bien je viens de rentrer de chamrousse, la station venant de fermer et la neige commençant à partir de la majorité des pistes, bien ça a été le kiff intégrale.
Monter les pistes noirs en cherchant les pentes les plus inclinées (bon j’ai mesuré, ça dépasse pas 35°)
Me diriger au fûr et à mesure du type de paysage que je souhaitais voir (pins, sapin, rocher, chiste ,zone humide, lac, pente herbeuses, sente argileuse), je crois que la station concentre les 3 types de roches.
Me diriger en fonction des télésièges pour s’avoir où je me trouve (il y a 4 stations)
Me faire plaisir à grimper des choses vites et les descendre à des allures différentes, à chercher de l’engagé ou du normal, les pistes font 30 mètres de large.xd
Monter le déversoir du barrage. Une faune et une flore incroyable de diversité.
Je me suis rendu compte que j’y passé la moitié de mes sorties, et que c’était ce qui me plaisait, donc plus du fitness et du franchissement, que de la randonnée sur sentier avec passage obligé et orientation.
Au moins toutes ces discussions me permettent de définir mes gouts, et j’adore explorer les stations de ski car on y trouve une diversité de paysage incroyable.
Et alors les brooks caldera 7 M: une turie, fini les batons, un amorti et une accroche incroyable, les batons ne servent plus à rien
j’ai doublé tout le monde en descente alors que je descendais avec les batons avec la peur de glisser à chaque pas l’année dernière et là, ce n’était que du cardio, aucun problème alors que les pistes sont recouvertes de pierres et sont affreuses à pratiquer en chaussure de randonnée. Bon il faut dire que mon chien est passé à travers la glace, du coup pour le réchauffer, on a du faire quelques efforts.
Et la suppression des batons fait qu’on est plus sur la gestion de l’équilibre, et toujours accès gravité pour retomber sur ses pieds et ses mains, alors qu’avec les batons, je me trouve trop haut.
Bien maintenant, j’ai un toc, je mesure les pentes. xd et c’est décevant.
35° ça correspond en gros à une pente de 2/3, c’est la valeur retenue pour qu’ un talus tienne naturellement sans risquer de s’effondrer.