Au passage personne ne demande aux Salle Privées de rendre des comptes sur leur impact sur la fréquentation des falaises en dehors de toutes fédés et clubs et du nombre de personnes qu’elles relâchent dans la nature en leur ayant fait croire qu’ils savaient grimper… ces gens là sont aussi dans les 90% de non licenciés que la Fédé se retrouve à couvrir financièrement et qui ne contribuent pas. Par contre le boulot de membres de la fédé (entre autre) dehors leur sert à faire des jolis flyers avec des belles image d’extérieur…
La FFME annonce la fin des conventions sur les sites d'escalade
Je n’arrive pas à penser le fond, mais dis comme ça, ça fait réfléchir…
Avant de relâcher, il faut capturer, nan ?
Quand tu paies ton abonnement annuel à plus de 400 € tu es un peu captif …
A un moment où à un autre il faudra bien qu’on prenne en compte que par rapport à 20 ans en arrière la proportion de personnes dans des salles privées, y ayant débutés, et qui se retrouvent dehors n’est pas négligeable. Sauf que leur vocation n’est pas de former des gens à l’extérieur s’ils ne le demandent pas.
Pour le prix des entrées en salle d’escalade (qui n’était pas en lien avec mon propos initial), à partir du moment où on veut des voies ou blocs propres, changés régulièrement (très), beaucoup de volume et la clim il faut la payer. Sinon on peut aussi revenir aux salles à l’ancienne comme les Casamur ou Antrebloc du début des années 2000.
Ou Murmur Pantin à ses tout débuts. Pas de clim et pas de chauffage non plus 
Ça caillait un peu l’hiver. On avait eu une réduc sur l’abonnement.
Assez marrant l’ Homo- Grimpus
OK pour payer 400 € /an pour aller faire de l’ imitation de grimpe, édulcorés, dans des Sae qui ont, certes des coûts à amortir
Pas OK pour payer 40 € pour aller faire de la vraie escalade dans des sites extérieurs qui ont AUSSI, des coûts (donc à amortir)
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Parce que les salles existent, vraiment ?
Cela ne fait que 10 ans que je grimpe mais j’me sens tellement vieille quand je lis ça : la corrélation entre plus de salles et plus de grimpeurs dehors est « réelle »?
Quand j’ai commencé les salles existaient déjà, mais j’ai passé 3-4 ans sans y mettre les pieds… J’ai tellement l’impression que c’est soit un complément à la falaise, soit un « sport » à part entière que j’ai du mal à visualiser le cheminement inverse…
Ah bon ?
Qui a dit qu’il n’était pas ok ?
C’est eux qui en sont à l’initiative (et c’est à saluer), mais quand tu lis les échanges ici par exemple, ou que tu discutes lors des recyclages d’encadrants, tu as l’impression que personne ne veux intégrer le fait que les salles privées d’escalade font partie intégrante de l’écosystème de l’escalade actuel. Des fois j’ai vraiment l’impression que certains ne veulent pas uniquement par posture idéologique…
@Lulu002 faut pas oublier qu’on est dans une situation particulière ici, et qu’en plus tu as eu la chance de connaitre des gens qui ont pu t’apprendre. Pour beaucoup de clubs la réalité ça a été (et c’est encore pour des raisons de proximité des sites, de dispo d’encadrants ou de météo locale): une ou deux séances par semaine au mur du gymnase local où l’on apprend à grimper, avec parfois des sessions manips pour aller dehors au printemps, et quelques sorties ensuite quand les encadrants considèrent qu’on est en capacité d’assurer sa sécurité à minima (avec un encadrant pas loin bien sur).
Faire la même chose en falaise, outre que ça demande la facilité d’accès à la falaise, ça demande une logistique plutôt importante en encadrants.
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Complètement. Les deux sont différents et complémentaires. Faut arrêter de vouloir les opposer.
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Donc la responsabilité en revient aux clubs qui font l’essentiel de leurs sorties en salle et font croire aux gens que cette pratique est de l’escalade 
.
Les clubs ne font pas de « sortie » ils font des séances en salle. Et dans ces séances y’a une belle quantité de bénévoles qui donnent de leur temps pour permettre aux gens de faire de l’escalade, sous quelque forme qu’elle soit. Mais ça c’est trop dur à accepter pour un vieux Punk sur le retour qui n’arrive pas à sortir de sa posture. Mais prends le le temps d’amener les gens en falaise, tu te rendras compte qu’il y a de la demande, et du boulot à faire pour sensibiliser les gens et pas faire du oin oin c’est la faute à la FFME même si moi je me suis pas sorti les doigts du dersh pour faire quoi que ce soit
Je ne sais si c’est l’effet déconventionnement , confinement puis déconfinement, météo à la con, beaucoup se salles fermées, il y a beaucoup plus de monde en falaise…
Je ne voterai pas pour la 1ère raison car dans le 65, c’est déconventionné depuis 2012!
Tout à fait, ensuite cela dépend des individus qui peuvent se cantonner à la SAE mais s’ils sont un minimum dispos et qu’ils sont entraînés par des amis en extérieur, ils vont vite y prendre goût.
Cela dépend des clubs! voir nos derniers CR http://clubalpin-tarbes.ffcam.fr/carnets_de_route.html
c’est effectivement la réalité,
et ce que les adhérents peuvent faire en fonction de leurs disponibilités et de leur moyens.
Dans mon club, aux beaux jours, les soirs de semaine, on délaissait la salle pour aller sur des petites falaises locales:
du coup on perdait en route la moitié des pratiquants, pour différentes raisons
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C’est génial. Apres tout ce temps mes provocations gratuites marchent encore :-).
Sinon, « derche ».
http://track.news.ffme.fr/link_32.php?id=32&md=7270667&lid=546016
extrait :
Le Conseil d’administration du 16 mai dernier a demandé que la décision de mettre en place la procédure de dénonciation de l’ensemble des conventions sites naturels d’escalade contractées par la fédération soit débattue et approuvée en Assemblée générale du 20 juin prochain.
Bizarre d’avoir communiqué de façon aussi peu claire sur une décision non actée en AG !!
Elle est bien pourrie cette année 2020 
Oui, triste de voir les gens se taper dessus au lieu d’unir leurs forces…surtout quand ils souhaitent la meme chose : pouvoir grimper en extérieur!
je cite ici la réponse du rédacteur Fred Lefavreux à la requête de la FFME
La FFME qui ambitionne « que l’on discute, que l’on débatte et que l’on construise ensemble… etc. » désigne ci-dessus, bien légèrement, la critique de Grimper « d’escroquerie intellectuelle » quand il lui arrive d’y être soumise : un terme plutôt injurieux, en tout cas disqualifiant pour le contradicteur que nous sommes en tant qu’organe de presse.
A lire le propos de ce texte, on se demande, venant de la FFME, de quel temple il est question, qui en sont les gardiens, qui s’en proclament les grands prêtres.
Car ce qui est à relever c’est la curieuse conception du débat de la FFME, qui agit par avocat interposé.
Ce n’était pas possible de proposer une tribune à publier dans Grimper, voire de solliciter une interview?
Je suis certain qu’ils auraient accepté.
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Assez d’accord avec toi.
Je n’ai pas souvenir d’un droit de réponse, dans la presse de notre milieu, qui est réalisé, avant toute autre démarche de discussion , par un avocat? C’est une première?