L'alpinisme est-il accessible à tous?

[quote=« La Baltringue, id: 1217005, post:249, topic:113062 »]personnelllement, je ne pense pas que pour l’alpiniste du dimanche, la composante « engagement » soit la principale composante de ce sport. Faut arrêter un peu. C’est pas de ce coté là qu’il faut chercher.
J’ai personnellement plus l’impression d’engager quand je vais faire du VTT seul que quand je fais une pauvre course d’arete AD ou un sommet neigeux F ou même dans du TD+ dans du calcaire sur pitons. Bien sur, je n’ai jamais rien fait d’extrême en alpinisme, comme 98% des pratiquants. J’ai jamais eu de soucis en montagne, je ne compte pas mes cicatrices de VTT[/quote]

Ah ouais et quand tu fais un emrpunt l’assurance exclu les activités comme l’alpinisme mais je crois aps que la pratique de la byciclette tout terrain en fasse partie, à vérifier.

Mais tu es tellement convaincu de ton truc.

Est ce qu’elle exclu la cigarette, l’alcool et l’inactivité ? :wink:

Bon allez, dans 1 heures je me tire en vacances. Faire du vélo dans un premier temps. Pas besoin de réfléchir: il fait beau, j’y vais; il fait mauvais, j’y vais pas. Quant à l’itinéraire, il suffit de suivre la route. Pas besoin de réfléchir. Finalement, c’est comme l’alpinisme, quoi.

Le plus souvent, dans les activités sportives qui ne sont pas en pleine nature, si tu fais une erreur tu ne risques pas ta vie.
Dans les activités de pleine nature, il est assez facile de trouver des situations où une erreur entraine la mort.
Ces situations sont plus fréquentes si le milieu est peu aseptisé, et si il y a un risque de chute.
Et un milieu peu aseptisé avec un risque de chute, c’est la montagne hors sentier… où on pratique l’alpinisme ou assimilé.
Un autre milieu risqué, c’est un milieu peu aseptisé avec un risque de noyade : c’est la mer ou les lacs, où on pratique la voile ou la plongée.
Un autre, c’est un milieu peu aseptisé avec un risque de gelure (grand nord).
On peut aussi combiner tout ça.
Mais le milieu risqué le plus accessible, c’est la montagne, car il suffit d’une paire de pompe pour s’y confronter.

Je crois pas mais elle devrait.
C’est sérieux, alpinisme, parapente et d’autres que j’ai oublié son réellement exclu des assurances lié aux emprunts immobilié.

Hein??? C’est écrit en tout petit en bas de la page?

Sans réfléchir, au hasard… Ailefroide

T’as oublié le ménage :smiley: Ce peut être très dangereux et nocif sur le temps.

dans un premier temps, Landry (Tarentaise) et dans un deuxième temps, presque… Vallouise.

Bon après vérification xc’est pas si évidant les cituations varient d’une assurance à l’autre.

C’est le cas de l’usage de la voiture ou même du vélo sur route.

La différence ne provient pas tant des risques en cas d’erreur mais plutôt de l’acceptation par la communauté pratiquante de ne pas tout mettre en oeuvre pour limiter ces risques.

mais c’est pas pour ça que c’est justifié…

comme un plombier ou un charpentier par exemple

Tu pinailles. Le résultat est le même. Il est plus risqué de faire de l’alpinisme que du tennis ou du ping-pong ou du wélo.

[quote=« Bonoboin, id: 1217091, post:265, topic:113062 »]Je crois pas mais elle devrait.
C’est sérieux, alpinisme, parapente et d’autres que j’ai oublié son réellement exclu des assurances lié aux emprunts immobilié.[/quote]

En effet dèjà entendu parlé de çà. Bien lu le mien (de contrat). Aucune mention n’est faite sur l’alpinisme ou escalade. Par contre la compétition auromobile… :confused:

[quote=« Marielle_Geneve, id: 1216939, post:222, topic:113062 »]

[quote=« Esko, id: 1216820, post:214, topic:113062 »][/quote]
Esko, merci de partager ton point de vue, ça rend la discussion beaucoup plus riche d’avoir aussi ta perspective un peu « extérieure ».
Pour répondre à ta note sur le ski alpin, je rejoins Stelvio: tout le monde ne va pas en station mais pour le coup, l’attrait pour cette discipline semble partagée par des groupes sociaux beaucoup plus mixés que pour l’alpi. Mais là, le frein serait effectivement plus d’ordre économique (en gros, l’entrepreneur fortuné comme son employé peuvent rêver d’une semaine aux sports d’hiver, mais les deux ne pourront peut-être pas y aller).
Il y a des montagnes, dans ton pays d’origine? Si oui, qui y va? Est-ce que tu vois les mêmes tendances qu’ici ou de manière plus générale, en Europe?[/quote]

En Finlande on n’a pas des montagnes malheuresement :frowning: Par contre l’alpinisme n’est pas inconnu, il y a pas mal des finlandais qui viennent en France, Suisse ou Autriche pour le faire. Je dirais que c’est encore plus elitiste qu’en France, l’idee recu c’est plutot de style « il faut passer 6b/c en escalade pour que ca vaut la peine de faire l’alpinisme ». Et meme la (a > 2000 km des Alpes) le cout n’est pas vraiment limitant a mon avis… Chez nous l’alpinisme est plutot considere un sport extreme comme le base-jump… Pour la reste de l’Europe je ne pourrait pas dire…

Est-ce qu’il y existe des statistiques sur les nombres des pratiquants des differents activite de montagne (j’etais surpris que la randonnee depasse le ski alpin…) Il me semblerait quand meme que la difference entre alpinisme et ski alpin devrait etre important, et si on constate que les contraintes financieres sont de meme ordre, il y a autre chose qui limite la « democratisation » de l’alpinisme, non?

je crois qu’on compte dans les randonneurs les gens qui font des randos en forêt
et il y en a beaucoup, surtout des retraités ou des familles
le problème c’est quand il commencent à prendre de l’altitude et qu’ils chutent…

du coup est-ce vraiment un problème? :smiley:

[quote=« Bonoboin, id: 1217083, post:261, topic:113062 »]

[quote=« La Baltringue, id: 1217005, post:249, topic:113062 »]personnelllement, je ne pense pas que pour l’alpiniste du dimanche, la composante « engagement » soit la principale composante de ce sport. Faut arrêter un peu. C’est pas de ce coté là qu’il faut chercher.
J’ai personnellement plus l’impression d’engager quand je vais faire du VTT seul que quand je fais une pauvre course d’arete AD ou un sommet neigeux F ou même dans du TD+ dans du calcaire sur pitons. Bien sur, je n’ai jamais rien fait d’extrême en alpinisme, comme 98% des pratiquants. J’ai jamais eu de soucis en montagne, je ne compte pas mes cicatrices de VTT[/quote]

Ah ouais et quand tu fais un emrpunt l’assurance exclu les activités comme l’alpinisme mais je crois aps que la pratique de la byciclette tout terrain en fasse partie, à vérifier.

Mais tu es tellement convaincu de ton truc.[/quote]

pas d’exclusion de l’alpinisme sur mon pret immobilier, du parapente des sports auto oui par contre.

Je ne dis pas que le VTT est plus dangereux que l’alpinisme. Je dis qu’il existe d’autres sports engagés. Et qu’il y a tellement de pratiques qu’il est difficile de faire des comparaisons. comment comparer un alpiniste du dimanche qui fait la VN du Jocelme ( = 0 risque ) et un descendeur en VTT ? Comment comparer Ueli steck et un cyclotouriste du dimanche ?

En fait, je trouve que certains se gargarisent de « l’engagement » de leur alpinisme un peu pour se la raconter. C’est pas parce qu’on fait une voie Cambon à 2500m d’altitude qu’on est dans « l’engagement »

[quote=« Bubu, id: 1217090, post:264, topic:113062 »]

Le plus souvent, dans les activités sportives qui ne sont pas en pleine nature, si tu fais une erreur tu ne risques pas ta vie.[/quote]

Oh la la, oui, l’alpiniste le héros qui n’a pas le droit à l’erreur… Nous avons tous fait des tas d’erreurs ( itinéraire, horaires explosés, vols , … ) en alpinisme et nous sommes tous là. Va descendre un col à 80 km/h en vélo de route, là par contre l’erreur est interdite…

Honnetement, s’il n’y avait plus aucun risque en alpinisme, je suis sur que 90 % des pratiquants en feraient quand même. ce que je dus

Ce n’est pas la mienne, l’engagement se réfère surtout à la prise de risques, l’autonomie et l’éloignement n’étant que des composantes.
On peut d’ailleurs être autonome sans grand engagement.

Perso, le + important en montagne est d’y être, de profiter de l’ambiance, de la beauté des lieux, le sommet étant souvent le but à atteindre pour la grandeur des panoramas et pour l’immersion qu’il procure mais pas grave si c’est raté, je n’hésite pas à faire 1/2 tour si hors délai, si des cunimbs se profilent à l’horizon ou si je pense qu’une pente de 45-50° en glace posera des problèmes à la descente.
Bon, chuis pas sûr de répondre à la def de l’alpiniste mais c’est bien le dernier de mes soucis !

Rarement vu ça, par contre mes assurances pro excluent le delta, le parapente, les sports méca, l’ULM, pas l’avion mais la voltige.