Oulala…
Effectivement je n’ai pas précisé ce qu’était le jeûne intermittent pour certains.
C’est une façon de jeûner sur une très courte durée, en général pendant 16h d’affilé ce qui revient à manger sur une plage horaire par exemple de 8h (ex: 1er repas vers 12h puis le dernier doit se terminer au plus tard vers 20h et du coup on jeûne de 20h à 12h, certains feront que 2 repas d’autres 3 pendant cette plage horaire), il y a aussi la méthode 21h de jeûne par jour et 3h de prise alimentaire, ou jeûner 24h par semaine. 4a c’est vraiment pour les plus connu
Alors le jeûne intermittent a l’avantage de ne pas nous mettre en état de cétose (grosse crise d’acidose (et de nettoyage) lorsque le corps utilise non plus le glucose ou les protéines mais les graisses pour les convertir en corps cétoniques. Au bout de plusieurs années de pratique, le jeûne intermittent peut permettre d’arriver à cette phase, seulement si on le couple à une alimentation pauvre en glucide.
Donc, le jeûne intermittent n’est pas forcément utilisé pour « maigrir », mais plutôt pour perdre de la masse grasse et la transformer en masse musculaire dans certains milieu (musculation par exemple).
Mais mon message ne portait pas sur la perte de poids, même si ça a pu être le cas pour certains (et même la prise de poids pour ceux qui n’arrivaient pas à grossir!), mais plutôt sur les bénéfices rencontrés lors de cette pratique.
Je cherche des personnes qui pourraient m’apporter leurs témoignages (en Mp si elles préfèrent ça évitera de choquer certains !) pour enrichir mon mémoire, et non des messages qui pensent que c’est dangereux, inutile et tutti quanti
Je pratique le jeûne intermittent, le plus souvent sur 16h, quelques fois 21h et parfois 24h, je connais aussi le jeûne plus long qui est pour moi réservé à des moments de mise au repos de tout l’organisme donc aucun sport.
Et pour casser les croyances limitantes de certains, je pratique pas mal de sport couplé au jeûne et je suis toujours en vie et bonne santé ma plus grosse sortie en dénivelé et km c’était en VTT 1700m de D+ 52km, toute la montée c’est faite à jeun, des sorties en ski de randonnée pareil, et samedi j’étais en cascade de glace je n’ai grignoté qu’une fois à la voiture (grimpe en réversible).
L’avantage que j’en retire c’est beaucoup plus d’énergie comme certains ont pu le mentionner, pas de coup de barre, ou l’impression de faire une hypoglycémie pendant la marche d’approche.
Un système digestif moins sollicité, moins de grignotage entre les repas.
Je n’ai absolument pas diminué la quantité d’aliments ingérés mais seulement la période pendant laquelle je mange.
Et sans aucun doute une meilleure connaissance de mon corps et écoute, ça peut m’arriver parfois de ressentir le besoin de manger un fruit avant une activité mais aujourd’hui je sais distinguer l’envie « émotionnelle » de celle de « besoin vital ».
Et il faudrait arrêter de croire encore que les grands sportifs se nourrissent tous d’énorme plat de pâtes la veille de la course beaucoup on recourt au jeûne ou à un jeûne allégé la veille ou matin de leur course.