Ces questionnements sont dans l’air du temps : ça se retrouve également dans d’autres disciplines.
Sans présupposer de qui est derrière les pseudos, il me semble que la discussion est très masculine alors je ramène ma fraise de grimpeuse.
1° le collectif de femmes qui s’offusquent, ce sont des grimpeuses ? On pourrait peut-être commencer par là. Tu ne connais pas le milieu, et bien avant de le juger de l’extérieur, expérimente-le et après reviens en parler autour d’un verre.
2° ras-le-bol de ces couches de bien-pensance étasunienne qu’on veut nous coller. Au lieu de faire la morale, on ferait mieux de faire de l’éducation. Ce n’est pas en donnant un texte édulcoré qu’on fait grandir l’esprit des lecteurs. Alors que les ouvreurs puissent expliquer leurs jeux de mots, les circonstances de la création de la voie au lieu de se voir censurés par des esprits étroits.
Et que chaque parent éduque ses enfants dans le respect de l’autre sexe.
Si les parents au premier chef arrêtaient de faire croire aux petites filles qu’elles sont des petites choses fragiles, elles auraient plus de capacité à se faire respecter et à remettre les gars en place si besoin.
3° si les féministes (dont je ne nie pas l’utilité) pouvaient plutôt se concentrer sur les vidéos qui tournent en boucle sur les smartphones des ado, ça aurait tout de même plus d’impact que 3 noms de voies mal expliqués.
Ceci dit, je vais grimper !