Le ski, c'est surtout pour…

bof, sur les neiges fraiches y’a jamais de soucis, ça accroche.

Pour le 1, 2, 3, c’est pareil en classique. Ça va un peu moins vite mais pas tant que ça. Et le mouvement est très plaisant aussi.

Par contre c’est assez casse gueule en descente.

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Le ski de fond skating, c’est technique aussi, et peut-être que ceux qui n’y ont pas trouvé de plaisir utilisaient un peu trop les bras.
D’où l’importance de s’entraîner de temps à autre en skating sans les bâtons !

Moi j’ai plus trop de plaisir en rando… trop de monde, faut prendre un sac avec plein de merdier dedans au cas où… et franchement rarement des bonnes conditions sans faire min 100km aller, retour dans les bouchons…
Par contre le skating c’est le pied, de la vitesse, de la glisse, un peu de cardio et tu peux y aller presque à poil… en tout cas sans sac… et tout ça dans le Jura, 20 min de la maison… le temps de chauffer le bain nordique et c’est le combo parfait!

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Votre option ski de fond n’est pas correcte :wink:
Le ski de fond ça n’est pas que sur le plat, loin de là…
Les montées peuvent être physiques, longues et éprouvantes.

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Les montées peuvent être sont toujours physiques, longues et éprouvantes.

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Ben ouais, c’est un peu le principe du sport. Sinon, faut faire du ski de piste. Les montées ne sont pas longues, pas physiques et pas éprouvantes.

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Il est vrai que se lever avant l’aurore et faire des km pour se retrouver avec la foule, ce n’est pas vraiment du plaisir. Il faut bien reconnaître qu’il est paradoxalement bien plus difficile d’être seul en rando, pourtant en pleine montagne, que sur des itinéraires de ski de fond, par définition plus proches de la civilisation.

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c’est aussi devenu un nouvel enjeu pour le ski de randonnée: sortir du phénomène « mouton » ou tout le monde se jette sur les mêmes pentes parce qu’il y a déjà une/des traces, alors que le vallon d’à côté personne n’est passé.
Mais il est sûr que si on va chercher sa sortie la veille sur les réseaux, ça peut être bien sûr une option de facilitée pour ne pas prendre un but, mais il y aura deux cents autres personnes qui l’auront repérée et dans ce cas il vaut mieux ne pas vouloir se la jouer asocial

Après entre « être seul en rando » et « se retrouver avec la foule », il y’a quand même une marge. Sauf si la foule commence dès la présence d’un 2ème groupe :slight_smile:

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C’est une certitude, mais il ne faut pas perdre de vue que l’accès à certains sommets présente quelques itinéraires majeurs, voire incontournables qui n’égaleront jamais le « vallon d’à côté », sauf à ne prendre en considération que le seul dénivelé avalé de la journée (je reste tout de même contemplatif, même si je privilégie une belle descente ; sujet initial de cette discussion).

J’avais du mal à admettre ce paramètre jusqu’à cet été où j’ai pu en quantifier objectivement l’impact à travers la fréquentation d’une montagne que je connais plutôt bien (et qui est devant moi !) : le Mont-Aiguille.
Après deux ou trois compte-rendus de sortie dans la voie des Diables en début de saison, voie habituellement peu parcourue (3 ou 4 fois par an) pour son manque d’intérêt (au regard d’autres itinéraires) et son rocher particulièrement malsain, voire dangereux, la voie a été prise d’assaut avec au moins 2 ou 3 parcours par semaine durant toute la saison estivale (pour ceux que j’ai pu observer de la maison).

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C’est une voie qui compte pour la liste du BE ou du proba.
Pour assainir des voies en rocher moyen (là où c’est possible donc pas en Vercors/Chartreuse :slight_smile: ), il suffirait de modifier ces listes chaque année ou tous les 2-3 ans.
Mais je trouve sympa que des jeunes grimpeurs s’intéressent à ces voies, qui perso ne me fait pas envie sur le topo.

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On arrive encore à trouver quelques jolis vallons, il faut par contre avoir l’idée le premier (c’est pas facile !!) en fonction des dernières précipitations, de l’altitude, de l’exposition, des personnes qui vont sortir avec toi ; c’est là que les réseaux deviennent utiles et juste pour avoir des infos sur les conditions (conditions qui évolue souvent du jour au lendemain, surtout chez nous avec les flux de Sud).
Mais je fais aussi le faignant, en allant glané des sorties sur C2C :hugs: et je suis même content quelques fois, quand je sors seul :innocent: et que c’est un peu péteux de rencontrer d’autres skieurs, avec qui, quelques fois aussi on sympathise.

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Dans ma circonscription (massif des Écrins), à part qq points d’accumulation, grosso modo les grosses classiques, la montagne est assez vide. J’imagine que ça doit être pareil ailleurs.

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et les descentes non plus, si tu laisses faire la gravité.
en fait le boulot du skieur de descente consiste en empêcher la gravité de faire son travail en y appliquant une force que s’y oppose au mouvement rectiligne uniformément accéléré.
C’est l’anti-descente, en fait.

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C’est la même chose quand on descend à pieds ou à vélo.

si on laisse trop faire la gravité on risque de se transformer en vers de terre ou en serpents :shushing_face:

En fait, le seul sport où on laisse faire la gravité, c’est le plongeon.

Le ski est avant tout un sport de glisse. En alpin, on est un peu feignant donc on use de la gravité… les vrais font du ( :cheese:) fond.

la chute libre aussi

Ben non, parce que si tu n’utilises pas un truc anti-gravité, tu es mal barré. Mal arrivé, plutôt.