Kaizen, un an pour gravir l'everest, le film d'inoxtag

Je te rejoins ici, comme nous aurions des exigences vis-à-vis d’un gros industriel en attendant de lui qu’il propose moins de produits dégueux qui font le tour de la planète en exploitant plein de monde au passage ?

Mais qui est ce « nous », qui a ces exigences ?
Est-ce que le public du jeunot le suivra dans des délires trop decorrélés de leur réalité ? S’il ne suit plus et trouve un influenceur dont il se sent plus proche, bim plus de public, plus d’influence, chômage.

Je pense au concept de « zone proximale de développement » : quand tu sais compter jusqu’à 3, il n’est pas très adapté de tenter de t’apprendre des opérations mathematiques compliquées… Il s’agit d’abord de rester proche de là où tu en es en t’apprennant à compter jusqu’à 5, 10… Le reste ne peut venir qu’ensuite.

Cette idée que vous êtes plusieurs à exprimer me questionne : c’est quoi « la vraie vie » ?
La mienne, la tienne, celle du sherpa nepalais, celle du gars bourré qui dort dans mon local à poubelles, celle de ma minotte qui prend plus de plaisir à suivre des fourmis qu’à chercher l’Everest, celle de mon voisin dont je n’ai aucune idée de la façon dont il vit et envisage sa vie ?
Même dans un milieu social de proximité, je trouve tellement de façons de concevoir l’existence (et donc le rapport aux autres et à la planète qui nous accueille) que je suis toujours surprise de lire que certains ont une image définie de la vraie vie.
La sienne ne me paraît pas plus fausse qu’une autre.

4 Likes

En l’occurrence, l’audience qu’il a réussi à toucher avec son docu… et y’a pas de « nous » dans ma phrase si ce n’est celui d’un espace spacio temporel partagé !!! :sweat_smile:

C’est ta phrase que je ne comprends pas. Explique ?

la vie concrète, dans laquelle tout acte a un coût vis à vis de la planète, qui en l’occurence est de nature finie.

2 Likes

Je ne crois pas l’avoir vu ici :

1 Like

Une trentaine de posts ont à nouveau été supprimés, répétitifs ou évoquant des problèmes d’écologie très généraux sans aucun rapport avec le sujet présent.
19 messages ont été scindés en un nouveau sujet qui dépasse le seul voyage d’Inoxtag : Impact environnemental des voyages en avion

Bonjour, serait-il possible de déplacer aussi les autres messages sur ce fil qui parlaient déjà de l’impact environnemental du documentaire ? À la base je répondais directement à ces messages et à une des critiques principales adressées à l’encontre d’Inoxtag. Difficile de ne pas digresser si on ne peut pas répondre aux critiques qui sont faites et qui contiennent forcément des commentaires de société…

1 Like

Bonjour,
Il se peut que le message auquel votre post souhaitait répondre soit dans la trentaine qui a été supprimée. Le choix a été fait de laisser sur ce sujet les posts évoquant le problème de l’impact environnemental du voyage d’Inoxtag, et de séparer dans un autre sujet ceux qui évoquent le problème de manière plus générale quoiqu’intéressante.
Pour faire le lien, entre les deux, il suffit de cliquer sur le lien situé sous le premier message de la digression, renvoyant au sujet initial dont elle est issue.

Pour moi la séquence où c’est le plus authentique c’est le décollage en parapente avec Zébulon Roche.
Il sait plus quoi dire tellement les sensations sont nouvelles et le paysage époustouflant.
Et le vomito en plein vol n’est pas trafiqué. :sweat_smile:
J’apprécie qu’il se soit montré en difficulté à plein d’endroits du film.

C’était dans une des vidéos de sa préparation il y a un moment non ? Effectivement là on sent tout de même un pur émerveillement. Mais bon certains te diront sûrement que c’est du marketing :joy: D’ailleurs au final je crois que j’ai préféré ces vidéos que le film, justement parce qu’il y avait moins de musique à la Michael Bay et de montages à l’eau de rose, omniprésents dans Kaizen.

2 Likes

Moi, ce qui me fait bien sourire, ce sont les critiques sur l’impact d’Inoxtag sur l’environnemental, le bilan carbone, etc…

Alors que quand un « vrai » alpiniste (ah oui, un vrai !) va au Népal ou au Pakistan pour une expédition, jamais on ne le critique là-dessus… (on parle alors uniquement de sa performance, et on admire !).

Et quant à nous, notre impact environnementale avec nos bagnoles utilisées tous les jours, pour aller au boulot ou en montagne…

Je trouve que l’on peut critiquer le projet Everest d’Inoxtag sur bien des aspects, mais faut arrêter avec son bilan carbone !
(@Lulu002 est bien allé en Patagonie… Et alors ? Faut bien se faire plaisir, sinon on crève !)

Pas pire que Védrines, Jornet, Dubouloz et compagnie…

3 Likes

C’est qui on ?

Faut il rappeler que l’humanité a vécu pendant la très grande majorité de son existence sans avion et qu’elle ne semble pas en avoir crevé… bien au contraire :rofl:

2 Likes

Je suis assez d’accord que les critiques écologiques contre Inoxtag n’ont aucun sens de la part du milieu de la montagne qui pour la plupart ont émis et émettent toujours beaucoup de carbone, pour aller loin ou même à coté de chez soi. Le pratiquant de sport de montagne est un pollueur quasiment par définition puisqu’il se déplace beaucoup, et donc souvent avec des moyens carbonés. Comme souvent, les boomers sont des vrais bons vieux snocks sur le sujet en se revendiquant écolo au-dessus de ce gamin tout en ayant émis beaucoup, beaucoup de carbone, juste pour s’amuser.

Ceci étant dit, on peut également se faire plaisir avec des trips mobilité douce, avec des approches train + vélo. Bien évidement, on ne fera pas la même voie, et encore moins le même horaire qu’en ayant mazouté pour y aller. Mais c’est secondaire.

Pour les voyages lointain, c’est plus compliqué. 1 mois de tanker ça ne fait pas triper pour aller au Népal. Le vélo, c’est pas mal. mais c’est une vrai aventure en soi.

Mais effectivement, Inoxtag n’est pas pire que les stars de la montagne. Même presque plus sympa car il ne cache pas derrière des faux semblant écolo pipo.

2 Likes

ok boomer

C’est tellement facile de mettre tout un groupe dans le même sac : le milieu de la montagne qui se compose nécessairement de moins en moins de boomer --> @DT1 a dit que des critiques écolo venant de qui que ce soit dans ce groupe au contour flou n’avaient aucun sens, NEXT :man_shrugging:

Le milieu de la montagne où on ne critique pas les alpinistes sur l’écologie, ou on parle uniquement de perf et ou on admire. Ce milieu est diverse.

Oui, et en plus a 10000km tout seul dans une voiture (ou 20000km à deux), ce qui doit être bien plus que la plupart de montagnards des alpes, on n’a fait l’équivalent de 1/3 d’un aller retour au Népal, comme on avait constaté avant.

1 Like

Comme n’importe où sur Terre finalement.

2 Likes

La discothèque avec tous les barbus qu’il doit y avoir là-bas… (qu’on ne se méprenne pas je parle juste de mecs qui se sont pas rasés depuis 3 semaines)

Oui tu as raison c’est dans sa vidéo Cervin + Mont Blanc.

Je viens de lire budget 2.2 millions de dollars (source Mr mondialisation):astonished: