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Jeûne intermittent et la pratique des sports de montagne
Pour rappel le sujet c’est ça !
La recherche de témoignage … tu pratiques ou as pratiqué tu témoignes, tu pratiques pas… ben tu témoignes pas ! Et je ne vois pas en quoi la rechercher de la performance est exclue des témoignages recherchés par notre chère Costabonne.
Y’a pas de débat à lancer ici sauf à créer un autre topic de débat sur les pratiques nutritionnelles.
D’une manière générale, si on souhaite soliloquer pour parler de ses opinions présentées comme des évidences en méprisant celles des autres, le format forum n’est bien évidement pas le bon format.
Hello,
Alors sans le savoir, je faisais du jeûne intermittent comme M Jourdain de la prose…
En effet, je ne dejeunais pas. Je mangeais donc le soir et à midi, ce qui fait grosso-modo un repas à 19h et un repas à 12h.
Je m’en portais très bien pour la vie de tous les jours. Pour la montagne et le sport en général, s’il m’est possible de faire de la dénivellation le ventre vide, si je dois aller vite, il faut que je mange qqch en cours de matinée. Je ne mange pas je matin, car je n’ai pas faim. En cabane, je me force de manger qqch, mais parfois il n’y a pas qqch qui me convient, car je ne mange pas volontiers du sucré (pain, beurre, confiture, c’est pas mon truc. S’il y a du fromage ou de la viande, je mange ça avec un peu de pain.
J’écris à l’imparfait, car j’ai pris de mauvaises habitude depuis un moment et je passe à la boulangerie / au magasin quand je pars tôt quelque part. Je prends en général une pizza ou des viennoiseries salées.
Dans les faits, j’ai pris de la graisse et c’était plus sain pour moi de manger à midi et le soir.
Vous devriez vous intéressez à Phil Mafffetone
Tiens, je m’aperçois donc que je pratique presque involontairement le jeûne intermittent…
Depuis cet automne et un trail « long » (pour moi, hein, ça vous ferait plutôt rire, vous tous). J’avais essayé d’espacer un peu mes repas avant à tout hasard, pour ne pas me retrouver en fringale le jour J. Depuis, j’ai du mal à manger trois repas !
- le matin : café indispensable, mais je n’ai jamais vraiment pris de petit déjeuner par goût ; je me forçais un peu, puisqu’on m’avait toujours dit que « c’est le repas le plus important de la journée », « sinon tu vas grossir » (ça je fais de toute manière !), etc. Depuis la fameuse course, je ne me force plus, café et c’est tout ; je m’en porte plutôt mieux !
- le midi : quand j’ai faim je mange, quand je n’ai pas moyen de manger facilement ou tranquillement et que je ne fais pas de sport, hors week-end donc, je laisse désormais tomber.
Donc il m’arrive de temps en temps de manger uniquement le soir, et presque tous les jours de sauter le petit déjeuner ; si je skie, je ne mange qu’au retour du ski (16 h, 17 h), que ce soit skating ou ski de rando. Vu que je ne cherche pas la vitesse, ça me va très bien : pas de passage « à vide », pas de fringale, j’ai l’impression d’être un vieux diesel lent à la détente mais increvable. Hors activité sportive, c’est pareil, j’ai l’impression d’avoir plus d’attention et de « vitalité » sans mes trois repas par jour.
Ceci dit : je n’ai pas un métabolisme à fringale, j’ai toujours pu faire des efforts longs de faible intensité sans ravitaillement de type graines ou autre. La plupart du temps je pars en montagne sans rien, parce que je pars sur un coup de tête sans préparatifs. Et ça ne pose pas de gros problèmes.
Il y a du pour, il y a du contre. Pour une personne qui a tendance à grossir, on peut dire qu’il y a des réserves, et que si ça permet de faire l’activité sans avoir mangé avant, ce n’est pas plus mal. Mais ça ne fera pas forcément diminuer les « réserves » : l’organisme va s’habituer à puiser dedans, donc va comprendre qu’elles sont importantes, donc va apprendre à les reconstituer le mieux possible, voire un peu plus en prévision des sorties suivantes, et les repas d’après-sport seront donc mieux absorbés et mieux stockés, sans compter qu’ils peuvent avoir tendance à être plus importants puisqu’on n’a pas de raison de se priver après avoir sauté 1 ou 2 repas.
En résumé, c’est compliqué, et il ne faut probablement pas se traumatiser à y accorder trop d’importance. Il faut surtout se sentir bien, autant dans son activité sportive que dans son alimentation, et dans la plupart des cas, la physiologie s’adaptera à ce qui nous plait (ou la sensation de plaisir viendra de ce que notre physiologie se trouve bien comme ça).
Bernard
C’est bien là le soucis : Le sport ne doit pas être un prétexte à manger plus.
Le corps ne stockera pas si les rations sont correctement calibrées. Tout est question d’équilibre.
PS pour [quote=« To-f, post:51, topic:237263 »]
les « soliquoteurs » sont, sur ce post, par ordre d’importance, costabone, floc …
[/quote]
Les soliloqueurs ne sont pas dans les statistiques. Au contraires, les statistiques montrent surtout que nous nous répondons. Un dialogue n’est pas un soliloque. Tout comme tu peux discuter en assénant tes propres vérités avec plus ou moins de véhémence. Comme toujours on fait dire ce qu’on veut aux stats.
C’est pour ça qu’on conseille souvent de faire des exercices de HIIT pendant ou coupler au jeûne intermittent
Mais toi, c’est vrai tu as lu tout un tas de bon bouquin de nutritionniste (qui ne font pas du tout une formation financé par des loyby ), il serait bon pour toi et pour le reste de … que tu t’informes différemment.
Ce que préconise ces personnes est l’anti thèse de ce qu’il faut pour l’organisme, mais ça on ne s’en rend soit pas compte car les athlètes de haut niveau changent radicalement d’hygiène de vie après leur carrière, soit parce qu’ils disparaissent.
Pour le sportif manger ce que préconise une diététicienne ou une nutritionniste (je ne les mets pas tous ds le même panier heureusement il en existe quelques un), et c’est fort probable qu’il y aura de l’encrassement et congestion de l’organisme.
Mais bon chacun fait ce qu’il veut, et je ne vais pas parler de ce sujet ici puisque ce n’est PAS LE SUJET.
Mon post était pour trouver des témoignages, comme certains te l’ont rappelé, mais aussi pour échanger sur la pratique en toute bienveillance (chose dont tu dois avoir du mal visiblement, ou alors c’est ton égo qui te joue des tours )
Et si pour toi, faire 50 km en VTT avec 1700 de dénivelé en étant à jeun, est « easy » est bien figure toi que ça ne l’est pas pour tous ! Sinon ça se saurait et tout le monde le ferait
Et ça me prouve que tu n’as pas lu tous les autres messages avant de poster ceci car tu aurais pu lire le message d’une personne disant qu’elle avait essayé de faire une grosse randonnée à skis à jeun mais qu’elle avait rencontré des difficultés.
Je connais des personnes qui pratiquent l’alpinisme à très haut niveau et qui sont incapable de supprimer leur petit-déjeuner ! Donc NON ce n’est pas donné à tout le monde, en plus ce discours n’aide pas ceux qui ont du mal au début de cette pratique mais en plus il pourrait leur porter préjudice dans leur approche qui nécessite un temps d’adaptation pour l’organisme et donc d’y aller mollo au début.
Sur ce, je te souhaite d’aller voir d’autres post
Si encore tu apportais une plus value… mais même pas
Donc Floc a raison !
Ton comportement me confirme se que je craignais ici… j’aurais au moins essayé…
il est là
Je ne mélange rien je t’apporte un complément d’info !
Et franchement c’est plutôt toi qui te mélange ds tes réponses
Je vois pas ou tu veux en venir, je te faisais juste constater ce que tu disais précédemment.
Voilà voilà
Encore une fois… tu dois vraiment lire en diagonal ce n’est pas possible !
« sans avoir grand choses ds le ventre » ne signifie pas à jeun…
Sérieusement, je suis très sérieuse et je ne vais pas citer de nom ici, mais ces personnes partent en montagne avec un petit-déjeuner et mangeront que le soir (quelques barres, fruits séchés ds la journée), et ce ne sont pas le genre de personnes qui pratiquent 2 jours par semaine.
Mais toi c’est vrai… tu sais tout, et tu as tout fait… Amen !
Pas au début si tu n’as pas l’habitude mais sinon si.
Et toi tu dois vraiment te faire chier dans ta vie ! J’aimerais vraiment pas être encordé avec toi ça c’est certain… aigri comme tu es…
Tu as encore beaucoup de « travail » à faire mon cher, et visiblement ce n’est pas en allant en montagne que ton problème va se régler
Sérieux… SORS d’ici
Hola ! Mollo ! On est sur un forum et tous les avis sont respectables, même si on n’est pas d’accord, à condition qu’ils n’enfreignent pas la loi.
oui c’est vrai on est sur un forum…
Et l’humour est interdit à la différence d’autre chose.
Merci à ceux qui ont joué le jeu et qui ont vraiment répondu au sujet du post
Arrête de rééditer tes messages… 5 fois…
ça n’a rien à voir avec le jeûne intermittent dont je parlais
Quelle importance que certaines personnes puissent faire cela ? Qu’est-ce que ça prouve ? Des naufragés ont pu aussi survivre pendant plus d’un mois sans manger. Est-ce la preuve que c’est ce qu’il faut faire puisque c’est possible ? Ce n’est par parce que le corps s’adapte à certaines conditions chez certaines personnes que ça veut dire que ces conditions sont les meilleures possibles, et encore moins que ces conditions sont applicables à d’autres personnes.
Bernard
Dites vous savez s’il existe un moyen dans cette mouture de forum de ne pas afficher les messages de certains intervenants ?
To-f la tournure de la discussion ? Ahah c’est toi qui tourne tout ça de manière désagréable !
Tu continues à raconter pleins de choses qui n’ont rien à voir avec le jeûne intermittent. C’en est fatiguant.
oui je suis bien d’accord, d’ailleurs chez moi on dit sauter le petit déjeuner. ça me fait presque chier de voir que je suis les recommandations des magazines à la mode, même si c’est involontairement.
Depuis des années je ne prends pas de petit déj en dehors du/des cafés, tellement loin que je ne me souviens plus de quand ça date. La seule et unique raison c’est que cela me permet de me lever plus tard avant le travail.
je n’ai jamais pratiqué l’alpinisme dans ces conditions, en revanche je cours souvent le midi (1hr, max 2hrs) donc le ventre vide. Cela doit surement jouer sur mes performances mais cela n’a jamais aidé à faire disparaitre le bout de gras sur le bide. Une alimentation équilibrée est à mon avis bien plus efficace, faire croire aux gens qu’en courant à jeun ils vont perdre de la graisse c’est du vent.
Si je n’ai jamais tenté l’alpi dans ces conditions, j’ai fait bcp de travail physique sous la chaleur et des shift de 12Hrs ou plus lors de mes chantiers offshore. Là je peux dire qu’il est impossible pour moi de tenir la journée sans petit dej. Je suis obligé de me gaver au petit déjeuner à 5hrs avant de partir sur le rig, d’ailleurs les premiers jours je dois me forcer comme lors d’un petit déjeuner en refuge.
Mon dieu… je vous laisse (en ne citant personne hein!) avec vos « super » connaissances.
Le jeûne intermittent à la mode… si tu t’informais vraiment (mais vraiment hein, pas sur Google!) tu saurais que cette méthode n’est pas récente, mais qu’elle a été beaucoup plébiscité par le milieu de la musculation (et Cross Fit et donc HIIT) mais j’ai même pas envie d’en dire plus ici tellement ça sent mauvais…
Je ne fais pas mon mémoire sur un « phénomène à la mode » !
Et encore moins pour une pratique visant à maigrir, mais ça peut-être que quand tu auras encore plus muri tu comprendras un peu mieux le pourquoi du comment.
Dommage pour certaines personnes qui auraient peut-être souhaité en savoir plus (les MP c’est possible )