Toujours dans le dur, Bouvier. Comme Lynn Hill .
On est loin de Chimpanzodrome (dans le temps), mais l’esprit est toujours le même.
Chapeau, respect …
La mouche à son maximum
5 Likes
Et à propos de Chimpanzodrome :
1 Like
Oui mais à huit ans, il profite d’une meilleure allonge que Bouvier… 
3 Likes
Très sympa l’interview. Effectivement les traversées ça ne passionne pas les foules. Même moi à mon petit niveau je préfère la verticalité des blocs classiques, ayant très peu d’endurance et aussi peu de patience. C’est aussi un exercice qui ne pardonne pas les erreurs, il est moins grave de se prendre une zipette dans un bloc de 4 mouvements qu’au 55e mouvement d’un bloc de 60 mouvements.
Mais je me retrouve dans son côté loup solitaire. Quand on prend l’habitude de grimper seul face au rocher, ça devient presque une nécessité après.
1 Like
Le dernier de sa génération à ce niveau là . Époustouflant .
J’étais à 6a+ en 1980 à 19 ans .
Et j’y suis toujours 
Inoxydable (enfin presque … ) 
Extrait du hors série année 81/82.
2 Likes
Excellent, merci !!! Quel palmarès !
J’ai moi aussi quelques photos de JPB de ces années là.
Il me semble qu’il ne se tirait pas trop la bourre avec les autres fortiches de l’époque (Edlin, Jacob, le Ménestrel, Moffatt, etc). Discret et efficace, ce qu’il est toujours
Il est entre les Bérhault , Droyer, Cordier et la génération Edlinger, Jacob, Gullich , Robert ou Tribout.
Il y avait un long entretien dans cet article avec JP Bouvier .
Quelques extraits .
Il court toujours à travers les rochers le phénomène 40 ans après !
1 Like
3 Likes
C’est qui l’escogriffe en salopette rose qui s’apprête à faire un pied main d’enfer dans le jus de la tenue d’époque ?
PS Et dans l’édition suivante ( 82/83) LE représentant qui monte en puissance (et ses co-disciples) de la génération année 60 qui pulvérisera le mur du 8 eme degré est en première de couverture !
Pschitt ? (Jacques Perrier)
Ou Poil ? ( JEan François Lignan )
Je ne crois pas que ce soit Pschitt, trop brun.
Il y avait un grand type noir de poil avec des mains énormes mais je ne retrouve pas son (sur)nom.
On devrait pouvoir le retrouver en feuilletant les premiers numéros d’Alpirando. Je les ai par là mais il fait beau et ya (un peu) de neige par endroit, donc je vais pas avoir le temps…
Frank Zappa ?
5 Likes
C’est pas Patrick Edlinger ?
(en tous cas les chaussons sont des Edlinger)
Ils ne doivent pas parler de la même couverture. Je ne crois pas qu’Edlinger ait porté la moustache noire.
3 Likes
C’est vrai !
Alors qu’Adam Ondra, oui !
Alors
Jean Patrick Coullet (alias Pepsi)
1 Like
François Guillot ? 
Il a une belle page Wikipedia mais aucune photo . Discret le gars .
Donc pas moyen de savoir s’il était blond
Il est en photo dans un bouquin de Desmaison (photo de groupe du sauvetage des Drus).
François Guillot
– Les Fous du Verdon, p. 46 (fragment)
Il a une belle moustache sur la photo du quarantième anniversaire de la Demande, à consulter aussi dans les Fous du Verdon (p. 364), mais cheveux toujours aussi plats. (un peu de pub / teasing pour le livre au passage, que l’auteur nous en pardonne.)
1 Like
Je ne me vois pas trop mettre des photos de lui ici, mais on peut trouver la version actualisée du bonhomme sur google avec cette recherche « françois guillot verdon ».
Sauf erreur de ma part (Cf les fous du verdon, et ce que j’ai pu entendre moult fois des locaux de la Palud), le signe caractéristique du bonhomme, fut en tout temps et aujourd’hui encore, une moustache très fournie. Comme il a pas l’air tout jeune sur la photo de couverture, je me dis que ça peut coller avec sa génération.
Bon après je dis ça mais la photo d’épicure est sans moustache 
Peut-être que @herve13 peut nous dire qui est l’homme en salopette ?