ceux de la mafia…aucune info depuis l’ouverture des voies (dans aucunes revues et sites ), juste du bouche à oreille avec les collègues guides). Nous logions au refuge de Demirkazik et nous avons rencontré beaucoup de jeunes turques, qui découvraient l’escalade « moderne ». Nous les avons amené grimper dans les voies de deux ou trois longueurs à Cimbar Valley et dans le secteur des couennes , et je me souviendrais toujours d’un grimpeur qui dansait tellement heureux d’avoir grimpé un 6b « il criait : my first 6b, my first 6b…etc… » Le deal avec les grimpeurs locaux,et notre démarche, (à chaque année d’ouverture, nous laissions un topo papier avec des photos à la disposition de tous au refuge de Demirkazik)était de faire comprendre que nous n’étions que de passage, c’est leur montagne, à eux de développer le site ( il est immense) de créer des topos (c’est le cas) et suite à nos différentes ouvertures de voies, un jeune Stambouliote s’est installé là bas avec sa femme, a énormément développé l’escalade et a crée un gite et un camping. Nous sommes comblés par ce qui s’est passé et ça nous suffit. Méraba.