Plus reculé que les Pyrénées je tente le Valjouffrey ?
Le jeu du sommet
Donc elle ne devait pas être folle de la messe … 
D’autant que son truc c’était plutôt le culte que la messe 
(non ce n’est pas une contrepétrie, ça fait juste 500 ans qu’ils se massacrent sur le sujet)
Pas le Valjouffrey non.
OK. Oui en fait je pensais Allevard je crois que j’ai vu sur je sais plus quelle carte qu’ils appelaient comme ça tout Belledonne nord. Bref c’est dans les Ecrins
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Du coté de Celse Nière?
Valsenestre alors ?
Aaaa… je pourrais disserter des heures sur Celse Nière, photos intriguantes à l’appui, mais non c’est pas ça. Une prochaine fois 
Ni Valsenestre
Allez un petit interlude, pour le plaisir du récit
Le temps est caniculaire, la montée au refuge fut rude, mais l’accueil est à la hauteur de la réputation. Le soir, nous devisons tous sur la terrasse en commentant un sauvetage dont l’issue heureuse était acquise, admirant ce nouvel hélicoptère dont nous entendrons parler tout l’été. Nous sympathisons avec une cordée d’anciens qui rentre d’une longue course, un guide et son client, deux amis de longues dates ayant bourlingué à travers tout le massif. Les questionnant sur leurs futur objectifs, le professionnel me répond d’un air matois qu’ils ont quelques projets « là bas en face ». Intrigué par ce « en face » que je n’avais jamais vraiment regardé avec cet oeil gourmand des alpinistes amateurs d’arêtes secrètes, je questionne plus avant, obtenant pour seule réponse un clin d’oeil coquin.
Mais c’est bien connu si les guides, surtout les anciens, aiment cultiver le secret, les clients sont traditionnellement plus bavards. Ayant amadoué le deuxième comparse, c’est lui qui m’a révélé le but de leur course à venir, que vous pouvez donc voir sur la photo. J’ai eu quelques infos, mais pas grand chose. Il faut aller bivouaquer, remonter des moraines interminables pour quelques longueurs. Ca semble réservé aux spécialistes de l’Oisans sauvage du précambonien (appelé aussi parfois le labandien). Pourtant en 30 ans d’Oisans je suis passé des dizaines de fois devant, mais l’aventure -ou les galères- se trouvent souvent à portée de main et d’objectif dans ce massif, il suffit de se poser la bonne question et ne pas craindre la solitude. Puis, ravis de cette belle rencontre, chacun s’en est allé gambader de son côté. Quelques jours plus tard, la chose est dans la boîte, « ça fera au moins un fameux jeu du sommet » a plaisanté ma femme, avec le même clin d’oeil coquin
Tête du Milieu à l’Ouest du lac de la Muande ?
Non il n’y a pas d’erreur de nom à « Milieu » sur geoportail
Dommage c’était pas mal côté « fin fond du monde ».
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Ah bah si j’ai le topo en fait! Il fallait juste que je cherche dans ma bibliothèque et retrouve la bonne bible que je pensais ailleurs… Je m’offre donc un coup.
Et je cite, pour faire taire les rumeurs:
Escalade courte mais intéressante en excellent rocher - D
Tours de Boverjat ?
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Yeeeees! Ecrites « Boveriat » sur geoportail.
Le « monolithe » me semble être la tour nord sans trop d’ambiguité.
Le point 3097 indiqué sur la carte au nord vers le col du Chéret qui devrait donc être plus haut que la tour nord, me laisse perplexe par rapport à la photo et n’est pas mentionné sur le topo. 
Quand à la tour sud (à gauche sur la photo) elle est indiquée 3064 sur la carte et 3040 dans le Labande.
Bref! Un coin à découvrir!
Bravo! A toi!
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Belle énigme. Je crois que je les avais vues en parcourant Géoportail mais je les retrouve plus
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Ok c’est pas tant le bout du monde !
On y va et on en recause? C’est surtout non fréquenté donc ça accentue l’aspect « reculé » car dans ce genre de machin tu exploses les horaires. Avec la pilatte fermée en plus, le coin est désert (enfin pour l’homme) donc un peu plus engagé.
Ok ok … Non j’irai pas na
Ceci dit pour moi il demeure une énigme topographique. Je pense que ce qui est noté 3097 est en fait la tour Nord (donnée à 3060) et que les tours sud (qui je pense sont plusieurs) sont dans les 3060-3064. Mais là il faudrait vraiment aller voir (au moins au col du chéret qui est accessible sans problème). Note que Labande et Laloue sont allés voir eux mêmes, et vu la faute d’orthographe, c’est peut-être l’IGN qui se gourre. Peut-être aussi que des skieurs sont passés par là et connaissent mieux le coin. Sinon il faut appeler le bureau des guides de la Grave mais pas sûr qu’ils lâchent le morceau…
A noter aussi que ces tours sont aussi dans un désert numérique. Une seule photo trouvée (l’hiver lors d’une sortie à ski) et rien d’autre…