Tiens c’est marrant, même tendance dans le club CAF où j’encadre. Je pensais que c’était un simple « trou d’air » de la section escalade, mais c’est peut-être plus profond alors…
Incidence de la pratique de la salle sur le goût pour le milieu naturel
Egoïstement vu le succès des salles, même une faible fraction de SAE qui va en SNE, ça met un peu le wild.
Donc pas trop de prosélytisme siouplait.
Dans le 13 on bannit les sorties avec vue sur la mer pdt les congés, sauf grosses bambées un peu dissuasives.
A moins de vouloir devenir polyglotte.
J’avoue ne jamais avoir pensé en terme d’entraînement, uniquement en terme de plaisir. Lorsque je prends du plaisir à aller en salle j’y vais, sinon je m’abstiens.
C’est pourquoi malgré les tentatives de motivation des copains je n’ai jamais réussi à me mettre à courir ou faire du bloc : cela m’aurait peut-être aidé à progresser mais n’y prenant aucun plaisir intrinsèque je n’ai jamais réussi à accrocher.
Nous sommes tous différents et ma logique n’est pas la tienne, heureusement !
De nos contextes dependent également nos pratiques, assurément !
Le mien m’a permis pendant des années de grimper 2 à 4 fois/semaine dehors (merci la flexibilité du taf et la proximité du caillou et les copains toujours motivés), la salle restait du bonus si le cœur m’en disait.
J’entends qu’elle peut être un chouette palliatif en cas de contexte différent : distance des falaises, météo moins enthousiasmante, dense vie familiale comme je le découvre et évoqué par @fixxx, vie pro pour d’autres…
L’avantage de n’avoir qu’un bras, c’est la facilité pour passer inaperçue
Sauf à prendre ses congés en décalé !