Merci!
Les premières trilogies alpines de Rébuffat à Ghirardini
Bizarre quand même ce blog, où l’on apprend que Tony Kurtz a survécu à l’Eiger, quant au récit de la cordée Kurtz-Hintertoisser elle est poétique mais éloignée de la version historique. Peut-être ne faut il pas faire 100% confiance aux histoires racontées sur ce site
Tout-à-fait. pas que sur ce site d’ailleurs. J’ai sursauté en lisant:
Quelles « vérités » ? vaste débat. Certains éditeurs aiment bien soi-disant rétablir la « vérité ». Pour moi c’est plutôt établir une autre « vérité », d’ailleurs me semble-t-il parfois davantage motivée par le buzz que par autre chose. Un jour peut-être publierai-je moi-même moi aussi ma « vérité », un peu las de lire des choses totalement fausses d’après des témoignages directs des protagonistes, ou bien étayées par des enquêtes minutieuses. Mais c’est un autre sujet je referme cet aparté.
Curieux blog et curieuse intervention sur c2c…
Petite question annexe: je vois que tu t’es inscrit sur c2c il y a deux jours pour parler de cette « découverte » juste après la création du blog. En serais-tu l’auteur ?
Je pense que oui et je pense que ce n’est pas la première fois que l’auteur intervient sur le forum avec un style caractéristique
@Modo_Forum_FR
Voir :
Si c’est le cas c’est incompréhensible, pourquoi ne pas dire j’ai fait un blog au lieu de j’ai découvert « un historique assez bien fait » et de passer la pommade « ce site vaut le détour », si c’est le cas c’est vraiment puéril. Mais peut-être que pas du tout. Attendons une éventuelle réponse.
J’me répond à moi même, car ma remarque était un peu trop douce.
Tout le récit sur Kurtz-Hinterstoisser est un non sens historique dans ce blog, globalement rien n’est vrai.
Et je ne comprends absolument pas l’intérêt de faire ça
Et ouais, les illuminati, même ici ça sévit.
La rhétorique ne manque pas de grandiloquence (quand elle ne verse pas dans le grand n’importe quoi), encore accentuée par une traduction (de l’italien ?) approximative.
Ce Tony Kurz était quand même très fort, qui a réussi à rester pendu à une corde sectionnée, voire à rester vivant après son agonie. Chapeau !
Pis en plus l’Eiger c’est calcaire, pas granite (ce qui m’a choqué dès le début de la lecture, mais ne me semblait pas grave, tout le monde n’as pas de saupoudrage en geol’)
L’histoire de la tentative de l’Eiger en 1936 se suffit largement à elle même pour être une légende Alpine.
Le livre de Joe Simpson « la dernière course » de mémoire raconte très bien toute l’histoire de cette tentative. D’ailleurs Arte en avait fait un documentaire aussi il y a peut être une 20aine d’année qui était pour le coup aussi de grande qualité
Sur l’histoire de l’Eiger, il y a le livre de Heinrich Harrer « La face nord de l’Eiger ». Passionnant et tout est dit.
Pour la petite histoire, Harrer était le gendre d’Alfred Wegener (la dérive des continents).
« Ainsi, l’Eiger ne fut pas conquis ce jour-là, mais honoré, par deux âmes nobles dont le sacrifice nous rappelle que le plus grand pic à gravir est celui de notre propre cœur. »
Tony Kurtz survit non pas à cette tentative qui se termine en drame pour toute la cordée, ils étaient 4, mais par l’esprit dans lequel il a tenté cette face nord. Et donc oui, d’une certaine façon, il a survécu au drame. Son souvenir reste ancré dans cette paroi.
Ce texte a été généré par IA, suivant mes indications, pour « voir » comment une IA percevait ce drame. je trouve le fait qu’elle fasse « survivre » Tony Kurtz intéressant.
Dans la pensée grecque, l’immortalité ( athanásia , ἀθανασία) ne signifie pas simplement ne pas mourir, mais survivre à la mort en conservant une forme d’existence ou de mémoire . Pour les dieux, elle est naturelle : ils sont éternels, hors du temps. Pour les humains, l’immortalité n’est possible que par l’âme ( psyché ) ou par la gloire ( kleos ).
Platon distingue l’immortalité spirituelle — l’âme, qui survit au corps et retourne au monde des Idées —, de l’immortalité héroïque, célébrée par Homère : le souvenir impérissable laissé par les exploits. Ainsi, Achille choisit une vie brève mais glorieuse pour “ne jamais mourir dans la mémoire des hommes”.
L’immortalité grecque est donc double : métaphysique pour les sages, symbolique pour les héros — survivre non par le corps, mais par l’âme ou la renommée.
C’est fort juste, mais on pourrait aussi rajouter que cette face n’est pas totalement nord, que les grimpeurs des années trente la voyaient depuis le bas rocheuse, alors qu’elle est mixte, Harrer n’avait même pas de crampons en 1938. etc… J’ai demandé à IA de capter un état d’esprit et d’essayer de le restituer.
l’esprit semble assez bien restitué, pour le reste aucun des 4 alpinistes de ce drame n’a pu dire ce qui s’etait vraiment passé, et pour cause.
Ce blog a pour but de rétablir des vérités historiques sur les premières trilogies alpines des trois derniers problèmes des Alpes. que ce soit en cordées, en solitaire, en hivernale, en hivernale solitaire.
Oui, enfin c’est très théorique, tout ça. Concernant le sujet, ça lui fait une belle jambe. Il est bel et bien mort.
se dresse l’Eiger, ce géant aux épaules de granit…
L’expression « épaules de granit » évoque une métaphore de force, de stabilité et d’endurance inébranlable .
Le granit, roche dure et immuable, symbolise la solidité morale et physique , la résistance au temps et aux épreuves . Avoir des épaules de granit, c’est porter des fardeaux sans plier, soutenir le monde ou les autres avec constance , comme un pilier humain.
Cette image peut aussi suggérer une dignité silencieuse , une force tranquille , voire une froideur stoïque — le granit ne cède pas, ne se plaint pas, il endure.
En poésie ou en philosophie, c’est souvent la métaphore d’un être à la fois humain et minéral , unifié avec la terre, indestructible dans sa mission ou sa foi .
Rétablir des vérités en utilisant l’IA qui nous fait survivre un mort?
Ben non l’esprit n’est pas restitué du tout, Kurtz n’a pas tenté de ramper vers le sommet avec un bras cassé, ils étaient dans une retraite catastrophique, la traversée Hinterstoisser qui ne pouvait pas être franchise car ils avaient retirée la corde, la tentative de descente en direct par la Rhote Fluh qui s’est soldée par un échec et le dernier survivant Kurtz qui a lutté jusqu’au bout pour finalement mourir à cause d’une corde trop courte. Corde rabouttee mais c’est ce noeud qui as sonné son glas. Impossible à faire passer dans le mousqueton