En doublant les mousquetons (l’un sur l’autre par ex) le second peut construire son relais sur les mousquetons hauts et toi sur les bas. Il n’y a qu’à déclipper ceux du bas pour repartir et … banzaï. Ou juste doubler les mousquetons dans les amarrages s’ils s’y prêtent (coinceurs par ex)
Le SAR (Système Auxiliaire de Relais), outil pratique et polyvalent !
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Pour le relai: vaché à un point sur cab avec un brin et un mousqueton, vaché au deuxième point sur cab avec le deuxième brin et un mousqueton, assurage au corps ou sur le point haut avec un reverso.
Matériel spécifique pour le relai: 2 mousquetons.
Sécurité = simplicité et réciproquement.
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En canyon j’utilise régulièrement un SAR, car il permet de multiples montages : relier des points, faire une mini main courante, pédale de fortune, rallonge de longe, bout de corde à tirer pour monter sur un ressaut, remplacement de la longe de quelqu’un qui l’aurait oublié…
En escalade je n’en vois pas l’intérêt : soit c’est faisable avec une sangle qui est bien moins encombrante (relais, pédale), soit c’est faisable avec la corde d’encordement (rallonge de longe), soit ça n’as pas de raison d’être en escalade (bout de corde à tirer, main courante).
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Attention à decliper les bons, vu que la corde est (de) la même (couleur).
Mais oui, utiliser la corde pour faire le relais ça se fait bien.
Ben si quasi tt le monde, je pense.
Mais il était écrit « en cordée non réversible ». Du coup, la corde pour construire le relai, ca n’est pas le + pratique…
Arrivée du premier au relais. Il est sur la gauche de la photo.
(On prévoie les mousquetons pour le premier mais aussi pour accueillir le second.)
Arrivée du second au relais, le premier toujours à gauche, le second à droite.
(Il utilise les mousquetons libres, préalablement placés pour que le premier n’ait qu’à décliper sans se poser de question en partant.)
Départ du premier, il se dirige héroïquement vers le plafond. Le relais est toujours ok. L’assurage un peu moins, j’ai laché le reverso 100m plus bas (j’ai oublié de le mettre mais c’est juste pour illustrer que la corde peut servir pour les relais en réversible ou en premier fixe).
(Le caillou derrière est un peu mou alors ça ne rend pas terrible.)
Ça doit dépendre de ton entourage, je ne pense pas avoir déjà grimpé avec qui que ce soit qui construise son relais avec les cordes d’encordement.
Ok, tu économises une sangle de 120 et peut être un mousqueton mais au prix de te retrouver solidaire de ton relais sans possibilité de te repositionner une fois le relais construit.
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C’est parce que tu ne grimpes qu’avec des jeunes. Les vieux, ils font comme ils faisaient y’a 30 ans, et ils ne vont pas changer leurs habitudes. 
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Pourquoi changer si ça marche bien ?
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J’ai quand même du mal à voir l’intérêt face à des sangles cousues (petites, légères, compactes, polyvalentes)
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Le seul bémol est la résistance à un choc mais en escalade pour un relais ça n’est pas censé arriver
(à la différence là encore du canyoning où le SAR peut être utilisé pour se sécuriser sur un passage scabreux)
Tu vois, quand on parle du loup 
Ben passque c’est mieux.
Les sangles sont soit tendues soit avec la corde qui passe dedans par un mousqueton donc c’est pas un problème.
Rien qu’en remplaçant les sangles nylon par les dyneema on a gagné un max en praticité.
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A l’époque la bougie fonctionnait bien aussi… pourquoi passer à l’électricité 
Autant revenir en arrière… d’autant que d’ici peu cela risque d’arriver… 
Ne pas changer d’avis est l’apanage des… 
(ce n’est que de l’humour)
Ceci étant chacun fait comme il veut.
L’idée de mon post n’est pas de faire changer les pratiques, sauf pour ceux qui veulent apprendre à faire autrement ou en complément, mais seulement d’informer et de proposer.
L’article ira dans le même sens !
Le SAR est utilisé en canyoning, mais le contexte canyon est très différent. D’un côté on monte, de l’autre on descend.
Les mains courantes rappelables ne s’utilisent guère en escalade : on est en général deux, un place des points et deux les enlèvent. De même, les déviations ou la gestion des frottements sont rarement employés…
le SAR me semble avant tout destiné à faciliter la gestion d’un groupe. Je ne le vois pas adapté à une cordée de deux « classique ».
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Et pourtant…depuis 2017.
J’ai toujours connu des relais réalisés avec un gros ficellou de plusieurs mètres, et notamment sur coinceurs. Il n’y a donc strictement rien de nouveau sous le soleil, à minima depuis 2-3 décennies.
C’est tout de même bien dommage de vouloir laisser entendre qu’une pratique serait « moderne » alors qu’il faudrait avant tout indiquer les avantages et inconvénients des différentes pratiques.
Les multiples usines à gaz sur 2 points en béton armées me semblent tout de même présentées plus d’inconvénients que d’avantages. Ca ne veut pas dire qu’elles ne sont pas intéressantes à utiliser dans certaines situations. Mais, il faudrait les indiquer (ces situations).
On se rappellera de La perfection est atteinte, non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais lorsqu’il n’y a plus rien à retirer Antoine de Saint-Exupéry
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As-tu lu ce que qui a été précisé au lieu de nous sortir des citations qui n’ont rien à voir ?!
C’est quand même fou de ne pas arriver à lire (comprendre) correctement ce qui est écrit.
Et puis en formation on doit être bien débile de proposer des choses qui ne servent à rien, et puis finalement un demi cab fonctionne tout le temps, pourquoi s’emmerder à inverser des appareils d’assurage ? Avant ils grimpaient aussi avec une code en chanvre ! Etc…
Il n’est pas question de faire changer ceux qui ne veulent pas, mais d’informer.
Mais comme quoi, encore une fois, ici cela ne sert à rien de vouloir partager, même en mettant des précisions, des précautions, et en le rappelant à plusieurs reprises…
« Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, ou il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. »
Pour le coup de l’utilisation en longe, une « vraie » longe réglable type bidule adjust est je trouve plus pratique aussi.
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Oui, mais dans chaque cas particulier il y aura toujours mieux.
On parle ici de polyvalence (cf. le titre !!!), donc un seul outil qui permet de (presque) tout faire.
Juste ça et seulement ça. Savoir que c’est pratique car à lui seul il répond à beaucoup de situations, d’où les exemples proposés, et il y en a encore plein d’autres…
C’est comme une sorte de couteau suisse pour les manips. C’est tout.
Mais il n’est pas dit qu’on doit absolument faire avec lui ! Ce n’est qu’une information, présentation, également corrélée par d’autres.