Himalaya, Karakoram : suivi des expéditions

Et l’Ama Dablam il semblerait …

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Ça date pas d’hier… Aujourd’hui c’est plus visible parce que c’est relayé sur les rézosocios, mais ça fait 30 ans que ça dure (voire plus). Et les « alpinisites » (c’est quoi, d’ailleurs, ce truc ?) y participent largement.

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Faut avouer …

Honnêtement pour avoir regardé un peu ses entraînements on peut pas dire qu’il ait été particulièrement bien entraîné, dans le sens où il serait un pur incapable sans son guide

Si ça se trouve il vole dans du 6a… Pffff

Je me permettrais pas de commenter son niveau d’escalade ne faisant sans doute pas mieux pour ma part😅. Je parle plutôt de mouflage (et autres manips) et autonomie minimale en course de neige et rocher facile.

Je pense que ça fait longtemps qu’on ne demande pas à un candidat à l’Everest de savoir faire un mouflage ni d’être autonome.
Pourquoi faire d’ailleurs ?

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J’ai vu des mecs au camp de base de L’Everest qui n’avaient jamais mis de crampons et sont arrivés en haut. Donc oui, il y a des touristes sans connaissance ni autonomie en montagne. Mais il ne faut pas non plus se voir trop beau en « vrai alpiniste » : mettre des crampons, faire un moufflage, descendre en rappel ou construire un relais ne nécessite pas non plus une thèse en mécanique : une personne dégourdie l’assimile en une semaine.

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Personnellement, pour tout les courses que j’ai fait sous la conduite d’un guide (hormis ski), je ne considère pas que j’ai « fait » l’ascension. C’est aussi pour ça que je ne les ai pas mis sur c2c. C’est vrai que j’ai fait quelques grandes voies où il y avait une longueur que mon binôme plus fort à fait en tête que j’aurai peut-être eu du mal à passer, mais je pense que c’est quand même different.

A mon avis, s’il a une distinction à faire entre « touristes » et « alpinistes » ça devrait être selon la presence où non d’un guide (et des sherpas). Une « vrai » ascension pour moi c’est une ascension où on est autonome (au moins à partir du camp de base). Les autres critères (oxygène ou pas, style alpin ou pas) me paraissent moins fondamentales.

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L’oxygène c’est fondamental: avec, on va 2 à 3 fois plus vite au dessus de 7000m (de ce que j’ai vu)

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Whymper était un touriste :slight_smile:

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Oui d’accord, mais selon mon éthique personnel (et pifometrique, hypothétique, vu que je pense que je n’irai jamais au dessus de 7000) tant qu’on le porte soi même j’estime qu’on a le droit. Si on n’a pas des sherpas pour faire des rotations de bouteilles aux camps d’altitude ça change un peu la donne.

Je ne connais pas trop l’histoire de l’époque mais je pense que Whymper avait un niveau technique largement égal aux guides de l’époque, non? Même à l’époque de Terray, je crois que le minimum pour être guide c’était de la grimpe en IV+…

Faut voir ce que tu mettais derrière ce IV+ à l’époque aussi.

J’avais pas l’intention de dire qu’ils n’avaient pas un bon niveau (surtout par rapport aux standards de l’époque, et par rapport au materiel et l’engagement).

Que les queues commencent

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Pour un doublé en ski féminin

Une ouverture dans le Khumbu

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Gephart des neiges alors.

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Dans les coulisses de la préparation de B. Vedrines, à travers ses rencontres et le partage d’une partie des acquis nécessaires pour envisager sereinement sa furure nouvelle tentative au K2.

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