L'individualisme

Posté en tant qu’invité par vi vi.:

Je remarque que plus les jours passent, plus les gens sociables vivent sans se soucier des autres Pourtant il y auraient mille passions à vivre en commun, que se passe t il?

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Kalis:

les gens sociables vivent sans se soucier des autres… y a pas comme un paradoxe la dedans?

Posté en tant qu’invité par unCplus à vue de nez:

vous pouvez répéter la question ???

Posté en tant qu’invité par la mère Denis:

Ah oui c vré ça

Posté en tant qu’invité par pierre yves:

vi vi c’est vrai je vie avec passion , avec moi même… :smiley:

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Kalis a écrit:

les gens sociables vivent sans se soucier des autres… y a pas
comme un paradoxe la dedans?

Mais dans un sens ne peut on pas penser que pour les gens insociables les autres sont des soucis ? et donc que pour les gens sociables les autres ne sont pas des soucis ? Bon d’accord, « ne pas se soucier de » et « ne pas être un souci » c’est un peu différent.

Posté en tant qu’invité par françois:

J2LH a écrit:

pour les gens sociables les autres ne sont pas des soucis ?
ce que je comprends de la question enigmatique de vi vi. , c’est que les gens qu’on dit sociables restent en vase clos, entre gens sociables (dit autrement entre gens « de la bonne société »)
sans soucier forcément des « autres » qui restent dans leur coin
ça se voit par exemple au pied des SAE: quand il y a des nouvreaux, les plus « sociables » vont vite grimper ensemble, alors que le plus timide va chercher pour l’assurer
bon, c’est de la sociologie à la petite semaine; mais on est dimanche, on se lache…

Posté en tant qu’invité par sac à dos:

hum!!! grimper c’est bien, c’est très bien même mais si tout un groupe se retrouve autour d’un feu où cuissent les saussices, n’est ce pas mieux? Je pense que c’est ce que veux dire vui vui???

Posté en tant qu’invité par françois:

sac à dos a écrit:

se retrouve autour d’un feu où cuissent les saussices,
oh oui! pour se taper sur les cuisses…

n’est ce pas mieux?
tout à fait d’accord, c’est d’ailleurs ma façon de vivre la grimpe; ce qui compte c’est pas forécément ce qu’on a grimpé, mais les souvenirs qu’on se raconte après. hier soir encore, on a fini la soirée dans un café à se remémorer pour la 15° fois les mêmes histoires…

Posté en tant qu’invité par sac à dos:

tiens, les saucisses ont des cuisses , je ne préfère pas prendre la versions masculine…c’est dimanche!

Posté en tant qu’invité par françois:

sac à dos a écrit:

tiens, les saucisses ont des cuisses , je ne préfère pas
prendre la versions masculine…c’est dimanche!

bon, alors on voit ça lundi?

Posté en tant qu’invité par sac à dos:

l’un dit : pommes de terre à la braise , cote dans l’echine, cmenbert fondu sur un bon campaillou!

Posté en tant qu’invité par luccio:

ce que je comprends dans la proposition de vi vi:
les « êtres » sociables, le sont pour eux, de manière égoïste, de manière individualiste…
peut-être parle-t-on de ces requins qui nagent en eaux troubles, à l’aise partout, car « supérieurs », craints de tous ( l’admiration et la crainte ne sont pas forcement des sentiments très éloignés…)

  J'en ai connu, des "êtres supérieurs", avec leur cour gravitationnelle, et et gravisante...(non, y'a pas de faute, gravisante: de qui rend grave...) 

toujours le bon mot pour te flinguer et te rabaisser, un humour blessant niveau maternelle…

de vrais individualistes, .........pourtant très sociables...

     rien à voir avec des groupes "sociaux" que je ne dirais pas de société, mais pétris d'Humanité, d'amitiés...des gens vrais, sans faux-semblants...

et bien sûr, ces personnes-là, ne sont pas des « bêtes » de société, ou alors c’est leur « charisme » qui les impose…

enfin, faut de tout pour faire un monde…

Posté en tant qu’invité par sac à dos:

là quelque’un qui regarde dans la même direction que moi!

Posté en tant qu’invité par Paul G:

Sur C2C, je suis frappé par le nombre de posts traitant de la grimpe en solo. Je pensais cette pratique réservée à une élite visant de grandes ascensions en solitaire. Elle semble utilisée par des grimpeurs de couenne, de tous niveaux. J’ai même parfois eu l’impression que des débutants s’intéressait à cette pratique.

Je suis aussi frappé par le nombre de gens qui cherchent des partenaires. Si les clubs près de chez eux ne leur conviennent pas, je comprends bien. Mais dans certains cas, j’ai l’impression qu’ils voient la grimpe exclusivement en binome, et qu’ils ont un a priori fort contre les clubs.

Signes de l’évolution de la société ?

Posté en tant qu’invité par françois:

sac à dos a écrit:

l’un dit : pommes de terre à la braise , cote dans l’echine,
cmenbert fondu sur un bon campaillou!
l’autre dit: c’est tout bon ça. avec du rouge pour faire passer?
bon c’est bien apetissant tout ça, mais j’ai des diots sur le feu et après j’ai un train à prendre
a+

Posté en tant qu’invité par sac à dos:

je suis inscrite à un club (asptt) mais je cherche aussi des partenaires (pas forcement bi nome , plus on est plus c’est varié, et mieux c’est, mais tu trouve ainsi autre chose!

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Paul G a écrit:

Signes de l’évolution de la société ?

Ca rejoint une des remarques que j’ai fait récemment dans une autre discussion.
Le besoin est de pratiquer et donc de trouver des partenaires, les clubs répondent/répondaient à ce besoin mais ne sont plus les seuls.

Posté en tant qu’invité par Paul G:

J2 : « Le besoin est de pratiquer et donc de trouver des partenaires, les clubs répondent/répondaient à ce besoin »

Pourquoi "répondent/répondaient " ?
Ils sont des centaines en France, et très différents les uns des autres.
Je comprends qu’on ne trouve pas son bonheur dans les clubs x ou y à côté de chez soit, mais à mon avis, la majorité des grimpeurs y trouvent leurs équipiers, même si ensuite ils ne sortent pas dans les sorties officielles.

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Paul G a écrit:

Pourquoi "répondent/répondaient " ?

Parce que curieusement ce n’est pas le besoin qui est à l’origine de la réponse mais la réponse qui est à l’origine du besoin. Les clubs se sont appuyés sur des besoins qu’ils ont créés mais quand de nouvelles réponses voient le jour de nouveaux besoins également. Les clubs répondent toujours à des besoins mais des besoins nouveaux sont apparus et ils ne savent pas y répondre pour la bonne raison que la réponse existait avant le besoin et les clubs ne peuvent que suivre la tendance et non avoir un rôle moteur.