Tes maux.
Les noms de voies devraient ils être plus réfléchis ?
Voilà, pluriel.
Ton pluriel.
Le pluriel ne se limite pas au binaire proposé ici.
Donc votre stratégie c’est la guillotine ?
Vite on cherche une tête à couper pour exister
Vous êtes vraiment pitoyable
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Notre ? Oui continuons à voir 2 camps qui s’affrontent. Sans moi !
J’espère bien que le camp de la désinformation de la honte perde
Vous déshonorez le travail de nombreuses féministes bien intentionnées
Rien que ça ! Qui a tracé une ligne : les bien-pensants, le bien/le mal ? La caricature :
Toujours pas de réponse. Je mets quel uniforme ?
Franchement on s’en moque un peu, tant que tu ne prends pas un ton accusatoire envers ceux qui ne veulent pas prendre ton train…
Illustre ?
Ah ben quand je lis ça :
Ca c’est accusateur , culpabilisant et condescendant.
Tu as, excuse moi du peu , l’audace de penser qu’un nom de voie (ou ceux qui le défendent) peut révéler une mentalité à faire évoluer ?
Mais franchement , tu te prends pour qui ?
Et après tu vas me dire que je caricature ? Mdr
Bref, je passe à autre chose …
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Tu m’excuses de me citer convenablement :
On dirait que certains découvrent les modes d’actions d’un certain féminisme de nos jours. En disant ça, je ne prend aucunement parti (c’est pourquoi mon intégration à ce combat par @totor38 me semble le fruit d’une incompréhension) .
Et puis, comme on a fait le tour de « Viol de Nuit » à la Romagne, on parle de quoi « des noms de voies qui devraient ou non être plus réfléchis » ou des modes d’action des féministes ? La forme éclipserait le fond¹ ? Peut être qu’on peut aussi faire un gloubiboulga des deux 
On pourra peut être être d’accord sur le fait qu’un article de journal touche plus de personne qu’un simple échange avec l’ouvreur. Là encore, je ne fais que mettre en avant le principe du mode d’action. Quelle audace !
¹ parler de la forme et non du fond, ça ne vous rappelle rien ? Vous voulez savoir si je condamne les violences ? 
Où ça conduit, l’escalade, tout de même… l’eussiez-vous cru ?
Les voies d’escalade sont impénétrables.
(J’espère qu’on ne va pas gloser ad nauseam sur d’éventuels glissements sémantiques, interprétations biscornues ou exégèses tarabiscotées sur cette phrase)
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Le mode d’action de certaines féministes c’est effectivement le problème
Il apparaît franchement ici que votre unique but c’est de faire du buz.
Vous choisissez sciemment de faire un article plutôt qu’une simple discussion qui aurait tout résolu hyper facilement
Oui cet article est une honte ce que je dis depuis le début
Mais pourquoi tu persistes à utiliser la 2ème personne du pluriel ? Je n’ai pas d’avis sur le mode d’action des féministes, j’en saisi juste les ressorts.
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Mais pourquoi tant d’énervement ?
On ne peut pas discuter tranquillement ?
Le sujet est sous forme de question. Oui, non peut-être…
Le viol ne concerne pas que les femmes. Et les séquelles traumatiques sont aussi fortes chez les hommes. Je ne vois pas de mysoginie dans le mot viol, je vois une pénétration en force, non consentie.
Mais à trop faire court, on ne finit pas la phrase… Alors je la termine :
humouristique, celui de caricaturer aussi les hommes et leurs fantasmes.
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C’est légitime d’être en colère contre la méchanceté.
Après bien sûr qu’on peut débattre des noms etc
Mais dans le cas présent c’est pas possible de discuter sur la base d’un article honteux
Tu as raison si on s’en tient à la définition, j’ai parlé de tangent puisque comme le dit @Dibona « ça concerne beaucoup plus souvent les femmes. »
Vraiment ?
L’article en soi n’est pas honteux. J’ai pas accès à l’intégralité mais il ne fait que relater des faits, une indignation d’un collectif de féministes contre un nom de voie.
Tu peux juger honteuses les accusations de ce collectif si tu veux.
Pour moi, en s’éloignant de ce cas précis car le but n’est effectivement pas de mettre au pilori un ouvreur qui ne pensait sans doute pas à mal et en plus a changé le nom de la voie, ça donne l’occasion de se poser la question plus générale qui est celle du titre du sujet.
Il est temps de passer à la désescalade 
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