Impact environnemental des voyages en avion

Moi au départ c’est le guide vert Michelin du Dauphiné. Si, si…
Y avait des petits dessins de certaines montagnes (aiguilles d’arves par exemple je me souviens)

Pas besoin de grand chose en fait.

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La conquête du Fitz Roy ,c’est le livre qui m’a donné envie d’aller en Patagonie

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Mois à la base c’est le « chasseur Français » avec une belle image d’un montagnard en crampons piolet sur une belle taillante en neige

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Presque poignant comme livre

Ya aussi les cartes. Enfin c’est très personnel et sans doute pas partagé par tout le monde mais moi les cartes ça me donne envie d’y aller voir.

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Et si c’est marqué « Terra Incognita » cela donne encore plus envie,…comme quoi pas besoin de réseaux sociaux !

Sans être marque Terra incognita si la carte est un peu genre « blank on the Map » avec peu de noms par exemple oui ça fait envie.
C’est ce qui m’a attiré au Karakoram même si je suis pas allé finalement dans le coin le moins connu (c’était trop compliqué et cher)

Je te conseille si tu ne l’a pas déjà lu et c’est traduit en français

Un grand blanc sur la carte d’Eric Shipton au éditions Nevicata

Je crois que j’ai lu. Pas mal oui.
Le titre « blank on the map » avait été repris par un site internet qui était très bien mais je crois qu’il n’existe plus ou n’est plus mis a jour.
Shipton ne voyageait pas en avion. Mais pas sûr que c’était beaucoup mieux niveau GES.

(Recentrage de sujet)

C’est toi qui insiste sur l’importance des réseaux sociaux, pas moi. Je te cite :

.
Le désir de voyager a toujours été suscité par quelque chose. En 2024, ce quelque chose est juste diffèrent du quelque chose de 1904. Sans prendre aux réseaux sociaux illustre surtout un changement de génération.

Si on va un peu plus loin, on pourrait se demander si ce n’est pas pour partie dans notre génétique de chasseur cueilleur qui s’est implanté sur toute la planète. On aime bouger, découvrir.

Je suppose que tes vacances en famille å vėlo se passent en ėté ?
Moi aussi j’ai abordė pendant 15 ans mes vacances autrement. Je travaillais dans un secteur ou je ne pouvais prendre mes congés qu’en inter saison (en gros, mai, mi septembre jusqu’à dėbut dėcembre) , je devais bien sūr composer avec mes collègues qui avaient la même contrainte, ceux ayant des enfants ėtant bien entendu prioritaires pour les dates de vac scolaires de printemps en mai et Toussaint. Si bien que je me retrouvais une annėe sur 2 à prendre mes vacances en novembre. On m’accordait comme avantage de pouvoir cumuler les 5 semaines. J’ėtais bien contente de pouvoir prendre l’avion et de partir dans l’hémispère sud. Ce qui m’a permis de dėcouvrir des pays ou je ne serais peut-être pas aller si j’avais pu être en vacances aux beaux jours en France. Et ce měme si j’ai choisi des destinations qui m’intéressaient le plus avec des montagnes et/ou des grands espaces désertiques.

Bah ça m’est arrivé de le faire en avril :confused:

Je partage juste une expérience.

Évitons de nous comparer le nombril. Pour moi ta justification pour prendre l’avion ne tiens pas (c’est centré sur le nombril d’un occidental du XXIe) mais c’est ton problème.

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Que les français continuent à prendre ou pas l’avion, cela ne changera pas l’ėvolution du traffic aėrien. Qui prévoit de tripler d’ici 2050 avec la population des grands pays de la planète dont le niveau de vie augmente.

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On ne change rien parce que les voisins font pire…

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Et ?

Tu ne cherches que des justifications au fait de pouvoir le faire en sachant très bien les conséquences. C’est de la paresse.

Je ne le fais plus comme avant. Je peux désormais prendre mes vacances aux beaux jours et je reste dans les Alpes ou les Pyrénėes.

En ayant fait un effort pour rendre les vacances en France des novembristes d’aujourd’hui plus chaudes… merci :joy:

Oui mais je n’ai pas rėussi à allonger la durėe du jour. Dommage car en novembre, il n’y a personne, c’est super pour prendre ces vacances en France surtout à vėlo ou en van avec la nuit å 17h.

Oui, le confort pour un humain, surtout occidental, de la fin du XXe -début XXIe, c’est super. Et après ? Est ce vraiment le sujet ?

Non je n’insiste (personnellement) sur rien du tout, je cite juste (parce qu’il prend énormément ampleur) un moyen de communication parmi tant d’autres et si le terme « réseau-sociaux » te contrarie on pourras utiliser celui de « médias ».
Quand la télé balance un joli reportage sur une destination à l’autre bout du monde, en expliquant que c’est magnifique, pas cher et qu’il n’y a pas un touriste, dans les mois les ans qui suivent c’est la cohue ; à moindre échelle c’est pareil avec les revues ou la littérature.

Je m’occupais d’un club de plongée il y a quelques années et je me souviens que lorsque la télé balançait une série de « Cousteau » on prenait cinquante adhérant dans la foulée.
C’est pareil sur des destinations plus modestes avec C2C et d’autres sites semblables, quand quelqu’un poste une jolie sortie avec tous les détails (images, trace, accès, difficultés) dans les jours qui suivent c’est une procession.