Pour le plafond effectivement ça peu être un problème en cas de recherches longues
Un ex: sur un secours communs versant des jeurs au tour suite a une avalanche ,au bout de quelques jours les services suisses on arrêté les recherches certe il n’y avait plus aucune chance de retrouver vivants les malheureux norvégiens mais nous francais ça nous avait interpelle
Pour la rega c’est un peu plus complexe d’après un guide suisse ils prennent en charge l’évacuation aérienne partout ds le monde assez efficacement mais pas obligatoirement la totalité des frais de secours c’est en fonction des dossiers, ni les frais médicaux (en Suisse ca peu être more expensive )en gros de ce que j’ai compris ce n’est pas a proprement parler une assurance secours en montagne
Ps: qd on parle de l’assurance vieux campeur on fait une confusion entre le prestataire le vc et l’assureur qui est europe assistance ,en cas de sinistre à l’etranger c’est ces derniers qu il faut joindre
Gratuité secours en montagne
Assurance Vieux Campeur chez Europ Assistance :
Limite de garantie.
- FRAIS DE RECHERCHE, DE SECOURS ET D’ÉVACUATION : 11 400 €
- REMBOURSEMENT COMPLÉMENTAIRE DES FRAIS MÉDICAUX ET D’HOSPITALISATION : • À l’étranger 1 500 €
C’est vraiment light (sauf si ça vient en complément d’autres assurances, genre mutuelle, assurance liée à la carte Visa, etc…)
Bon Bako je peu comprendre la logique de ton raisonnement MAIS
En vrac de nombreux intervenants t’on explique avec des arguments factuels que ça coûte peanuts ,que la frontière entre secours de confort et urgence est une zone grise qui pourrait coûter plus cher à terme aux victimes et aussi à collectivité (en actions civiles )Les mieux placés pour en juger sont les acteurs du secours
En cas d’abus les gardes fou légaux existent dans le code pénal libre au procureur de la république d’y remédier
On a eu dernièrement sur le forum un spécimen qui de son propre aveux a été mis en garde
Si tu veux rendre les secours en mer sur route ou en montagne c’est possible il suffit juste de changer la CONSTITUTION ,le principe d’égalité qui interdit toute discrimination ,ca te parle ?
Un exemple un peu extrême je le concede :pour le cas de Fourniret odieux personnage s’il en est ,toi moi nous on a tous participé aux frais de sa défense mais c’est vrai on aurait pu l’ecarteler en place de grève sans aucune forme de procès
Sérieux ??! Tu veux dire qu’il n’avait pas pris d’assurance « défense meurtres en série » ?
Complètement irresponsable de sa part.
Ça me rappelle des gars en montagne… (etc , etc)
Peut-être avait-il un avocat commis d’office, auquel cas, effectivement…
No comprendo
Faut supprimer ça. Sans assurance pas de défense.
Et pas de défense, pas de crime.
Et du coup c’est quoi un secours de confort ?
Il y a eu une réponse depuis 380 messages ?
C’est un hélico chauffé avec une machine à café et des croissants au beurre.
Je ne connais pas ce qui se fait en Italie.
Pour rappel, en Suisse, il est obligatoire d’avoir une assurance accident (par son boulot ou par sa caisse maladie). Il y a donc une différence entre des secours suites à un accident et les autres (pas forcement du « confort »), l’assurance obligatoire ne payant qu’en cas d’accident ou de réel danger. Les tribunaux se chargent de faire la distinction en cas de litige: Sauvetage par hélicoptère: L'assurance obligatoire ne paie qu'en cas de «réel danger» - 20 minutes
Perso je me fiche bien de la notion de secours de confort et je ne pense pas que faire payer les secours responsabilise les gens, mais c’est juste pour rappeler qu’il y a des articles de lois et une jurisprudence pour trancher des questions tout à fait similaires et même des cas bien plus complexes (ça ne veut pas dire non plus que je souhaite un système complexe).
Mais ça peut être un problème pour un étranger venant en Suisse s’il n’est pas assuré.
Le but de ma réponse était simplement pour dire qu’il n’est pas difficile de définir dans une loi, ou un contrat un terme comme « secours de confort » vu que les suisses définissent clairement ce qui est un « réel danger » ou un « accident » en l’opposant par exemple à une dégradation météo ou une perte d’orientation.
Ça ne veut pas dire que je pense que le système suisse est parfait : on verra les limites du système suisse si un jour l’argent vient à y manquer comme c’est le cas en France en ce moment. Un étranger secouru en Suisse sans assurance, dans 90% des cas il aura quand même les moyens de payer à moyenne échéance, et dans les très rares cas où il n’a pas d’assurance et complètement insolvable, ça doit faire partie des frais de fonctionnement des sociétés de secours (en gros elles n’en meurent pas).
Certes. Tout peut s’écrire, dans un contrat comme dans une loi (qui n’est rien d’autre qu’un contrat entre une état et ses citoyens). Mais est-ce souhaitable, en France ? La Suisse et la France sont deux sociétés et deux cultures différentes, avec des systèmes de valeurs pas toujours équivalents - ni compatibles.
Le fait que la Suisse ait été (et soit toujours) une confédération change aussi la gestion de la « chose publique » et la perception des missions régaliennes.
Je crois que j’ai déjà répondu. Je ne suis pas pour une différence entre les différents types de secours en montagne. Par contre je suis pour un secours en montagne qui fonctionnerait grosso modo comme les secours sur les pistes de ski en France (sauf si on arrive à financer tous les autres services que je trouve plus prioritaires).
D’ailleurs cela a déjà commencé à bouger dans ce sens au vue de la loi montagne 2 de 2016 Où s’applique la gratuité des secours en montagne ? | Pompiers.fr.
Bref, en fait, ce que j’énonce est déjà la tendance.
Sauf que malheureusement, on entend assez souvent:« je paye mes impôts donc je vous attends! » et ce même si on est sur du secours « léger ».
Ton lien prouve bien que ce n’est pas du tout la panacée ce concept… :
«une personne qui se trouve en difficulté en montagne à la suite d’une erreur d’orientation ou de la survenance de conditions météorologiques défavorables» n’a pas droit à la prise en charge des frais d’intervention.
«Il faut une chute ou une glissade pour que les frais d’évacuation d’un non-blessé soient payés par l’assurance obligatoire». Sinon, redoute le TF, «les assurances seraient amenées à prendre en charge des frais sans rapport avec un événement accidentel».
Donc en gros le tribunal dit, n’appelez pas les secours si vous êtes sur le point de tomber, faites le une fois que vous êtes tombé (et que par chance, vous n’êtes pas mort…)
Je force un peu le trait mais c’est la limite du concept.
Perso je préfère le système à la française où c’est le sauveteur qui peut décider de la suite à donner à l’appel de secours (par exemple en disant à celui qui appelle : démerdez vous pour passer la nuit en bivouac) sachant qu’il n’est pas payé « à la course »…
Et qui peut prévenir le procureur si il y a eu abus manifeste ou mensonge.
C’est vrai ça ? Tu est sauveteur et tu entends ça « assez souvent » ?
Bon an mal an? Allé, pas loin de 30%!
Souvent non. Mais on l’entend. Peu chez les « montagnards ». Mais les pratiquants du dimanche ou les néo traileurs randonneurs nés du covid le disent…