de bivouac dans le fonctionnement…je ne sais pas si ça marche-Et ça se trouve ,sa technique est tout autre mais en effet il doit être encordé d’un coté et le sac de l’autre-
Il faudrait que je retrouve le passage ou il en parle dans son livre « montagne d’une vie »
mais c’est court et peu explicite mais au moins il décrit ses manips de sac
Ceci dit ,on peut envisager que la cordelette entre Walter et son sac reste tendue ,auquel cas il doit grimper avec le poids de son sac ainsi que le tirage occasionné par le passage de la corde dans le Z ,même si la corde d’assurance n’est plus tendue par le poids du sac ,ça doit quand même bien frotter donc je ne penses pas que ce soit envisageable
Sinon il est possible qu’il prenne du mou en tirant son sac de piton à piton -
Un crochet du type Fifi permettant de récuperer le sac par la suite pour le hisser à nouveau sur le piton suivant
cqfd
Posté en tant qu’invité par Pat:
Un peu plus cher mais plus efficace: tenir et pousser le machard avec un poulie. Je crois que la methode a un nom special que j’ai oublie…
Posté en tant qu’invité par Bobby:
Je vais essayé d’être plus clair:
Le « N » représente le trajet de la corde d’assurance:
En bas de la branche gauche du N ,à un bout de la corde ,il accrocherait son sac de bivouac
Cette corde décrit ensuite un N en passant par 2 points -
Ces deux points correspondent à deux renvois
Ceci provoque du (tirage) freinage et la corde coulisse plus ou moins bien,en fonction de l’ecartement des 2 branches du N :l’angle de chaque renvoi s’adoucie alors que l’écartement augmente=>logique
Walter ,est encordé à l’autre bout de la corde,en haut de la branche droite du N
La distance entre le sac de bivouac et le premier renvoi correspond à la hauteur possible d’ascension :variable
Ensuite ,s’il attache une cordelette entre son sac et lui même (directement ,sans passer par les renvois),celà devrait lui permettre de hisser le sac en direct ,sans passer par le Z ,et ainsi liberer du mou pour la suite de la progression ,qu’il peut protéger classiquement avec des pitons
Le « Z » joue alors le rôle d’un frein ,en cas de chute ,grâce au poids du sac et le tirage que ça provoque
C’est plus clair ?
Posté en tant qu’invité par Gepi:
Bobby a écrit:
C’est plus clair ?
Oui, ça aurait pu marcher comme ça.
A+
Posté en tant qu’invité par Bobb:
bon
Posté en tant qu’invité par jeremy:
ben non justement dans le bouquin il dit: c’est trop chiant et trop long à expliquer. pas un mot.