Parce que tu crois qu’on leur rembourse tous leurs dégâts, ou qu’on leur offre le déménagement s’ils renoncent à habiter là où ils vivent actuellement ? Je pense que tu n’as jamais été victime d’une telle catastrophe, pour voir à quel niveau tu es réellement remboursé (et ce sera de pire en pire au fur et à mesure de la multiplication de ces catastrophes, qui vont forcément amener les assureurs à ne plus avoir les moyens de payer).
Selon Que Choisir :
« C’est la pomme de discorde quasi inévitable entre assureur et assuré. Tout tourne autour du coefficient de vétusté. Les sinistrés jugent les sommes versées insuffisantes. »
« Un assureur n’a aucune obligation d’assurer un bien trop exposé aux catastrophes naturelles. Il faut alors saisir le bureau central de tarification. Cela dit, depuis le tollé créé par le refus de mutuelles d’assurer des biens inondés il y a des années, peu de compagnies d’assurances s’y risquent ! »
« il finance l’achat de maisons très exposées en vue de leur destruction, en acquisition amiable ou en expropriation, et les travaux de mise en sécurité des occupants. Jusqu’à 80 % si le secteur est couvert par un Papi »
Selon Capital :
« « Les assurances couvrent initialement les inondations, mais seulement celles qui sont originaires de fuites, infiltrations ou rupture de canalisation par exemple », explique le cofondateur du comparateur d’assurances Assurland. La garantie « dégât des eaux » que l’on retrouve dans nos contrats d’assurance ne concerne pas les tempêtes par mais plutôt une machine à laver capricieuse ou une cabine de douche aux joints vieillis. »
« Le régime est déficitaire depuis plusieurs années, le coût des indemnisations dépasse le montant du fonds dédié, car le nombre de catastrophes naturelles augmente. Les experts estiment qu’il faudrait faire évoluer cette taxe à 19% »
Bernard