Sauf que moi, avec un effort minimal, je gagne trois ou quatre kilos … pas le même ordre de grandeur !
Enfin, en vieillissant, je reste plus coincé qu’avant sur 3 chiffres sur la balance …
Sauf que moi, avec un effort minimal, je gagne trois ou quatre kilos … pas le même ordre de grandeur !
Enfin, en vieillissant, je reste plus coincé qu’avant sur 3 chiffres sur la balance …
Faut pas que je rate le train, là !
Alors moi, j’allais au boulot à pied. Ce qui me faisait 2 km en 20 mn avec environ 40 m de D+/D- vu que ça descendait à l’aller et que ça montait au retour. Soit 8 km/jours et 80 m de D+.
Alors moi, au boulot, je passais carrément pour un surhomme. Mais pas ici, bien sûr, où je dois figurer bon dernier face à ces milliers de mètres et ces centaines de km dans la journée.
C’est dangereux de faire de l’alpinisme
Enfin !!!
Paske le concours de celui qui pisse le plus rapide, ça commence à devenir sérieusement long
C’est c2c qui est dangereux. Faut se garder à droite et à gauche, comme papa, sinon on se prend des baffes vite fait.
C’est dangereux de passer trop de temps sur internet
Et il faut y aller léger ! Certains y sont trop lourds
Tiens en vla une !
Ça t’apprendra à faire le malin avec tes 40m de D+ dans une discussion de grands !
@DroitSurLeFil !
Ben voilà… j’aurais mieux fait de la fermer au lieu de rouler des mécaniques avec mes exploits kilométriques.
Effectivement, on dit souvent que maintenir/revenir à son poids de forme se complique avec l’âge.
Est ce une réalité physiologique (le métabolisme de base diminue avec l’âge) ou juste psychique (moindre activité physique avec l’âge, alimentation plus riche avec l’âge …). Il est certains que les blessures augmentent avec l’âge, que la capacité à récupérer diminue avec l’âge, que les articulations, les tendons et même les muscles sont plus compliqués à affuter avec l’âge. Tout cela contribue à diminuer l’activité physique avec l’âge (à minima l’intensité). Sans même parler des maladies.
L’espèce humaine a notamment été sélectionné pour sa capacité en endurance longue, via la chasse à l’épuisement. A partir du moment où on arrête de « s’épuiser » et que l’alimentation reste trop riche, il est somme toute logique de prendre du poids. Qd ce poids réduit l’intensité de l’activité, il est tout aussi logique de ne pas/plus arriver à s’affuter aussi facilement.
In fine, ça voudrait tout de même dire que rester en forme est également une question d’ascétisme. C’est bien car ça ne coute rien.
Quelque part, c’est comme le poids du sac.
Qu’est-ce ?
Ça dépend, non ? Il y a des vieux secs.
Ah oui, l’ascétisme, bonne idée pourquoi pas ?
(Mais prendre un slip plutôt qu’un caleçon, est-ce vraiment de l’ascétisme ?)
Tu as mal lu. C’est pas de slip.
Il faut être précis. Qd c’est possible, je préfère le short slipé, cad un short de course à pied/trail avec slip intégré. C’est plus léger, plus confortable, moins chers et permet de mieux « respirer/transpirer ».
Je sais que c’est du matériel de sportif et que le mot sportif n’est pas le bienvenu pour certains. Mais bon, ça le fait très bien qd il n’y a pas de tiques.
… par les c***** ? Ah c’est donc ça l’ascétisme ?
Sur un raid chaud comme le GR20, le short slipé permet effectivement de transpirer des couilles et du cul sans avoir besoin de x slip pour notamment limiter l’odeur.
Le gros short de randonnée, associé avec un slip, pire un boxer, c’est une étuve. Ca ne ventile pas et favorise donc la transpiration, l’odeur …
Ce n’est pas de l’ascétisme, simplement de l’optimisation et comment faire mieux avec moins.
Oui mais là on est sur la rapidité en alpinisme… Ça dérape une fois de plus.
Il faut rester @DroitSurLeFil
Un véritable amour pour l’antagonisme !
Ils sont inscrits à la rencontre au col du lautaret E…e, F…m et A…e ? On les enferme dans une pièce avec J…h, on filme et on vend les droits à une chaîne de la TNT ? On va exploser les audiences…
Le mot à été lâché ! Ascétisme, c’est exactement le terme qui convient à l’ultra-légereté.
Simplement une optimisation, de la transversalité et une appropriation des bonnes pratiques dans toutes les disciplines et notamment dans les pratiques sportives de compétition.
Dans bons nombres de disciplines sportives, c’est la compétition qui pousse le plus à l’optimisation et à l’amélioration (matériel, méthode, technique, entrainement, alimentation …). . Pourquoi se priver des bonnes pratiques, y compris en dehors de compétition.
Ok, c’est du sport et de la compétition. Oui, c’est le mal pour certains.
N’empêche que s’inspirer des pratiques usuelles dans les activités sportives, y compris de compétitions, ça permet d’optimiser pas mal de chose assez facilement. Le dépotage en ski l’illustre très bien, idem pour le collant, la pipette et 10 000 autres choses.
Après libre à chacun de prendre des Diamir, des peaux attachés à l’arrière, une salopette gore-tex permettant d’aller sur la lune, 2 thermos … C’est peut être confortable (et encore) mais il ne faut pas s’étonner du poids de l’ensemble, et donc du surcroit de difficulté à la montée et à la descente, et donc du moindre confort dans la pratique. C’est particulièrement vrai en ski du fait de la technicité à la descente. Mais, ce n’est guère diffèrent à pied. Avec un sac léger, on se ballade dans les terrains techniques pendant que d’autres agonissent avec des gros sacs et ne comprennent pas pourquoi.
La différence se fait en grande partie là : confort dans l’effort de la pratique versus confort au refuge, au sommet, au bivouac … Le poids du sac impacte significativement le confort dans l’effort dans la plupart des disciplines.