Les jeunes ne font plus de ski

Si tu crois que je vais soigner quelque chose pour échanger des banalités avec François depuis mon téléphone ou même depuis un PC, tu te goures totalement.
Je te laisse bien volontiers à toi et d’autres cette satisfaction.

Ben vu comment tu édites à tour de bras tous tes posts, ca fait tache.
Ça fait pas pro quoi.
Au sens trollesque de « pro » je veux dire.
Après peut être que tu édites plus pour le côté troll que pour le côté orthographe.
Je suppose que oui !

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Bonsoir,

C’est bizarre, j’ai toujours apprécié d’aller skier avec mes parents, et j’apprécie aussi de skier avec mes enfants, et je pense que eux apprécient aussi sinon ils ne le demanderaient pas. Et maintenant, je pense que ce sont les petits-enfants qui vont le demander, et je suis sûr que ce sera très bien aussi, à moins qu’ils ne fassent partie des jeunes qui ne font plus de ski.
Bon, en plus de skier en famille, j’apprécie aussi d’aller skier avec des copains, que ce soit en rando pour découvrir des paysages, ou en station si ce sont des copains qui ne font que du ski de piste, et nous apprécions ensemble les différentes pistes et les paysages.

Bernard

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Au delà du fait qu’un gamin apprécie de ne pas avoir ses parents sur le dos, apprécie d’être avec des gamins de son âge à faire les conneries habituelles des gamins, il y a simplement une question de niveau.
Le principe des clubs de ski, des clubs autres que ski, des colos ou des centres aérés, n’est généralement pas de pratiquer avec papa et maman. On aime ou on aime pas. Mais le principe est généralement de pratiquer par classe d’âge et/ou par classe de niveau, comme à l’école.

Quand on pousse la pratique, il est normal et logique de privilégier des partenaires de pratiques ayant un niveau ou tout au moins des objectifs similaires. Ça n’empêche pas de faire des sorties pépères avec des personnes moins expérimentées (familles ou amis) en privilégiant l’aspect social. Mais, si on veut pousser la machine, à fortiori en montagne, on choisira ses partenaires en fonction de leurs niveaux et carnets de courses, les liens affectifs passant après.
Pour ma part, il est quasi certains que je ne pousserai jamais la machine avec mes gamins ou la famille en montagne non aseptisée (alpinisme ou ski free-ride) car je n’ai pas envie de devoir annoncer à la maman que cela s’est fini dans une boîte en sapin. Ils feront, ou non, mais ce sera leurs choix. La montagne est une pratique bien trop mortifère.

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En effet, un troll de qualité n’a pas besoin d’éditer à tour de bras, le troll est directement qualitatif, compréhensif, percutant. On a ici affaire à un troll de bien piètre qualité. Il est probablement bien meilleur sur un chrono de slalom (mais malheureusement bien trop mauvais pour être suffisamment bon pour être connu, donc pour être quelqu’un de compétent dans le monde élitiste de la compet’).

Je vois que je ne suis pas le seul à préférer très largement les sorties familiales à attendre les parents, frères et sœurs, que les compets. Les médailles/podiums que j’ai pu faire sont juste incomparables par rapport à une belle journée de ski (ou autre d’ailleurs) en bonne compagnie.

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La pratique collective, dans un club, en colos, … en dehors du cercle familiale, est un standard, permettant notamment aux gamins de s’émanciper du cocon familiale et d’apprendre la vie collective. C’est la même chose que l’école.

Je n’ai pas le souvenir que nos parents nous manquaient, à moi et aux autres gamins des clubs, quand nous partions 1 semaine en stage ou même sur un we de course de 2 jours. Bien bien au contraire !

Je serais très étonné que cela soit différent en 2020. J’imagine que les gamins s’éclatent toujours autant, en très bonne compagnie avec les autres gamins, les encadrants et les anciens du club. … Je comprends mal pourquoi cela gênerait que des gamins s’éclatent en club. Certes, ces gamins enfument les skieurs loisirs. C’est juste normal et c’est la même chose dans la quasi totalité des activités sportives. Pour rappel, bons nombres des moniteurs de ski, ceux que vous payé pour vous apprendre à skier, sont passés par les clubs. Le ski a dû tellement les emmerder en club qu’ils en ont fait leur métier.

Les remarques « glorifiant » le cocon familiale, et « vilipendant » la pratique collective, ne m’étonnent guère. C’est bien dans l’air du temps et quasiment pil poil dans le sujet.

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Juste pour signaler.
Ce con de pouce en haut étant situé sur le bord d’un écran smartphone il est pénible d’en donner à des schnock alors qu’on scrolle tout simplement.
Ne peut on pas le mettre au centre ou le supprimer ou imposer un double clic ?
Merci

Tu peux le supprimer en cliquant à nouveau dessus.
Je ne sais pas ce que ça donne au niveau de la notification par contre. J’essaye avec toi : je clique sur le pouce et je l’enlève . Dis moi si tu reçois la notification

Bien vu !
Non je reçois juste la notification de ta réponse.

Sinon tu scrolles en utilisant le milieu de ton écran.

L’effacement du pouce de cette manière ne fonctionne que si on le fait très vite après l’avoir mis. Si on s’aperçoit trop tard (après avoir par exemple scrollé), qu’on a mis un like à l’insu de son plein gré, c’est impossible de le retirer… :sob:

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Comme cela a été expliqué, il y a plus de 10 000 persones/gamins narcissiques à se tirer la bourre dans les clubs. Mais, ça doit tous être des cons a s’emmerder express. T’imagine si l’ensemble des gamins dans tous les sports se faisaient plaisir à se tirer la bourre tous les WE. J’imagine bien que cela soit impensable pour ceux faisant semblant de croire que ces gamins sont au bagne. La vérité en matière d’activité sportive n’est certainement pas seulement chez les touristiques. A fortiori parce que ces touristes vont apprendre à pratiquer l’activité en question auprès de ceux qui se sont tirés la bourre.

Que cela te fasse plaisir ou non, les pratiques sportives où les gamins se tirent la bourre suivant des règles formalisées constituent un très bon apprentissage par exemple de la perseverance, du travail en équipe etc…, en plus bien évidemment du développement physique du corps.
Sans les parents et la famille, ça contribue également à développer l’autonomie, la vie en collectivité etc …

Bien évidemment, il y a des dérives dans le haut niveau, comme dans toutes choses poussées à l’extrême. Mais cela ne concerne pas 99,9% des gamins qui passent surtout un bon moment entre potes a pratiquer une activité sportive en se tirant la bourre.
AMA, c’est d’autant plus important en 2020 compte tenu de la diminution de l’activité physique des gamins.

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Va falloir penser à upgrader les serveurs C2C courant 2040, des fois qu’ils débarquent tous.

Bonjour,

En ce qui me concerne, j’avais été inscrit au Ski Club, puis au Guc Ski, par mes parents, sans doute sans vraiment connaitre les activités qui s’y passaient. L’esprit de compétition ne m’y plaisait pas du tout, je disparaissais du groupe pour aller skier de mon côté en ski de loisir, et je réapparaissais un peu avant l’heure du retour. Bref, je faisais du ski buissonnier, ça m’a sûrement mieux préparé à faire ensuite du ski de rando plutôt que du ski de compétition.

Bernard

Schnok est peut être atteint du paludisme: cela expliquerait ses poussées de fièvre macroniennes !

Ca m’étonnerait beaucoup notamment en terme d’apprentissage des fondamentaux. Ce n’est pas pour rien qu’une bonne part des meilleurs free-rider ont fait leurs classes en alpin.
C’est d’autant plus vrai à ton époque où le matériel de hors-pistes était généralement constitué de ski de géant, et où les techniques étaient beaucoup plus proches.
Quand bien même aujourd’hui le matériel est différent ainsi que la technique, les fondamentaux restent les fondamentaux, le touché de neige reste le touché de neige. Quand tu as fait tes classes en géant, en super-géant, le passage au free-ride (neiges souples) est rapide. C’est encore plus rapide pour les neiges dures qui sont rarement aussi bétons en ski de rando qu’en alpin.
Bon nombres de moniteurs de ski sont passés par les clubs, je n’ai pas l’impression qu’ils pédalent trop dans le semoule en HP (par rapport aux touristes).

Même si aujourd’hui les gamins font moins de hors-pistes en étant mineur dans un cadre club car le risque juridique est plus élevé, il ne faut pas grand chose pour passer au free-ride s’ils le souhaitent.
Quand je faisais du piquet, on s’amusait également en hors-pistes à se tirer la bourre y compris avec les surfeurs :-), on s’amusait également à sauter des barres rocheuses, à aller dans du raide, à mettre le casque pour s’amuser dans la forêt avec donc des gros piquets, on skiait exprès dans la croûte pour améliorer tes sensations de bout de spatule etc …

Je pense qu’il parle des licenciés FFS.

Nous c’est même pire : on fait presque chaque WE du ski de rando en famille avec nos ados, nous on adore et eux en redemandent…Mais bon il faut reconnaitre que sinon on ne voit quasiment jamais d’autres jeunes de leur age.