Les courses les plus nulles

Posté en tant qu’invité par Michel C:

Terrain d’Aventure

Posté en tant qu’invité par Jean-Claude:

TA = Terrain d’Aventure !Romain a écrit:

Ca veut dire quoi TA ??? Je cherche depuis tout à l’heure, je
dois etre un peu con…

Merci d’avance :wink:

Posté en tant qu’invité par s@m:

Terrain d’Aventure

Posté en tant qu’invité par Romain:

Je ne connais pas cette notion, ça veut dire qu’il n’y pas de topos ou ce n’est pas très bien défini ou alors c tout simplement un niveau de difficulté que je ne connais pas?

Posté en tant qu’invité par Michel C:

Hey Arnaud pourquoi ça marche pas le ???

Posté en tant qu’invité par Aquafresh:

Ca veut dire que tu poses tes protections toi même. Pas de spits, qques pitons , un ou deux coinceurs laissés dans la voie …

Posté en tant qu’invité par Claude:

En gros ce sobnt les voies qui ne sont pas entièrement équipé et entretenu.

Les discussions les plus récentes sur le sujet :
http://escalade.camptocamp.com/forums/read.php?f=15&i=18497&t=18497

Posté en tant qu’invité par s@m:

Quelques éléments de réponse dans ce forum là :
http://escalade.camptocamp.com/forums/read.php?f=15&i=18914&t=18497

çà c’est la suite : http://escalade.camptocamp.com/forums/read.php?f=15&i=19108&t=19108

et dans d’autres thread enflammés !!!

Posté en tant qu’invité par s@m:

tu mets à la place …

Posté en tant qu’invité par Michel C:

Ben oui, j’ai bien vu comment tu faisais mais j’aimerais bien comprendre pourquoi ma technique ne marche pas…

Posté en tant qu’invité par catherine:

Michel C a écrit:

Hey Arnaud pourquoi ça marche pas le ???

parcequ’il faut mettre b et non strong comme balise !
b pour « bold »

Posté en tant qu’invité par Aquafresh:

En fait c’est un problème de compatibilité. Le bold est reconnu par tout le monde hors le strong n’est pas dans la norme html mais fonctionne sur 80% des systèmes. Je pense que le produit open source qui gère le forum ne prend pas en compte ce tag html car non dans la norme.

Posté en tant qu’invité par Rozenn:

Le plaisir d’une course dépend vraiment des conditions. J’ai fait l’arête des cosmiques sous un ciel bleu splendide avec personne!! Allez, j’exagère, y’avaient deux autres cordées qu’on a doublé dès le début. Et c’était en plein mois de juillet! La météo de la veille était foireuse, risque d’orage, on s’est quand même levés pour écouter la météo à l’aube : les orages étaient désormais seulement prévus pour la fin de journée. Pas de problème pour se garer au pied de l’aiguille du midi. Moment rare, quoi.
Rozenn

Posté en tant qu’invité par Benj:

Franchement, je ne vois pas pourquoi tout le monde s’acharne contre cette très jolie petite course très variée et si facile d’accès.
Je l’ai faite (comme beaucoup ici il me semble) le lendemain d’une chute de neige (4cm) sous un grand ciel bleu, c’était vraiment magnifique.
Au niveau technique, c’est très varié et les gens que j’emmenais en sont sortis ravis.
Le seul problème, ce sont les guides qui la font à fond de balle en doublant au plus vite mais on peut les comprendre, il faut bien qu’ils fassent leur chiffre.

Quant au Gioberney VN, c’est une très bonne course pour emmener des débutants sans risquer de leur faire peur et dans des conditions de sécurité correctes.

Posté en tant qu’invité par Aquafresh:

Je le répète : j’ai pas dit que le Gioberney était nul. La VN vue les conditions actuelles n’est simplement pas très excitante.

Posté en tant qu’invité par Adrien:

La voie des Biquettes dans les Cerces à coté de la voie de la Poire - trouvée dans un topo (à mon humble avis) nul de chez nul de T. Marguaritta

Posté en tant qu’invité par Benj:

La directissime depuis la route de la montée à l’école d’escalade d’Arêches (contreforts de la légette du mirantin), pente méga raide dans la forêt, pierres qui roulent, vernes inextricables, rochers moussus, sève de pin collante, ronces, etc… A éviter absolument!

Posté en tant qu’invité par Michel:

Bonjour,

plutôt que d’essayer citer des courses « nulles », je trouve plus simple de définir ce qu’est une belle course. Une course, c’est toujours une montée plus ou moins longue, un sommet puis une descente. J’aime beaucoup les termes de Rebuffat, qui parle d’harmonie et d’accord entre des alpinistes et une montagne. Le premier facteur pour faire une belle course est déjà l’accord entre les alpinistes ; le second a trait aux conditions de la montagne qui sont par essence changeantes (été, hiver, fréquentation…etc).

Pour résumer et pour faire bref :
1 – une paisible montée dans un sympathique refuge ou pour un bivouac sous les étoiles. Tant qu’à passer une (ou plusieurs) nuit en montagne, autant qu’elle soit agréable.
2 – une ascension avec ce qu’il faut de difficultés pour nous laisser le sentiment d’une épreuve surmontée ; il y faut une confrontation avec le rocher, la neige, la glace, une pointe d’incertitude sur le résultat, la découverte de l’itinéraire, une belle gestuelle … Ces éléments sont très subjectifs et dépendent grandement du niveau des ascensionnistes : en pur amateur, j’ai horreur de me faire peur, or le danger est toujours présent.
3 – un beau sommet légendaire si possible, la Verte, la Meije, le Mt Blanc, le Mt Aiguille… on a toujours une émotion particulière à fouler ces cimes, puis une traversée plus ou moins longue pour prolonger le séjour éphémère en altitude
4 – une descente et un retour sans trop d’angoisse quand la fatigue nous fait perdre une partie de nos moyens.

Reste donc à se construire ce programme en évitant :

  • les refuges surpeuplés (jamais sympas sauf l’Aigle avec 52 personnes !!), les gardiens de refuge acariâtres, les bivouacs sous la pluie, les trop longues moraines sous le soleil…
  • les voies rocheuses à plus de 2 cordées, le rocher pourri quand ça devient dur, les séracs menaçants, les chutes de pierres, les alpinistes situés au dessus…
  • les galères dans les descentes (perte d’itinéraire, rappels coincés, névé « en glace », bivouacs improvisés…).

Il reste de la place dans tous nos massifs (de la Bernina au Mercantour) pour éviter de tous se précipiter dans les mêmes courses nulles.

A+

Posté en tant qu’invité par NicoG:

Je partage ton avis sur le bouquin de T. Margueritat, « escalades faciles », il est nul. Bien que le créneau commercial soit intéressant (des escalades pour ceux qui n’ont pas le top-niveau), il est mal exploité : les croquis sont peu clairs (au pied de la paroi, on ne reconnait rien ; les textes pas du tout explicites… et la sélection de voie pas forcément pertinente, il y a de belles bouses.

Franchement, à moins de recherchez des courses parmi les plus nulles qui plus est mal décrites, ça ne vaut pas le coup de l’acheter, et moi, je l’ai jeté…

Par contre, les « nouvelles escalades faciles » a suivi 2 ans après le premier livre : ça vaut sans doute le coup de le vendre…

Nicolas

Adrien a écrit:

La voie des Biquettes dans les Cerces à coté de la voie de la
Poire - trouvée dans un topo (à mon humble avis) nul de chez
nul de T. Marguaritta

Posté en tant qu’invité par Aquafresh:

Je crois qu’il vaut mieux hausser un petit peu son niveau pour se faire plaisir dans « La Poire » ou les « Arêtes de la Bruyère ».