On peut être pour ou contre les discussions « politiques » sur c2c mais il ne faut tout de même pas raconter n’importe quoi.
L’esprit communautaire s’applique bien évidement dans le cadre des missions de l’association. Pour avoir été très impliqué dans la rédaction de ces missions, voir avec d’autres à l’origine des statuts de l’association, c’est une totale évidence que ces missions ne comprennent pas les commentaires, ou la propagande, sur le conflit israélo-palestinien, Trump ou Motus … Il n’y a aucune interrogation à ce sujet. Nous aurions probablement eut des difficultés avec le financement de la V5 si nous avions communiqué sur un forum « politique ». Ce qui ne signifie pas qu’il ne puisse pas y avoir de politique sur c2c, y compris dans le topoguide, puisque tout est politique et notamment la préservation de notre terrain de jeu.
Si on reprend l’histoire de c2c, ASL (Arnaud Saint Léger) avait viré les bistroteurs à l’extérieur de c2c pour limiter les nuisances ! Il n’y a donc rien de bien nouveau.
Qd au supposé lien communautaire du bistrot, les rassemblements et autres c2c g2g avaient pour origine les forumeurs de pratiquants (pas du bistrot/défouloir). La Dent Paraché (2002), les Grissons (2003), la cascade en Oisans, le Refuge de Bise (2004), puis les rassemblements de la Miss Galopette ont pour origine le forum et les sorties c2c, pas le bistrot et/ou le défouloir. Fab n’était pas au bistrot. L’esprit c2c, et plus globalement c2c a été construit par ces pratiquants de régions de montagne : pas de bistroteur pour fonder l’association chez Claude.
Ensuite & seulement ensuite, il y a eut effectivement des bistroteurs/défouleurs copiant dans leurs coins. Le récit sur la Bourgogne ne se trouve pas sur c2c mais sur un blog extérieur à c2c. Il n’y a que très peu de sorties et encore moins de contributions sur c2c. Ce n’était donc pas du c2c au départ, voire cela n’a jamais été du c2c, même si on l’a inclus à postériori dans l’article.
On est pour, ou contre, les discussions politiques mais il ne faut pas réécrire l’histoire.